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The speaker brings up two points in the meeting. First, they mention that a case involving Mr. Lefèvre and the hotel La Rivière has been handed over to a law firm, and they ask the mayor for more information about the debts owed to the city. Second, they inquire about the results of a financial analysis conducted by a local consulting firm. They also express frustration that a contract with IFOP has not been included in the meeting notes. The mayor responds by giving some information about the hotel case and the financial analysis. The speaker then criticizes the mayor for not fully answering their questions and for making unnecessary comments about other matters. They ask the mayor to answer questions respectfully and without deflecting. No further observations are made. Oui, bonsoir à tous. Donc, dans les comptes rendus de décision, donc la 380, page 14. Merci de donner la page. Oui, c'est à la fin. Alors, à l'époque, donc en octobre 2023, j'étais... J'ai que 13 pages. Ah non, 14. Institution et vie politique. Ah, ok. Allez-y. Oui, donc en octobre 2023, j'étais déjà intervenue par rapport à l'hôtellerie de La Rivière, où j'effectuais un petit résumé par rapport aux sommes dues, ce qui s'était passé avec la ville, etc. Aujourd'hui, donc, je vois que l'affaire a été confiée au cabinet de la Housse. Donc, ça veut dire que M. Lefèvre est donc mis au tribunal. Alors, est-ce qu'aujourd'hui, M. le maire, vous pouvez nous apporter quelques précisions quant aux sommes dues à la ville ? Parce qu'il y a des sommes conséquentes, je pense, qui sont dues à la ville. Et est-ce que vous pensez très sincèrement pouvoir récupérer ces sommes ? Étant donné que M. Lefèvre, donc, était en liquidation judiciaire, je pense là qu'on va pouvoir, globalement, s'asseoir sur un bon nombre de dettes de M. Lefèvre. Alors, ce qui est fort dommage, c'est qu'aujourd'hui, s'il était rentré au sein du conseil municipal, parce que je tiens à rappeler quand même qu'il faisait partie de votre liste, on aurait peut-être pu avoir des explications. Donc, aujourd'hui, j'aimerais connaître quand même le montant approximatif, ou au moins, si vous espérez récupérer des sommes. Il y avait un deuxième compte rendu de décision, qui est donc le 712. Vous confiez donc à un cabinet, un conseil en finances local, pour une mission d'audit flash. Alors, déjà, à savoir si cette audite a été réalisée. Si oui, est-ce qu'on peut en connaître les résultats ? Parce que je vais profiter de l'occasion de compte rendu de décision également, pour faire une remarque sur des comptes rendus de décision. A savoir, tout simplement, je m'étonne qu'à ce jour, un contrat de prestation qui était passé avec l'IFOP, ne soit toujours pas venu dans les comptes rendus de décision. Je rappelle donc que c'était par rapport au sondage. Voilà, je vous remercie. Oui, vous avez eu satisfaction sur... nous avons satisfait votre demande. Oui, c'est bien. Donc, on a satisfait votre demande. Vous essayez de rebondir. Autrement dit, on vous a ouvert la porte, mais ça ne suffit pas. Il faut aussi qu'on vous offre la fenêtre. Voilà. Concernant le cabinet Klopfer, ce n'est pas la première fois, ce n'est pas la dernière, qu'on s'appuie sur ce cabinet qui est connu et qui nous conseille et qui nous fait souvent des études flash comme ça. Alors, je ne sais pas si ça fait partie des décisions, M. le directeur général. Oui. Vous les aurez un jour en décision. M. Lachitte. Oui, c'est moi, M. le maire. Je fais ce que je veux, Mme Lachitte. Vous n'avez pas répondu à la question concernant l'hôtellerie de la rivière, M. le maire. M. Lachitte. M. le maire, s'il vous plaît. Est-ce que vous pouvez répondre à ma question concernant l'hôtellerie de la rivière ? Je vais répondre. C'est moi qui suis la police de l'Assemblée, Mme du Châtel. Oui, M. le maire. M. le maire, je vais rebondir sur la 712. Oui, c'est vrai. 21 456 euros. 21 456 euros pour une analyse financière. Ce qui est un peu dommage, c'est qu'on aurait pu l'avoir, là, justement, pour ce débat d'orientation budgétaire. Ça nous aurait éclairé. Si on la reçoit après... Mais bon, c'est toujours un peu dommage, toujours, de mettre la charrue avant les bœufs. Et je pense que ça aurait été beaucoup plus judicieux d'avoir cette... Que vous la fassiez, aucun problème. Mais qu'on puisse avoir au moins des éléments pour pouvoir nous prononcer sur ce DOB. Merci. Alors, l'analyse qui a été faite, vous la retrouverez dans le débat d'orientation budgétaire, puisque on s'en est servi aussi pour des orientations budgétaires. Et je peux vous dire que tout va bien, le verre est plein. Et il n'est pas vide. Voilà. Et comme ce n'est pas un sondage, c'est un document administratif. Je le communiquerai quand je voudrais. Bien. Alors, concernant l'hôtellerie de la rivière. Monsieur Lefebvre est parti quasiment à la cloche de bois. Et avec une dette qui doit tourner aux environs de 300 000 euros, tout compris. Et qu'il a été mis en liquidation judiciaire. Et que certainement nous n'en récupérerons pas grand chose. C'est clair. Voilà. Et il a fait partie de la liste, c'est vrai. Mais il était en dernière position dans les remplaçants. Dans les remplaçants de remplaçants. Oui, il n'était pas dans les 39. Il aurait siégé au cas où on est 39 élus, ce qui est impossible en démocratie. Sauf peut-être dans certaines villes, anciennement RPR, du côté de Pluto ou autre. Voilà. Dassault, il s'appelait comme ça. Oui, il avait un chat. Et oui, écoutez, on peut rigoler aussi des morts. Ça les fait revivre. Ça les fait revivre. Mais je vais vous soigner, vous. Donc, voilà. Donc, si vous voulez, M. Le Chitte. Alors, M. Le Maire, c'est quand même incroyable. Vous vous justifiez. Vous vous justifiez. Ah non, mais il était sur ma liste, mais il était en dernier. À un moment, assumer juste... Non, mais, excusez-moi. Prenez le soin d'écouter. Vous allez voir, ça se passe très bien. Et ça évite toute polémique. D'accord ? Je vous dis encore une fois. Assumer. Oui, il était sur ma liste. Alors, vous êtes en train de vous justifier. Non, le dernier des derniers, des remplaçants des derniers. À un moment donné, assumer. Oui, il était sur moi. Oui, j'ai commis une erreur. Oui, j'ai fait une boulette. Je vous l'ai dit tout à l'heure, reconnaître c'est à moitié pardonné. C'est à moitié pardonné pour ces erreurs, pour cette gestion calamiteuse que vous faites pendant cette mandature. Et puis, s'il vous plaît, arrêtez à chaque fois. Répondez aux questions sans véritablement faire une calipète pour parler du RPR, de Tartaplon, qu'il est mort ou qu'il n'est pas mort. C'est vrai que vous êtes au RPR. Je ne peux pas. J'ai oublié. Alors, il est RPR, je suis fier d'avoir appartenu à un groupe. Et puis, je revendique. Et puis, il n'y a pas de problème. Ça me va très bien. Je n'ai pas de soucis là-dessus. Et soyez, s'il vous plaît, pour que ce conseil se passe bien. Répondez aux questions et arrêtez de prendre les gens de haut. Et puis, d'un coup de cuillère, d'essayer de balayer. Ma collègue vous a posé des questions. Répondez-lui tranquillement. Et vous allez voir, vous n'allez pas tousser à la fin. Merci. Bien, y a-t-il d'autres observations ? Non ?