After World War I, Germany went through a political, moral, and social crisis. The 1929 crisis and its repercussions in Europe accelerated the rise of totalitarian regimes. Hitler's totalitarian regime began in Germany in 1933. The Night of Broken Glass, or Kristallnacht, was a tragic event that accelerated the persecution of Jews in Germany. Hitler gained power through the NSDAP party and created the SS to protect himself. He used propaganda to promote Nazi ideology and scapegoated Jews for Germany's problems. The Nuremberg Laws further influenced the German population's thinking. The Night of Broken Glass resulted in the destruction of synagogues, Jewish-owned businesses, and the arrest and forced emigration of Jews. This event was a consequence of the racist and anti-Semitic ideology of the totalitarian regime. The German people were influenced by propaganda and gradually developed hatred towards Jews. The assassination of a German supporter of the party by Jews triggered the regime
Suite à la premiÚre guerre mondiale, l'Allemagne, pays vaincu, traverse une crise politique, morale et sociale. Ajouté à cela, la crise de 1929 et les répercussions en Europe accélÚrent la mise en place des régimes totalitaires. Le totalitarisme, pratique politique dictatoriale qui vise non seulement la direction de la vie politique et sociale, mais plus encore à intégrer l'individu dans les systÚmes de valeurs idéologiques prÎnées par le pouvoir. A partir de 1933, on voit la naissance du régime totalitaire d'Hitler en Allemagne.
Cinq ans aprĂšs l'aventure au pouvoir d'Hitler, un Ă©vĂ©nement qui va en quelque sorte accĂ©lĂ©rer la vĂ©ritable fac de persĂ©cution antisĂ©mite en Allemagne, la nuit de cristal. Nous verrons son contexte, puis les acteurs, ainsi que le lieu, les faits en eux-mĂȘmes, les raisons qui conduisent Ă ce tragique Ă©vĂ©nement. Hitler naĂźt en Autriche en 1889, participant Ă la grande guerre du cĂŽtĂ© de l'Allemagne. Mais il n'accepte pas du tout la dĂ©faite allemande et prend le contrĂŽle d'un parti allemand des travailleurs qu'il renommera NSDAP.
Hitler, incarcĂ©rĂ© de 1924 Ă 1925 suite Ă une tentative de coup d'Ă©tat qui Ă©chouera en 1923, il sortira de prison en 1925 et reprend le contrĂŽle du NSDAP, puis crĂ©e une milice pour se protĂ©ger. Ce sont les SS. Peu Ă peu, il parviendra Ă avancer au pouvoir grĂące Ă une bonne organisation du NSDAP. Il gagnera ainsi la confiance du peuple, rĂ©duisant le taux de chĂŽmage, mais instaure une violence et la peur dans les rues. Il parviendra Ă obtenir les plus de pouvoirs le 23 mars 1933 pour 4 ans et le titre de ReichsfĂŒhrer.
Il permettra d'Ă©tendre sa dictature et de mettre en place une propagande raciste et nazie, prenant la supĂ©rioritĂ© d'une race, la race aryenne. Pour le tour du doigt des juifs, les accusant Ă tout bout de champ d'ĂȘtre responsable de la crise en Allemagne. Il parviendra Ă ĂȘtre le seul dirigeant de l'Allemagne Ă cette Ă©poque en ordonnant l'illumination des chefs des sections d'assaut. Il a avec lui Joseph Goebbels et il fera de lui un prĂ©cieux alliĂ© car il sera ministre du Reich Ă l'Ă©ducation du peuple qui est aussi un nazi et qui utilise ardemment la propagande et notamment les journaux pour diffuser la haine contre les juifs comme est la population allemande.
Ceux qui sont menacés et persécutés sont le peuple jugé d'aprÚs les autorités de l'époque comme inférieurs. Les dignitaires du parti nazi réunis à Munich font passer l'assassinat du secrétaire de l'intendance d'Allemagne commis le 7 novembre 1938 à Paris par Herschel Christen Pahn pour le complot de la communauté juive mondiale et appellent le peuple allemand à la défense. De par la propagande utilisée massivement par le parti, les dirigeants n'ont aucun mal à diffuser leurs idées et à contrÎler à leur guise la pensée de leur peuple.
Ainsi c'est sous l'influence de l'ordre de Nuremberg que la pensée des allemands de l'époque évolue. Cette barbarie a été d'ampleur nationale, pas seulement dans les villes ou la capitale mais bien partout dans le pays, de Königsberg en Prusse orientale jusqu'à Klagenfurt dans le sud en passant par Stuttgart dans la plupart des villes allemandes, les synagogues sont vandalisées. Lors de cette nuit, de terribles événements se dérouleront. Comme dit précédemment, des centaines de synagogues seront vandalisées, enflammées à travers toute l'Allemagne.
Mais il y a Ă©galement des magasins uniquement soutenus par les juifs qui seront braquĂ©s et dĂ©truits par les aryens, d'oĂč l'idĂ©ologie est montĂ©e Ă la tĂȘte. Mais il y a Ă©galement une importante part de juifs allemands qui ont Ă©tĂ© enlevĂ©s de leur famille et arrĂȘtĂ©s sans raison particuliĂšre dĂšs le matin du 10 novembre 1938. Ainsi que pour ne pas dire tous les juifs, mais la plupart en tout cas, sont forcĂ©s d'Ă©migrer. Cette nuit donc a la consĂ©quence d'une idĂ©ologie qui rĂ©git le rĂ©gime totalitaire de l'Ă©poque basĂ© sur le racisme et l'antisĂ©mitisme, ainsi par les diverses opĂ©rations des diffusions d'idĂ©es par l'utilisation de radios et de journaux, contribuant Ă la propagande ainsi qu'au culte de la personnalitĂ©, du fureur.
Cela a automatiquement dégradé l'image globale que les gens pouvaient se faire des juifs, ayant progressivement emmagasiné de la haine contre eux, pensant qu'ils étaient à l'origine de la misÚre allemande. Ainsi, lorsqu'en réponse à l'assassinat, l'attentat fait par les juifs contre l'allemand qui soutenait le parti, c'était la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Suite à cela, le parti incite le peuple, dont l'esprit est rempli d'idées plus simples que les autres, à se défouler de leur haine contre le bouc-émissaire national, le peuple juif.
Durant les cinq annĂ©es qui suivirent avant tout le pouvoir d'Hitler et les dĂ©monstrations de l'efficacitĂ© de son parti par la rĂ©duction du chĂŽmage en Allemagne, gagnaient la confiance du peuple assez facilement et les gens acceptaient de vouloir en plus ces idĂ©es. Au fil des cinq annĂ©es, le peuple allemand est totalement influencĂ© par l'idĂ©ologie du parti et se met Ă ne plus penser par lui-mĂȘme, mais Ă soutenir cette idĂ©ologie pour sĂ»r. Ainsi, dĂšs la premiĂšre occasion, le rĂ©gime qui a amorcĂ© la bombe appuie sur le dĂ©tonateur.