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This is a conversation between the interviewer and Michel Lamaure, who is a clinical nurse. Michel talks about his job in surgical radiology, where he takes care of patients after surgery and follows protocols. He also mentions working with a sympathetic doctor and a psychotherapy-social worker. Michel explains that becoming a nurse can be done through different paths, such as a two-year program or a general bachelor's degree. He also discusses the stress involved in the job and how patients sometimes expect nurses to know everything. Finally, he explains that he chose to become a nurse after working in construction for many years and needing a change. Bonjour, bonjour, excellence, merci de m'aider. Aujourd'hui, je suis en compagnie de Michel Lamaure qui est infirmière clinique. Bonjour, M. Lamaure, peux-tu nous parler de ton métier, s'il vous plaît ? Par exemple, ici, la journée clinique, c'est très vague. Je pourrais en parler pendant très longtemps, mais je ne pourrais jamais m'attendre. Je ne sais pas ce qu'il faut dire pour s'occuper des postes en chirurgie, en médecine, en cardiologie, en nephrologie, en pneumo, etc. Moi, j'occupe un poste en radiologie chirurgique. Donc, les patients qui viennent d'être opérés, c'est à moi de m'occuper d'eux, de suivre les protocoles pour l'opération. Les patients qui ont un bien apaisé, ou souvent qui sont sous traitement, avec des puissances analgésiques, qui veulent assurer le suivi de l'opération, le dépensement, leur état de conscience, le bloc mental, le bloc mentalistique, ceux qui dépensent bien dans leur vie, qui dépensent bien. Puis, beaucoup d'exercices qui amènent l'état de santé. Je vais travailler avec un médecin sympathique, qui m'a aidé, pardon, avec mon soeur de métier psychothérapie-travailleur social. Je suis développé pour la réhabilitation du travail social, des fois, parce que les gens, ils pourront publier avec l'obésité, maintenant qu'on fait une seule opération. Donc, comme je vous l'ai indiqué, ça, c'est très vaste. Là-bas, c'est juste mon site qui demande pour moi, absolument. OK, merci. J'ai une autre question. Peux-tu te présenter pour que nos autres clients puissent s'entendre un peu mieux à qui ils ont besoin ? Oui, je m'appelle Mickaël Lavance, j'ai 31 ans. J'ai fait mon changement de carrière au début de ma trentaine. J'ai deux grands garçons, j'avais passé à l'éutrasie. Je suis un fan de football, comme mes garçons. Et puis, c'est ça. Ça résume. D'accord, merci. Maintenant, qu'est-ce que tu fais pour devenir infirmier ? J'ai plusieurs voies pour devenir infirmier. Je peux faire deux ans à ce que j'aime en tant qu'infirmier. Peut-être que je peux faire un bac général. Ou je peux faire la technique pour être infirmier. Je peux faire deux ans à la prochaine dessert. C'est là-bas que j'ai décidé de me débrancher. C'est tout ce que j'ai fait pour devenir infirmier. D'accord. Est-ce que tu as déjà arrêté de stresser avant que vous n'êtes plus infirmier ? Non, j'ai déjà arrêté de stresser avant que je ne sois infirmier. Il y a des générations qui n'ont pas vu des choses anciennes. On a commencé avec des petites pressions, comme à 73 sur 40. J'ai déjà dit qu'il n'y a pas d'effondrement temporaire. C'est comme un stressant. Après la suite, il peut y avoir des bullies. Les liquides sont revenus très rapidement. Souvent, ils ne sont pas des liquides qu'ils ont eus pendant l'opération. Il y a vraiment des liquides dans leur organe. C'est-à-dire qu'il y a des basses pressions. Et puis, ça peut être très, très faible. C'est-à-dire que la pression du genre est très rapidement facile. Parfois, il y a des décompenses. Il y a du stress. Quand il y a du stress, il y a du stress. C'est vraiment invariable. D'accord, merci. J'ai une autre question. Est-ce que des fois, des personnes pensent que, vu que tu as étudié pour si longtemps, que tu connais tout en bas de toi ? Est-ce que des fois, c'est arrivé que tu avais des problèmes de relation ? Oui, c'est sûr. Les patients, parfois, se perdent. On n'a pas toutes les réponses à leurs questions. D'abord, on n'est pas un médecin qui sait… On ne connaît pas définitivement, jamais, des faits secondaires, de traitements, de ressources en lien avec les patients. Malheureusement, on ne peut pas tous les savoir sous nos doigts. C'est des patients souvent qu'on voit. Mais là, nous, en étant médicaments, là, ben, c'est des faits secondaires. Est-ce que, lui, il va me faire pareil ? Mais, j'en connais une partie des faits secondaires, mais c'est un… Je ne les connais pas tous définitivement, je ne peux pas les vérifier. Dans la littérature, parfois, les patients, les patients, il faut avoir réponse à tout, immédiatement, selon eux. Pas tout le monde, les médecins. D'accord. Et, là-derrière, pourquoi la construction, au domaine de la santé, c'est des médecins qui ne se ressemblent pas du tout ? Oui, ben, j'avais toujours voulu être infirmier. Mais, la vie m'a amené sur la construction, dans la jeunesse, pour toutes les raisons. Puis, c'est évident, la construction, à la même, j'ai fait mes 15 ans, presque 15 ans d'année, dans un domaine-là. Puis, au bout de quelques années, je commençais à l'excuser, physiquement, mentalement. J'avais besoin de changements. Donc, j'ai décidé de faire un retour aux études, puis de réaliser la règle que je voulais faire. Puis, c'est la règle de la profession que je voulais faire, depuis que j'étais jeune. Merci. Bonne journée.

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