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Pharmanimation Réunion

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philippe

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Marina and Rodolphe discuss their collaboration with Finocchia and the benefits it has brought to Farm Animation. They mention the need for financial structure and visibility, as well as the impact of the economic and political context on their business. They highlight the importance of understanding the numbers and making data-driven decisions. The consultants from Finocast are described as transparent, supportive, and focused on achieving results. They have helped Farm Animation improve their financial management and make necessary changes to drive growth. Overall, the collaboration has been successful and has brought positive changes to the company. Bonjour à tous, aujourd'hui je suis accompagné de Marina, dirigeante de Farm Animation et de Rodolphe, directeur commercial. Durant ce podcast, nous allons évoquer un certain nombre de sujets, notamment l'accompagnement de Finocchia au sein de Farm Animation. C'est avant tout une histoire humaine, une histoire entre nous d'équipe et les équipes de Farm Animation. Ça va faire maintenant à peu près 4 mois qu'on travaille ensemble. On a parcouru pas mal de choses. On a aidé l'entreprise à avoir un peu leur vision des chiffres et donner une structure financière beaucoup plus robuste. Donc aujourd'hui, on va passer un petit moment ensemble. Je vais peut-être donner la parole tout de suite à Marina, ensuite à Rodolphe et puis on sera dans le vif du sujet. Bonjour, je suis un grand fondatrice de Farm Animation, j'ai une société qui existe depuis 2012. Nous avons deux établissements secondaires en Martinique et en Guadeloupe. Et nous avons travaillé aux années financières pour nous accompagner dans le développement de la société. Surtout sur la partie financière, parce qu'on est là un petit peu à la limite de nos connaissances. Alors bonjour à tous, moi c'est Rodolphe, je m'occupe de la direction commerciale de Farm Animation Gréminia, également sur la voie d'examen Martinique. L'objectif c'est de faire fonctionner toute la machine. Il n'y a pas de problématiques sur le déroulement des animations, puisqu'on est spécialisé dans la mise à disposition d'animateurs en parapharmacie, pour le compte des laboratoires et distributeurs. Et effectivement, je rejoins Marina sur le fait d'avoir travaillé avec Finica, qui nous a aidé à comprendre les chiffres et à mettre en place certaines actions qui s'achètent en animation. Merci beaucoup, Marina et Rodolphe, effectivement, on est un peu plus, disons, naturels et déconcentrés. À un moment donné, il y a 4 mois, c'est là qu'on s'est rencontrés. Quels étaient vraiment les enjeux de Farm Animation ? Vous étiez dans une situation où vous souhaitiez avoir plus de visibilité, en tout cas, sur votre stratégie financière, sur la robustesse aussi de votre activité pour le futur développement. Quels étaient les enjeux au début de la mission ? Alors, en fait, Farm Animation, je pense que c'est comme beaucoup d'occupés, c'est ce qui s'est allumé pendant 1 an. On a eu une tranchée de collaborateurs. En fait, on a toujours piloté un petit peu à la veille. On avait un petit peu une vision de notre boulot, mais c'était aussi une partie de l'acervissage qui était à la veille. Et c'est vrai que dans les projets de désormais, on se dit qu'on ne pouvait plus fonctionner sans avoir au moins des tableaux de pilotage. Donc l'idée au départ, c'était de se dire, on a besoin d'aide pour monter des tableaux de pilotage, pour connaître notre situation, pour avoir une gestion, en tout cas, mensuelle qui nous donne des indicateurs pour piloter l'activité et surtout ne plus avoir la surprise du bilan à la fin. Et surtout, c'est vrai que même quand on descendait du bilan avec l'investisseur comptable, en fait, on ne savait pas ce qu'il y avait réellement derrière cette invention. On avait besoin de comprendre de manière plus fine l'activité qui allait impacter, en tout cas, notre situation, notre prise d'envie. Donc vraiment, le taux de départ de cette mission, c'était au pire pour monter des tableaux de pilotage. Bon, il s'avère qu'il s'est gratté beaucoup de choses avant de monter les tableaux de pilotage. Voilà. Tout à fait. Et puis on est une société, comme toutes les autres, où on a subi aussi le contexte économique, le contexte politique, avec la crise des jeunes, le Covid. Et c'est de se dire, aujourd'hui, à travers les chiffres, le résultat qu'on peut avoir en fin de mois, c'est de se dire, est-ce que j'ai assez de réserve ? Est-ce que mon budget est OK ? Est-ce qu'on a la chance de mettre en place, justement, l'avenir ? C'est de se dire, à travers le travail qu'on fait avec Finocast et, comme le disait Marina, de comprendre ces chiffres-là pour anticiper. Effectivement, il faudrait qu'il y ait un gros travail sur la rentabilité, surtout. C'est-à-dire qu'avant d'arriver sur des modèles de dashboard, de tableau de bord, de pilotage, il y a un travail, surtout, d'analyse de données et d'essayer de comprendre, en plus, votre rentabilité, votre activité, comment elle se décompose. Du coup, c'est vrai qu'on a apporté une vision beaucoup plus fine, comme tu disais, Marina. Et ça, ça nous a permis aussi de prendre des décisions qui n'ont pas attendu trop longtemps. On a d'ailleurs beaucoup d'actions et beaucoup de décisions déjà mises en place pour essayer d'apporter, en tout cas, beaucoup d'améliorations au sein de notre entreprise. Peut-être que, au niveau du ROI, je retourne sur l'enregistrement, parce que beaucoup de nos clients vont en même temps se poser sa première question, s'il vous plaît, qui est de nous accompagner. Le ROI se fait ressentir depuis combien de temps ? Qu'est-ce que vous nous apportez concrètement ? La question est toujours autour de l'enregistrement. Donc, si vous pouvez témoigner un petit peu de votre expérience avec nous, ce serait super. Du coup, je trouve que cette question du ROI, en fait, ça ne peut pas être immédiat. C'est-à-dire qu'avant de savoir combien ça va nous servir, il faut d'abord une grosse renouvellement des fonds, c'est de se comprendre, c'est d'appliquer aussi les conseils. Et effectivement, nous, on est rentrés avec une très grande ouverture sur les propositions de début. Et effectivement, on a pu appliquer très vite des options sur les paniers de primes, sur l'optimisation de certaines charges. Et donc, ça a eu un impact immédiat. Je suis plutôt d'accord, après, quand on parle de retour sur l'investissement, mais surtout la notion de l'investissement. Et dans l'investissement, ce n'est pas que l'investissement qui nous casse. C'est-à-dire que nous, ici, dans les entreprises, on doit se sentir investis quand on appelle financière. C'est-à-dire qu'on est prêts à entendre les problématiques. Et de s'adapter en disant, bon, où est la problématique, où est le résultat, et comment on peut résoudre ça. Et c'est à travers tous les exercices qu'on a pu avoir. Quand je parle d'exercice, c'est la concurrence. Je trouve que ce n'est pas facile, ici, de montrer dans le budget le chiffre que pas forcément on utilise. Et du dialecte, ici, qu'on montre sur les bilans, mais avec les banques. C'est-à-dire, OK, le retour sur l'investissement, il se fera rapidement ou pas. C'est-à-dire qu'on essaie de s'investir pleinement dans cette mission. Nous ne sommes pas appelés à se moquer, nous ne sommes pas énormément dans le bon sens. Oui, c'est vrai. Effectivement, c'est un très bon point. Il faut que les deux parties, c'est-à-dire le côté financier et le côté tribunier, soient complètement investis. Je pense qu'il y a un élément qui est important, qui en fait, qui va bien fonctionner. C'est nos valeurs. On a quasiment les mêmes valeurs humaines. Alors, je le dis en toute sincérité, beaucoup de mes clients, ce qu'ils font après la fin de classe, c'est souvent des dirigeants bienveillants, bienveillants pour leur activité, pour leur équipe aussi, parce qu'ils veulent le meilleur, ils veulent que les choses s'améliorent. C'est cette bienveillance-là qui a fait que nous, aujourd'hui, même humainement, on s'entend super bien au-delà de la relation, je dirais, un peu commerciale qu'on pourrait avoir. D'ailleurs, avant ce podcast, on a parlé pendant moins d'une heure et demi de plein de choses. Selon vous, quelles sont un peu les caractéristiques ou comment vous pourriez définir, en deux ou trois mots, l'intervention de nos consultants chez vous ? Alors, souvent, on parle de bienveillance, etc., de proximité. Comment, vous, avez-vous ressenti l'intervention de cette sociotiale, en quelques mots ? Moi, je pense à l'objectif de transparence. Je trouve formidable que nous, pour Rodolphe Girard, c'est vrai que la transparence, c'est quelque chose d'essentiel dans les rapports humains, en fait. Et puis, sans transparence, il n'y a pas de quoi se sent. Il faut être honnête à l'histoire, honnête avec les autres. Et c'est vrai que, dans le travail avec David, dès le départ, on a se rependu ça, en fait. Il y avait une grande transparence dans le travail de Filanca et nous, on a été tout de suite à l'aise. Il y a de la bienveillance et il n'y a pas de complaisance. C'est ce qu'on aime aussi. C'est-à-dire que, quand il s'agit de dire des choses et de mettre les choses en place, c'est fait. Et on a besoin, aussi, d'avoir fait un tour de vérité qui n'était pas difficilement quitté. On a appris qu'on était un parentage sous l'émission. Ça a été une claque. Et quand David nous a dit qu'il fallait qu'on augmente, qu'on décide de prendre le prix, on s'est dit, waouh, comment on le fait ? Mais, effectivement, ça nous a permis, aussi, cette transparence, cette bienveillance, cette compréhension. Et puis, la conscience, aussi, a permis de prendre, suite à cette audit, en fait, de prendre les décisions. Parce qu'on a repris son sens de conscience, en fait. Et on s'est dit, si David nous le démontre, en fait, il faut y aller. Donc, on ne sait pas exactement où on va, puisque pour nous, c'est nouveau. Mais, en tout cas, force est de constater qu'au bout de 4 mois, c'est une révolution. Surtout, il y a la compréhension de notre côté. Ça reste à des choses. Moi, si je devais répondre à cette question, je parlerais plutôt de business partner, ce qu'on utilisait tout à l'heure, ou, aujourd'hui, ce mot business partner. C'est important, puisque si nos clients rentrent dans notre business, ils rentrent chez nous. Et c'est aussi un apprentissage pour eux de comprendre notre société, comment on fonctionne, ce qu'on fait, pour pouvoir nous accompagner au mieux. Et nous, d'apprendre à travailler avec fiduciasme. Donc, c'est vraiment un partenariat. C'est vraiment quelque chose qui nous permet à tous de travailler ensemble et de coordonner, d'optimiser, en tout cas, le travail qu'on fait ensemble. C'était très drôle quand vous m'avez demandé d'aller avec nos vendeurs. J'ai dit, mais pourquoi ? Et en fait, c'était vraiment important d'avoir mon poste à temps. J'avais vraiment l'avantage qu'on a sur notre activité. Jusqu'à aller sur tous les postes de tous les collaborateurs. Et on s'est dit, OK, ils prenaient l'incident, ils prenaient l'injection. Et on peut en parler parce qu'il a pris le temps de le connaître. Super. Dernière question, après je vais la faire tranquille. Un conseil, je vais vous donner un conseil un peu aux dirigeants de TPOP au moins. Parce que beaucoup de dirigeants, ils sont parqués un peu dans leur solitude. Je les vois énormément à vouloir prendre des décisions seules, à décider seules, à refaire le monde vraiment en étant dans cette solitude-là. Ce n'est pas forcément simple pour les dirigeants de TPOP. Et c'est vraiment dans cette époque-là que moi-même, j'ai créé une cabine il y a bientôt 30 ans. C'est-à-dire de répondre à cette solitude et de venir comme un vrai dirigeant. Là, comme mon neuf le disait, il y a un piège à faire que nous, on a joué le jeu. Mais si vous avez un conseil à donner un petit peu, quel conseil vous donnez à ces dirigeants-là de passer, de faire le cas ? Je pense que c'est vrai que nous, sur des TNE, on n'a pas de service financier, on n'a pas de service informatique, on n'a pas de service juridique. Et c'est vrai qu'on nous demande de dire du mieux des choses qu'il y a été en ayant des compétences alors qu'on ne les a pas. Moi, j'avais des compétences commerciales, j'ai un cerne sur le taille et je me suis toujours dit, c'est un délacetisme si ça ne correspond pas à nos tailles d'entreprise. Je pense qu'il faut sortir de cette croyance qu'on est des petites structures, qu'on n'a pas besoin d'avoir nos conseils d'une direction financière. C'est justement l'expertise qu'on n'a pas et passer sur l'expertise des autres qui nous permettent de progresser, de consolider nos business. Et surtout, ce n'est pas subtil en fait. En tout cas, moi, d'abord, je disais au début que j'étais prête pour prendre. Je pensais que ça ne m'intéressait pas du tout. Moi, je pensais qu'aller chercher du développement commercial, c'était la réussite de l'entreprise. Et en fait, c'est là où je me suis rendu compte que nous, gérer une société, ce n'est pas que faire du développement commercial, c'est pouvoir maîtriser son développement commercial, comprendre que le développement n'est pas trop cher et qu'il faut être solide. On dit qu'en faisant une deuxième société, on peut se casser la figure. Mais en fait, j'ai compris que si je voulais faire le progrès de ma société aujourd'hui, il faut qu'elle soit consolidée. Et consolider, c'est d'avoir une compréhension de la gestion et de la nature de la société. Ce qui est intéressant et qui peut faire peur, je pense, quand on est dirigeant d'entreprise et qu'on est seul dans son coin, c'est que quand tout fonctionne, on ne pose pas de questions. C'est-à-dire quand il y a de l'argent qui rentre, quand on a assez de trésorerie, ça fonctionne plutôt bien. On attend que ça se lance, qu'on a moins de trésorerie et qu'on sent qu'on a besoin d'aide, qu'on se pose des questions. Et c'est le moment de se dire que je vais me faire accompagner. C'est-à-dire que même si mon société fonctionne, que je suis tout seul et que je ne prends peut-être pas les bonnes décisions, je peux dire, bon, est-ce que je peux être accompagné quand ça va bien ? Oui, il faut se lancer. Moi, je suis directeur commercial. Quand Mahima me dit qu'on va faire appel à Funoka, je lui dis pourquoi. Je ne comprends pas. Tout va bien. Tout va bien. Et finalement, il y a des vraies questions. On a fait les prévisions et on continue à travailler avec Funoka, puisqu'on voit que ça fonctionne et qu'il nous aide à avancer sur la planification de l'année prochaine. Mais je ne comprenais pas, non plus, pourquoi on allait travailler avec Funoka. Tout à l'heure, on a parlé d'investissement, de ROD. En fait, oui, il y a une rentabilité sur une émission, mais il y a aussi l'investissement sur la térénité. On sait où on va. Et on avance, je pense, de manière beaucoup plus sereine. Parce que ça, ça n'arrive pas. Ça n'arrive pas chez ROD. Bon, très bien. On arrive à la fin de l'émission Funoka. Je vous remercie infiniment, Mahima et ROD. Je vous dis à très vite, à très bientôt. Merci, au revoir. Au revoir.

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