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The podcast "Révolution Z" is aimed at women who want to prioritize themselves and live life on their own terms. The host, Marie-Lou, encourages women to embrace their true selves and prioritize their well-being. She discusses topics such as mindset, self-care, and personal development to help listeners become more self-aware and fulfilled. Marie-Lou also emphasizes the importance of changing our internal dialogue and treating ourselves with respect. She shares personal anecdotes and encourages listeners to redefine themselves and not let others define them. By changing our internal language, we can create positive changes in our lives and attract healthier relationships. Marie-Lou suggests an exercise where listeners describe the person they want to be and compare it to their current self. This self-reflection can help in creating the desired change. Est-ce que ça t'arrive de ne pas te sentir à ta place, de te sentir perdue ou de vouloir du changement dans ta vie sans trop savoir où commencer? Si oui, le podcast est pour toi. Bienvenue sur le podcast Révolution Z, moi c'est Marie-Lou et je m'adresse aux femmes de ma génération qui veulent se mettre en priorité, bâtir leur vie selon leurs propres standards et à être pleinement. Tout ça dans le but d'assumer leur vraie couleur pour mener une vie à la hauteur de qui elles sont vraiment. Je suis tannée de voir des femmes s'empêcher d'être elles-mêmes par peur de sortir du corps imposé. Chaque épisode te permettra d'approfondir ton introspection et ta transformation intérieure vers une version de toi plus consciente et épanouie. On va jaser mindset, self-care et développement personnel dans le but de révéler la vraie toi et de mettre ton bien-être en priorité. Es-tu prête à créer des réels changements dans ta vie? Ça commence à l'intérieur de toi, ici et maintenant. Bonne échec! Allô! J'espère que tu vas bien. Je suis vraiment contente de te retrouver. Ça fait un petit peu que je n'avais pas enregistré. Là, je ne sais pas si... Je pense que je ne parle pas fort. Mais c'est parce que si tu n'as pas suivi dans les dernières semaines, dans les derniers jours, parce que ça fait juste une semaine et demie, j'ai un nouveau petit chien. Et là, il dort. Fait que j'en profite parce que c'est l'enfer sinon. Fait que j'en profite pour enregistrer. Ça ne va pas être un épisode super long, je crois. J'avais envie de te parler du langage interne parce que je suis témoin beaucoup trop souvent de femmes qui se manquent de respect dans la manière dont elles se parlent. Ce n'est pas rare que j'entends des femmes s'insulter, se rabaisser, dire qu'elles sont « don't neither » ou « don't » je ne sais pas, perdues. Et honnêtement, je suis là-dedans comme on n'est pas parfait. Je pense qu'il y a toujours moyen de s'améliorer et ça ne sera jamais parfait. Mais je pense que c'est important de prendre conscience et que le premier pas vers un changement dans ta vie, ça apporte de toi. Ça apporte de la manière dont tu te parles. Parce que comment tu veux créer un changement dans ta vie si tu te manques de respect, que tu ne te parles pas bien. Il n'y a absolument rien qui va changer parce que tu ne sauras même pas ta valeur, tu ne sauras même pas savoir ce que tu mérites, ce que tu vaux. C'est vraiment comme le premier pas selon moi à changer et à prendre conscience. Je sais que ça remonte de loin ces affaires-là. J'ai l'impression que c'est un peu comme on entend nos amis dire, nos amis quand on est plus jeune. Quand je suis au comptoir, j'en ai des étudiantes qui viennent et qui se parlent entre eux. Mes oreilles saignent. Ils se parlent et ils sont comme, « Est-ce que t'es conne ? » Je me rappelle qu'on parlait tous d'eux-mêmes quand on était plus jeunes. C'est terrible, c'est terrible parler comme ça, non seulement à nos amis, mais à nous-mêmes. On est la seule personne avec qui on va habiter toute notre vie, qu'on va endurer toute notre vie. Ça ferait le fun que ce voyage-là soit agréable en toi. De devenir beaucoup plus respectueuse envers la personne que tu es, parce que tu mérites du respect. Tu mérites de choisir, de te parler comme il faut et d'arrêter d'endurer des gens qui ne te parlent pas bien. La majorité du temps, quand on ne se parle pas bien, ça fait en sorte que les gens ne nous parlent pas bien. Parce que nous, on ne s'accorde même pas de respect. Les gens le voient. On attire des gens qui ne nous respectent pas. J'avais envie de juste partager un petit peu des petites anecdotes que j'ai vécues, des trucs comme ça, et des trucs sur comment « switch » ton langage interne. Si on se fait toujours dire qu'on est X, Y, Z dans notre vie, c'est comme si on va finir par le croire. On était fait répéter longtemps qu'on était gêné, qu'on n'était pas bon en maths, qu'on n'était pas fait pour. C'est pour moi n'importe quoi. Il y a des gens qui se permettent de dire des affaires sur nous, qui pensent nous connaître. Je trouve ça terrible parce que ça nous met dans une boîte. Ça fait en sorte qu'on pense que c'est ça la vérité, alors que ce n'est pas du tout. Il faut arrêter de donner ce droit-là aux gens, de nous catégoriser dans quelque chose. Souvent, ça commence à l'adolescence ou l'enfance. Ça, c'est des choses qu'on ne peut pas contrôler et qui sont ancrées en nous maintenant. Malheureusement, il faut se défaire de ces croyances-là. On pense vraiment des fois qu'on n'est pas bonne ou qu'on n'est pas assez intelligente pour aller faire telle affaire ou qu'on est trop intense. Mais tu es toi et c'est ça ta force. Je veux qu'on commence à révéler la vraie personne qu'on est parce qu'on est toutes des femmes extraordinaires, uniques à notre façon. On n'a pas assez de terre, on n'a pas à parler moins fort, on n'a pas à être moins intense, on n'a pas à être moins rêveuse. On a toute la capacité de créer la vie qu'on désire avoir, qu'on désire vivre. Je pense vraiment que ça commence avec notre langage interne parce que si nous-mêmes, on ne se parle pas bien, la vie autour va juste réfléter de la manière dont on se parle. C'est juste de mettre ses limites aussi par rapport aux gens et de nous-mêmes. Je pense que du moment que tu vas faire un changement dans ta vie à toi, l'extérieur va se réfléter. Si toi, tu ne tolères plus de te manquer de respect, que tu cesses de te parler avec violence parfois ou avec manque de compassion, on est tellement durs envers nous-mêmes et on se met tellement de pression. Juste hier, j'écrivais dans mon journal, j'ai un nouveau cahier de journaling pour Noël. Ça faisait depuis 2017 que j'avais mon cahier de journaling. Ça faisait 6 ans que j'écrivais dedans. J'ai comme clos mon journal. J'en avais demandé un nouveau avec mon amie la même année que j'avais acheté mon cahier en 2007. En tout cas, je trouvais ça super significatif. Dans mon cahier de journaling, j'ai commencé à écrire. Aujourd'hui, je n'ai pas été super productive. Puis là, je me suis rendu compte de ce que j'étais en train d'écrire. J'étais comme, mais voyons donc. Ce n'est pas vrai que je n'ai pas été productive. J'ai tout coché ma to-do list. Comme on a tendance à toujours se rabaisser. À ne pas célébrer nos petites victoires. À jamais voir nos bons coups, nos bons côtés. C'est toujours facile de tourner plus vers le négatif. Et d'être dur envers nous-mêmes. Et de se mettre tellement de pression. Après ça, j'ai vraiment changé. J'ai écrit, ben non, c'est pas vrai. Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Je suis vraiment dure envers moi-même. J'ai tout accompli ce que j'avais à faire dans ma journée. Je suis vraiment fière de moi. Même si je n'avais pas tout accompli ce que j'avais à faire. J'ai still fait des choses pour moi. Je suis fière d'avoir passé à travers cette journée-là. Il faut être capable d'avoir ces victoires-là au quotidien. C'est tellement dur. On dirait qu'on est tellement entouré de négativité. De jugement autour de nous. Que ça devient naturel. C'est rendu ça la réalité de tous. De se manquer de respect. D'être dure envers nous-mêmes. De se mettre de la pression. Mais on pourrait-tu juste être des humains heureux et en paix avec nous-mêmes. Qui s'aiment. Nos relations seraient tellement plus saines. Tellement plus belles. Tellement plus positives. Tellement plus vraies. Beaucoup moins lourdes. La relation avec les autres. Mais aussi envers nous-mêmes. Je pense que ça commence vraiment par là. Tu peux littéralement définir la personne que tu veux être. Ne laisse pas personne te faire croire que tu es ci ou ça. Comme je te disais au début. J'ai l'impression qu'on s'est tellement fait répéter souvent. Quand je suis allée au secondaire. Il y a un micro qui m'appelait Mahabou. À la base c'est drôle. Mais j'étais tellement tellement gênée au secondaire. Que j'avais l'air bête. On pensait que je voulais arracher la tête à tout le monde. Tellement que je n'étais jamais tournée dans ma face. Parce que j'avais tout le temps peur de dire quoi que ce soit. Ou qu'on me fasse juger. Ou qu'on me juge. Puis ça je le cachais bien quand même. Mais je faisais ma tosse. Je faisais comme si rien ne m'atteignait. Puis que j'étais trop... Aujourd'hui jusqu'à maintenant je n'ai pas de recul. Ça fait longtemps. Ça fait 6 ans. Ça fait quand même un petit bout que j'évolue là-dessus. Mais je le sais que j'étais tellement gênée. Puis on m'a tellement répétée que j'avais l'air bête. Que j'avais l'air bête. Que moi je n'étais pas sociable. Que moi... Un mari là n'aime pas le monde. Puis c'est drôle. On dirait que je te parle de ça. Puis ça me rend comme émotive. Émotive parce que... Mon Dieu, ce n'était pas prévu. Parce que... Je n'avais pas prévu de te parler de ça. C'est drôle. Ça m'est comme venu en tête. J'ai l'impression qu'on se fait tellement mettre dans des boîtes dans notre vie. Puis ça ne devrait pas. Puis je suis vraiment quelqu'un qui aime les gens. Qui aime connecter. Puis je me suis fait à croire longtemps que ce n'était pas vrai. Puis je manquais tellement d'opportunités. J'ai tellement manqué d'amitié. J'ai tellement resté... J'ai manqué des opportunités. Puis je ne regrette rien. C'est mon cheminement. Puis c'est correct. Mais c'est important de ne pas laisser autant de pouvoir aux gens. Comme c'est fou comment ça a un impact sur notre vie. Puis moi j'ai cru longtemps que je n'étais pas une bonne personne. Je devais plus sourire que je devais. Mais je peux-tu être moi? Puis c'est tout. C'est pareil pour toi. Je parle au moi mais en fait je m'adresse à toi. Le changement, tu peux le créer à partir de toi-même. J'ai envie de te faire un exercice. Juste de te poser la question. J'aimerais ça que tu te décrives. J'aimerais ça que tu décrives la personne que tu aimerais être. Tu vas peut-être voir que ce n'est pas la même personne. Peut-être que tu vas voir qu'il y a des ressemblances. Peut-être que tu vas voir qu'il y a des choses à travailler. Peut-être que celle que tu as décriée comme étant toi-même aujourd'hui, ce n'est pas une perception qui est... En fait c'est la perception des autres peut-être. J'aimerais ça que tu en fasses prendre conscience. Parce que moi, quand on me demande de me décrire, on a tout le temps de la misère à se lancer des fleurs, puis à se complimenter. On est toujours capable de voir plus nos défauts que nos qualités. C'est comme difficile. Je t'invite vraiment à te poser la question, c'est quoi mes qualités? Comment je suis dans la vie? Pas basé sur des commentaires que tu as eus. C'est correct d'avoir des... C'est trop actif d'être des gens, de demander des fois aussi. Demandez à des gens de confiance. Que vous aimez, que vous sachiez que ces gens-là ont des bonnes intentions, qu'ils sont bienveillants envers vous-même. C'est facile de se laisser critiquer ou se faire mettre des idées dans la tête par des gens qui ne sont pas bienveillants. Il faut changer ça. Je ne veux pas que tu laisses personne te faire croire que tu es d'une certaine façon. Si toi, tu n'es pas d'accord, c'est correct. Ce n'est pas un fait ce que les gens te disent. À partir d'aujourd'hui, j'aimerais que tu apprennes à te connaître. Savoir comment tu es. C'est vite cassé cet effet-là de... « Oui, je suis comme ça, mais parce que tout le monde dit que je suis comme ça. » Non, ce n'est pas vrai. Tu peux définir qui tu es. Ça, ça porte de notre langage interne. La manière que tu te parles, la manière que tu te traites. C'est vraiment de développer ta capacité à te reprendre quand il y a des choses comme ça qui arrivent. Si par rapport à une situation, tu as oublié quelque chose... Moi, je suis vraiment quelqu'un de distraite dans la vie. C'est correct. Pour de vrai, à un moment donné, j'enrie et j'arrête de me taper sur la tête pour ça. J'oublie plein d'affaires. C'est probablement parce que je suis très tête en l'air, j'ai beaucoup de projets, je suis passionnée. On m'avait déjà fait croire que c'était bad d'oublier tout. Je ne parle pas d'oublier ma mémoire, je suis distraite. Je me trouve des trucs, je suis plus organisée. Mais comme... C'est vrai que c'est bad. Ce côté-là, je ne m'en fais plus avec ça. Ce n'est pas quelque chose que je me décris. Mais... Juste de remarquer. Je m'en arrête avec ça. Je ne sais pas pourquoi j'ai dévié de moi-même. Juste de développer ta capacité à te reprendre. Mettons que moi, je suis distraite. J'ai oublié, j'essaie pour moi de faire quelque chose pour mon job. J'ai oublié de crier à quelqu'un. Ça m'arrive des fois. Au lieu de me dire que c'était menaçant. T'as oublié encore, ça t'arrive tout le temps. J'ai l'impression de m'auto-insulter. On dirait que je suis malaisée de faire ça présentement. Je ne vais pas aller trop deep. J'ai déjà entendu des femmes qui s'étaient vraiment pire que ce que je disais. Juste d'entendre des mots de moi-même, ça m'irrite. De développer ta capacité à remarquer que tu te parles de moi-même, à être plus consciente. Quand ça m'arrive, je me reprends. Les filles au chèque-bord, quand ça arrive, je leur dis direct, ne te parles pas comme ça. Je pense qu'il faut développer ce réflexe-là de se reprendre. Je ne veux pas me parler de moi-même. Je ne mérite pas ça. Tu le switches. Tu te parles avec plus de douceur et d'amour. Je voulais te parler... Je vais te parler d'affirmations positives. Je ne veux pas embarquer dans un débat de positivité toxique. Je ne veux pas être positive. Je te dis juste d'être plus empathique, d'avoir plus de compassion, d'amour. C'est tellement facile de se manquer de respect. Je ne te dis pas que quand tout va mal, tu te dis que la vie est belle. Ce n'est pas ça. Avec un autre sujet de podcast, je vais te parler d'émotions. J'ai hâte de faire un épisode là-dessus. Je ne veux pas embarquer là-dedans. Je veux juste te parler d'affirmations de switch des pensées avec des affirmations positives que toi-même t'as créées. Tu peux t'inspirer sur Pinterest ou des trucs comme ça pour les créer, mais j'aimerais vraiment que tu fasses l'exercice de créer tes propres affirmations personnalisées. Parce que tu vas vraiment les filer beaucoup plus. Tu vas vraiment comme... Ils vont vraiment plus résonner et vibrer fort en toi que si tu fais juste lire quelque chose pour lire quelque chose. Dans le fond, c'est que tu es tellement habitué d'avoir fait dire que tu es d'une telle façon ou tu es tellement habitué de répéter les mêmes affaires négatives que c'est rendu que ton cerveau te croit. Je te donne un exemple. Je travaille dans le domaine du BNSF. J'aide les gens à se remettre en forme, à avoir des meilleures habitudes de vie. Ça m'arrive régulièrement que les gens me disent « Oui, mais j'ai peur de lâcher. J'ai peur de ne pas continuer parce que j'ai un manque de motivation. En fait, c'est un manque de discipline. C'est parce que ton cerveau est conditionné au fait que tu lâches tout le temps. Il ne te croit pas quand tu lui dis « Oui, je vais me remettre en forme cette fois-ci, c'est la bonne. » Il ne te croit même pas. Il va falloir que tu le reconditionnes, que tu redéfinisses ce que tu veux vraiment et que tu reformules c'est quoi que tu veux dans ton cerveau. Pour que ton cerveau te croit que tu veux te remettre en forme et que tu as fait plus que deux semaines et qu'il t'a quitté. Là, on est très dans ça présentement avec les résolutions au début d'année. Je ne sais pas quand est-ce que tu m'écoutes, mais moi, présentement, on est le 29 décembre. Quand tu vas écouter ça, on va être en début janvier. Ben, supposez-le. Je lance le podcast le 4 janvier. Je ne dis pas que tu vas l'écouter le 4 janvier, mais en tout cas, bref. Peu importe quand dans l'année, on s'en fout. Il y a tout le temps des périodes. C'est tout tard comme des moments propices que les gens veulent se remettre en forme. Ils veulent des résultats quick. Ça fait que tu ne le fais pas pour les bonnes raisons et tu lâches rapidement. Ton cerveau te croit. Il croit ce que tu fais. Comme si toi, à chaque fois que tu quittes, tu te répètes ça. Je suis une failure. Je quitte après deux semaines tout le temps. Ça ne vaut même pas la peine parce que je sais que je vais quitter. J'entends que ça va demain des fois. Je ne reconnais pas que tu te manques de respect et que tu n'es pas capable de tenir parole envers toi-même. Comment ça se fait qu'on est capable de tenir parole quand on doit quelque chose à quelqu'un mais qu'envers nous-mêmes, on n'est même pas capable. C'est fou. Ça, ça n'a pas de bon sens. Il faut arrêter de faire ça. Souvent, c'est parce qu'on se met des goals qui ne sont pas alignés avec nous-mêmes. On ne se met même pas des objectifs qui sont probablement réalistes parce que souvent, on veut aller trop vite. On n'est pas patient. Mais l'important, c'est que tu le fasses pour toi et que tu aimes le processus au complet. Pas que tu aies perdu 20 livres en deux semaines. Ça n'a pas d'allure. Mon point avec ça, c'est que tu dois reconditionner ton cerveau avec des nouvelles croyances, avec des nouvelles actions. Si de plus en plus, tu le fais, de plus en plus, toi, tu vas croire que tu es capable de le faire. Ça va faire en sorte que ton cerveau va se reconditionner tranquillement. Ça ne va pas deux jours. Il faut que tu sois patiente. Il faut que tu le fasses over and over. Les affirmations, je trouve que c'est une belle façon de le faire. C'est sûr qu'il y a des actions qui doivent se faire. Il n'y a pas des miracles qui vont arriver parce que tu vas lire des affirmations. Il faut que ce soit intentionnel. Je te donne un exemple. Si tu dis... Ok. Dans le fond, en gros, je vais commencer par le commençant. Des affirmations positives, à quoi ça sert? C'est vraiment à ça. Tu reconditionnes ton cerveau à des choses que tu veux. Je t'invite à retrouver ta liste de la personne que tu veux être ou la faire. Tu fais cette liste-là. Et comment qu'elle est cette personne-là? Est-ce qu'elle est patiente? Est-ce qu'elle est heureuse? Est-ce qu'elle est belle? Est-ce qu'elle est... Je ne sais pas moi. Est-ce qu'elle est respecteuse? Est-ce qu'elle s'aime? Est-ce que... Plein de choses comme ça. Est-ce qu'elle est abondante? À partir de ça, au moment où tu veux savoir où tu sais qui tu veux être, comment tu veux agir, switch ça. Toutes tes croyances limitantes, toutes tes phrases un peu moins belles que tu te répètes dans ta tête. Tes idées qui sont plus négatives de toi. On a tout le temps ça, cette voix-là dans notre tête qui est un peu négative. C'est notre ego qui est comme « Non, ma maman, ne fais pas ça » ou « Tu vas te planter ». On n'aime pas cette voix-là. On ne la contrôle pas tout le temps, mais il faut la laisser de côté. Souvent, juste décrire ce que tu te répètes Écris-le juste une fois. On ne veut pas trop y penser, mais d'écrire dans un cahier. Mettons, j'ai peur... Je veux me remettre ensemble, je veux m'aimer, mais j'ai peur de lâcher après deux semaines. Je vais te donner un exemple. J'ai peur de manquer d'argent. J'ai peur de me faire laisser. J'ai peur de ne pas réussir mon examen. Whatever. Je ne m'aime pas, je ne me trouve pas belle. Whatever. T'as des choses comme ça qui ne sont pas nice. Switch-les. Crée-toi des affirmations en transformant complètement ce mot-là. Cette phrase-là. Ici, je reprends ma première phrase qui est « J'ai peur de lâcher, je veux me remettre ensemble, mais j'ai tendance à lâcher après deux semaines. » Tu te refais une phrase et tu te dis « Je me respecte assez pour ne pas... » Non, pas un négatif. L'univers ne catche pas la négation. On va recommencer. Tu pourrais formuler ça. La syntaxe, c'est terrible. Je fais de mon mieux. Je me choisis, je me respecte assez pour continuer de prendre soin de moi et apprécier mon processus même si ça prend plus de temps. Whatever. Je m'aime. Je m'accorde du temps parce que je me respecte. Je m'aime. En tout cas, tu peux aller voir ce Pinterest. Je n'ai pas mes affirmations devant moi. Je pourrais t'en nommer une couple. Je l'ai sur mon site. Je m'en ai écrit une couple. Ce n'est pas grand-chose. C'est vraiment quelque chose que j'aime faire. Ce n'est pas le genre de chose que tu fais une fois et c'est réglé. Il faut répéter pour que ton cerveau assimile ça. Il y a des affaires aussi. Tu peux aller voir Joe Dispenza sur YouTube. Il y a des trucs d'hypnose dans le sommeil. Ça reconditionne ton cerveau. Tu peux aller voir des affirmations sur YouTube pendant la nuit. Tu mets ça et ton cerveau les entend. En tout cas, je trouve ça malade ces affaires-là. Je ne suis pas une pro. Je te parle de ça. Je sais que ça existe. Je m'étais fait une petite liste d'affirmations. Je me fais confiance. Je crois en mes capacités. Je sais que je suis en train de grandir. Je suis belle. J'aime et je suis fière de moi. Je travaille sur mes objectifs pour être la femme épanouie que je mérite d'être. Me prioriser m'aide à prendre soin des gens qui m'entourent. C'est vraiment de reconditionner ton cerveau à ce que tu veux. C'est d'identifier tes croyances limitantes. Je ferai un podcast là-dessus. Si jamais tu veux que je fasse un podcast là-dessus sur les croyances limitantes et comment reconditionner ton cerveau à ça, ça pourrait être bien. Je me choisis tous les jours. Si tu manques de temps et que tu n'as jamais le temps pour moi, j'ai du temps pour moi. Je prends le temps. Il y a des petites phrases que tranquillement, pas vite, ça va me dire que tout ce que je crois, ce n'est pas la réalité. Je mérite de m'aimer. Je mérite de me donner du respect. Ça commence avec la manière que tu parles. Les affirmations, je trouve que c'est un bel outil. Je m'essaye d'écrire une liste dans mon cahier. Mon cahier est ouvert sur ma table de chevet tout le temps. Je les lis matin et soir. Des fois, je les manque. Je ne le fais pas tous les jours. Je ne suis pas parfaite. Je trouve que c'est vraiment important de le faire. Si tu as tendance à oublier, tu te mets des gosses, tu les mets dans ton tiroir, tu les retrouves un autre temps. Ce n'est pas ça le but. Si tu veux créer des changements dans ta vie, fais les actions pour. Tu pourrais écrire ça dans un cahier et le mettre sur ta table de salon, ta table de cuisine, sur ton bureau. Tu pourrais mettre un timer pour le faire à chaque trou dans ton ordre de dîner. En tout cas, tu as compris le principe. Je pense que tu le fais un peu quand tu veux, mais de le faire en répétition, instantanément, ça nous met dans un bon mood. On se sent plus confiante. Pour de vrai. Je vois vraiment une différence. Ça me fait vraiment du bien à chaque fois. C'est pas mal ça. J'avais envie de te le dire aujourd'hui. Tu es capable de tellement plus que ce que tu penses. C'est une phrase que j'aime répéter tout le temps parce que c'est vrai. Souvent, on se limite beaucoup. Je pense que notre langage, nos pensées peuvent vraiment créer notre réalité. Ça part avec nous-mêmes. Fais ce travail-là. Je te dis que tu vas voir une grosse différence dans ton quotidien. Si tu remarques que personne ne te respecte, que les gens disent des choses de toi, mais toi, qu'est-ce que tu te dis de toi-même? Il suffit de redéfinir qui tu es et qui tu veux être et de ne pas laisser les gens piler dessus. Moi, on m'a souvent répété comme moi, mais des jeunes, tu n'as rien à m'entendre. OK. À quel point c'est pas vrai et ça, c'est quelque chose que je m'étais mis en tête. À chaque fois que j'embarque sur un sujet, je suis comme « je vais faire un épisode là-dessus ». Je vais faire un épisode là-dessus, by the way. L'âge, ce n'est pas une limite. Je vais faire ça parce que je m'adresse au Gen Z, mais pas juste au Gen Z. Je sais qu'il y a sûrement des gens qui ne sont pas Gen Z qui m'écoutent. Je veux qu'on brise cette barrière-là de l'âge. Je vais finir ça là parce que je m'enligne sur des nouveaux sujets que je veux aborder plus en profondeur dans d'autres podcasts. Je ne veux pas les dire en surface, mais c'est ça. Je t'invite à faire ta liste d'affirmations. J'aimerais tellement ça que tu me l'envoies. Si tu veux la faire et me l'envoyer, je trouverais ça vraiment utile. Si tu as des questions ou tu veux qu'on continue la conversation ou qu'on aille en plus en profondeur, viens m'écrire sur Instagram. Reste là parce que si on est dans la première semaine du lancement, j'ai un concours vraiment insane que je fais pour ton support, pour te remercier, etc. Reste là parce que j'annonce ça à l'instant. Un gros merci de ton écoute, full love, et on se jase dans un prochain épisode. Bye bye! Allô! Oh my god! J'espère que tu es prête. J'espère que tu as écouté ça jusqu'à la fin. Prends un petit deux minutes. Ça vaut la peine. Aujourd'hui, c'est le lancement du podcast. On est le 4 janvier. J'ai regardé un concours pour le lancement, pour te gâter, te remercier de ton support. Du jeudi 4 janvier au jeudi 11 janvier, tu auras la chance de gagner une boîte cadeau thématique self-care. Of course, on raisonne tellement. J'ai eu la chance de connaître plusieurs entreprises locales à travers des pop-up au bien. Pendant l'année, j'ai trippé sur ces compagnies-là. J'ai envie de te les faire découvrir à travers la boîte cadeau que je vais te faire. Ça va être une boîte d'une barre de 100$. De plus de 100$. Dans le fond, il va y avoir des articles de la compagnie. C'est Malume, Esprit Lip Boutique, Daily Paper Co, des produits du au bien. Tout ceci choisi par moi, évidemment. C'est vraiment des choses que je trippe et que j'ai probablement déjà toutes chez moi. Comment gagner cette boîte self-care-là? Je vais te dire comment. Durant les dates du 4 au 11 janvier, si tu donnes une note sur le podcast ou que tu fais une story, tu partages le podcast en story en me taguant mariebarrambabienac sur Instagram, ça te donne un coupon. Une des deux actions te donne un coupon. Tu peux faire les deux, ça te donne deux coupons. Tu peux faire à l'infini, ça va te donner 5 coupons. Moi, je comptabilise les coupons vraiment du 4 au 11. Puis le 12, je vais annoncer la gagnante ou le gagnant sur mon Instagram en live. C'est vendredi le 12. Je vais l'annoncer aussi sur l'épisode du 8 janvier qui va être lancé. C'est ça. Un gros merci de ton support. C'est grand plaisir de te faire découvrir le plus rapidement possible. Bonne chance. Je t'embrasse énormément. On se voit dans un autre épisode.

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