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Learn moreThe speaker addresses the audience, emphasizing that Advent is a time of anticipation and preparation for the coming of Jesus. They explain that there are three main announcements during Advent: the birth of Jesus, the messianic times, and the return of Christ. The speaker encourages everyone to reflect on how they are orienting their lives towards Jesus and to be ready for His coming. They highlight the importance of preparing for Jesus' visitation by examining and addressing areas of improvement in their own lives. The speaker urges for humility, repentance, and hope during Advent. They invite everyone to be visible signs of God's love, peace, forgiveness, and reconciliation in their families, communities, and country. The speaker concludes by encouraging individuals to make commitments to improve themselves and their relationships as they begin the new liturgical year. Frères et sœurs, paix et joie du Christ ! Paix et joie du Christ ! Alors, chers frères et sœurs, les voix du Seigneur sont amour et vérité. Nous sommes là pour écouter la parole de Dieu, pour goûter à son amour et pour qu'il nous dise la vérité que nous devons prendre en considération dans notre vie chrétienne pendant notre pèlerinage sur la terre. Chers frères et sœurs, aujourd'hui nous commençons le temps de l'Avent, une nouvelle année liturgique passant de l'année B que nous venons d'achever avec la fête du Christouroi et aujourd'hui nous commençons une nouvelle année qui est l'année C. L'Avent est un temps des annonces. Il y a trois annonces principales. L'annonce de la naissance de Jésus où, depuis le temps, l'histoire de la création, l'histoire du salut, on nous a annoncé que le Sauveur viendra nous sauver, nous aider à retrouver la vie. Il y a l'annonce des temps messianiques. C'est le temps dans lequel nous sommes. Le Seigneur, le Messie, qui est déjà là, régnait dans nos vies. Le sait Dieu être Dieu, lui donner la place centrale. Et troisièmement, l'annonce du retour du Christ où le Seigneur viendra à la fin du temps nous prendre avec lui. Et ce temps d'Avent, c'est pour que nous puissions nous rappeler que le Seigneur est là, il va venir et il est là dans nos vies et qu'à la fin de tout, il viendra nous prendre. Donc, pour un chrétien, la vie ne finit pas sur terre. Nous sommes là en plein pèlerinage et chaque jour nous devons vivre en fonction de la vie future. La question que nous devons nous poser aujourd'hui, en ce premier dimanche de l'Avent, pourquoi toutes ces annonces sont-elles faites ? Un bref éclaircissement sur le sens de l'Avent, qui vient du latin adventus, c'est-à-dire qu'on nous annonce la venue de Jésus dans nos vies, dans notre histoire. Et nous devons voir comme c'est aujourd'hui que nous venons de commencer. Bravo à vous tous d'être là pour commencer cette nouvelle année liturgique. Et nous devons voir comment se déroule ce temps de l'Avent dans l'Église. Le premier dimanche de l'Avent est celui de l'attente du retour du Seigneur. Et chaque année, Jésus nous répète pour ainsi dire. Jésus lui-même se répète. Il se répète parce qu'il voit des lacunes en nous, en chacun de nous. Il se répète, sa parole se répète, se renouvelle tous les jours parce qu'il nous aime. C'est comme un parent qui aime ses enfants et qui continue à revenir sur le même conseil. Tu dois avoir les oreilles, c'est pour écouter, ce n'est pas pour te punir. Mais c'est parce que Dieu nous aime, voilà pourquoi il se répète, voilà pourquoi nous sommes là en train d'attendre la venue de Jésus. Jésus veut que nous soyons prêts. Il se répète en nous demandant de veiller. Veillons frères et soeurs. Alors, ça c'est la première semaine des temps de l'Avent. Le deuxième et troisième dimanche de l'Avent sont ceux de Jean-Baptiste. Et pour le deuxième dimanche, Jean-Baptiste invite le peuple à préparer le chemin du Seigneur. Préparons le chemin du Seigneur. Le troisième dimanche, ou la troisième semaine de l'Avent, sera pour nous un dimanche, une semaine qui nous oriente vers Jésus. En nous annonçant sa manifestation imminente, sa manifestation directe, Jésus, Dieu dans notre histoire. Et ça, c'est au cours de l'année liturgique B et C. Donc l'année que nous avons achevée et la nouvelle que nous commençons. Alors, étant déjà dans l'année liturgique C, nous verrons que le troisième dimanche de l'Avent, les lectures vont nous inviter et vont nous orienter vers la personne de Jésus. Regardons notre vie. Comment orientons-nous nos vies? Vers quoi ou vers qui? Est-ce vers Jésus, vers le maître de l'histoire? Alors, le quatrième dimanche est le dimanche de l'annonciation à Marie. Ça, c'est pour l'année liturgique B. C'est aussi le dimanche de l'annonciation à Joseph. Mais c'est à Joseph au cours de l'année liturgique A. Sachant que nous avons trois années liturgiques, A, B et C. Et puis, toujours ce même dimanche, quatrième dimanche de l'Avent, on va nous parler de la visitation. Et c'est au cours de l'année liturgique C que nous venons de commencer. Et donc, frères et sœurs, cette année doit être pour nous une année de visitation. Où le Seigneur doit nous visiter. Où nous devons ouvrir nos portes au Seigneur pour qu'il trouve sa demeure dans nos vies. Et l'annonce est que le Seigneur vient. Il vient visiter tout un chacun de nous. Mon intention de prière, c'est que le Seigneur visite tout un chacun de nous et apporte la solution à tous nos problèmes et à tous nos soucis. Dites Amen. Parce que c'est une année de visitation. Que le Seigneur apporte la solution aux problèmes de mariage. A ceux et celles qui ont une foi chancelante, une foi vacillante. Aujourd'hui tu es chez les catholiques, tu viens, tu participes au sacrement, demain on se voit le pied dans d'autres histoires. Que le Seigneur vous visite pour que vous ayez une foi solide et que vous restiez debout sur vos deux pieds. Amen. A ceux qui cherchent du travail, je dis bien que c'est l'année de visitation. A ceux qui cherchent du travail, que le Seigneur vous apporte la solution. Amen. A tous ceux que nous avons comme problèmes, nous avons tant de problèmes, de maladies, de difficultés, de soucis, là dans nos coeurs, dans nos vies, dans nos familles, que le Seigneur nous visite au cours de cette année liturgique sainte. Amen. Alors, frères et sœurs, je vous dis que cette année est une année de visitation. Et le Seigneur est là, prêt de nous rendre visite. Mais nous devons préparer sa venue. Nous ne devons pas rester bras croisés. Je m'en vais vous donner quelques exemples. Parfois nous prions, oui le Seigneur ne répond pas, le Seigneur ne répond pas. On abandonne même la prière, on abandonne de venir à la messe, disant que le Seigneur traîne. Oui, frères et sœurs, mon frère, ma sœur, tu pries le bon Dieu pour qu'il te donne un mari ou une femme. C'est un exemple. Et pourtant, et pourtant, c'est toi qu'on connaît partout dans le quartier à avoir une vie désordonnée. C'est toi la star du quartier. Vrai ou faux ? Et après, tu vas pleurer que le Seigneur ne t'a pas visitée. Tout le monde te connaît. Tu vas pleurer parce que tu es en train de croiser la Sainte Catherine et que l'âge d'entrer au mariage est à sa limite. Mais, regarde ton comportement. Regardons nos comportements. Comment préparons-nous la venue de Jésus pour qu'il apporte des solutions dans nos jours ? Les gens cherchent le mariage avec torche. Vrai ou faux ? Vrai ou faux ? C'est un temps d'invitation. Soyons vrais devant Dieu pour qu'il puisse venir apporter une solution. Les gens cherchent le mariage avec torche. Et toi, tu as eu la chance d'être là-dedans. Tu t'amuses là-dedans. Ce n'est pas seulement des femmes qui cherchent le mariage. Pour dire que je m'adresse aux femmes, il y a aussi des hommes qui cherchent le mariage. Oui, il y a des gens qui prient nuit et jour pour avoir un conjoint et une conjointe. Et toi, le Seigneur t'a fait grâce de te retrouver là-dedans. Tu t'amuses avec. Les gens cherchent du travail. Et toi, tu as la chance de l'avoir. Mais tu le négliges. En y allant toujours ivre. En faisant que le minimum. Grâce au moment de service, tu es là en train de tourner le pouce. Tu dois recevoir les clients, tu es là toujours visage fermé. Comme si sans ces clients-là, on continuait toujours ce pays. Alors que le Seigneur nous aide pour que chacun regarde dans sa vie. Qu'est-ce que nous devons arranger pour que Dieu vienne ? Je dis que ce soit une année de visitation. Que le Seigneur visite ceux et celles qui cherchent à s'engager dans le mariage. Et que nous puissions nous-mêmes prendre des décisions. Dire oui Seigneur, je dois arranger ce côté. Pour que tu viennes opérer de miracles. Le Seigneur veut que nous prenions conscience de protéger déjà ce que nous avons de précieux. La couleur liturgique du temps de l'Avent est le violet. Comme vous le voyez, il y a beaucoup de violets partout par là. C'est une couleur qui nous invite à l'humilité, à la pénitence et à l'espérance. L'humilité, c'est-à-dire que tant que Dieu, notre vie tombe en ruine. Voilà pourquoi Dieu veut venir dans notre histoire. La pénitence, pour dire oui Seigneur, j'ai péché. Prends pitié de moi, pour toutes les bêtises que j'ai commises. Prends pitié et laisse-moi repartir sur de nouvelles pistes. C'est une nouvelle année, prenons des résolutions. Et l'espérance, mettons notre espoir en Dieu. Il ne faudrait pas qu'à cause de difficultés, que nous allions mettre nos pieds dans des histoires mélangées. Notre Dieu est un Dieu jaloux. Il ne veut pas être mélangé. C'est comme un amoureux, une amoureuse jalouse, jalouse, qui ne veut pas être mélangé. C'est ça aussi notre Dieu. C'est l'époux et l'église de l'épouse. Nous, nous sommes les membres de cette église. Et Dieu n'est pas content de voir tout le chrétien patholique avec tous les sacrements en train d'aller à gauche, à droite. Tu cherches quoi ? Retourne vers le Seigneur. Les lectures d'aujourd'hui, frères et sœurs, nous disent que le Seigneur revient. Il vient nous visiter et il vient nous apporter des solutions. Cette année liturgique étant une année de visitation, je nous invite tous à être des signes visibles de Dieu. Des signes visibles de l'amour de Dieu pour nos frères et sœurs. À être des signes visibles, des signes d'amour, de paix, de pardon pour nos familles. Des signes visibles de la réconciliation pour notre pays. Oui, et pourquoi pas pour notre paroisse. Des signes de paix, d'amour, de joie, de réconciliation. Peut-être qu'il y a des problèmes à gauche et à droite. Il y a des chuchotements à gauche et à droite, des bourdonnements par-ci, par-là. Mais je nous invite, dans toute humilité, que ce soit une année de visitation, d'amour fraternel, d'harmonie et de pardon. Ayons un amour de plus en plus intense et débordant afin de plaire à Dieu. Engageons-nous dans nos familles au cours, au début de cette nouvelle année. Disons par exemple, moi, je m'engage à être un bon parent, un parent responsable parce que je reconnais avoir déraillé. Je m'engage à être un parent responsable. Je m'engage à être une femme digne et responsable pour le bien de mes enfants, pour le bien de ma famille. Je m'engage à être un enfant digne qui fait la fierté de mes parents. Je m'engage à être un chrétien fervent pour le bien de ma communauté chrétienne. Avec la seule motivation de plaire à Dieu. Paix et joie du Christ ! Il y a les gens qui dorment déjà. Voilà, alors nous devons tout faire pour la plus grande gloire de Dieu. Sur ces faits et faits, je nous invite à faire de progrès en tout, dans le bon sens, au cours de ces temps liturgiques, au cours de cette année de visitation. Ce ne sont pas les exemples qui nous manquent, j'en ai tellement. Je m'en vais prendre quelques-uns. Si nous voulons que ce soit une année de progrès, je me regarde d'abord à ma vie chrétienne. Si ma caisse, mon offrande pour le Seigneur, était toujours un grand souffrant. Je me dis, Seigneur, je dis une année d'humilité, de se reconnaître. Oui, Seigneur, quand même, je sais que j'ai été trop chiche envers Toi. Ou parce que le Père Gérard m'avait énervé, voilà, j'avais pris la décision de ne plus faire offrande, de ne plus donner la caisse. Je ne veux plus dire merci à cause de tel chrétien, à cause de tel frère. Je ne veux plus aller à l'église, mais non, non, progressons dans la foi. Progressons dans la foi. Et disons, Seigneur, Seigneur, cette année, je fournirai beaucoup plus d'efforts pour donner si je donnais 50. Je peux bien quand même ne pas donner 150, non ? C'est mauvais. C'est mauvais. Quand on parle d'argent, là, les oreilles se ferment. Moi, je suis déjà malade, j'ai des cotons dans mes oreilles. Mais on va continuer. Alors, frères et sœurs, que chacun dans sa vie regarde comment il peut fournir les efforts pour ainsi progresser dans l'amour vrai, pour progresser dans la foi et dans le pardon. Et je vous rassure dans les engagements que vous allez prendre. Je vous rassure de mon soutien spirituel. Je vous rassure de prier pour vous. Et je vous le promets, ça c'est une résolution que moi je prends au cours de cette nouvelle année. Priez pour vous et implorez la bénédiction de Dieu sur tout un chacun de vous, sur vos vies, vos familles, sur tout ce que vous entreprenez de bon et de bien pour que le progrès puisse avoir lieu. Et je pense que c'est pour ça que j'ai été ordonné. Implorez la bénédiction de Dieu sur vous, gratuitement. Ce que vous avez reçu gratuitement donné, voilà. Parfois on peut être énervé, tu es attendant, tu te dis, je veux mon livre, mais tu dis, mais Seigneur pardon, tu tournes, tu fais signe de quoi, tu dis, voilà, c'est pas pour ça que tu m'as appelé. Que le Seigneur nous aide. Alors, frères et sœurs, dans l'évangile, le Seigneur nous invite et il attire notre attention. Il veut que dans le moment de trouble, dans le moment de désarroi, de désespoir, le moment de mort, le moment de peur, que nous fassions tout pour ne pas perdre notre foi en Dieu. C'est au moment où nous ne nous y attendons pas, que le Fils de l'homme viendra dans sa gloire nous apporter le salut. Et le moment difficile, le moment de maladie, le moment de trouble dans nos vies sont des moments très dangereux pour la vie de foi. C'est là que le diable rôde aux alentours pour te proposer d'autres solutions qui t'éloigneront bien évidemment de Dieu. Que le Seigneur vous visite. Pour tous ceux qui sont malades, que le Seigneur vous accorde, vous apporte la guérison. Et le Seigneur veut que nous restions debout dans notre foi. Ne cherchons pas à aller chercher refuge ailleurs. Sinon, il te dira, mais que sert à l'homme de gagner la vie, de gagner le monde entier et de perdre son âme. Même dans le moment de trouble et de difficulté, tournons-nous vers le Seigneur. Voilà la bougie qui nous invite à l'espérance. Et donc le conseil de notre Seigneur aujourd'hui, en ce premier dimanche de l'Avent, est de rester sur nos gardes. Car nous ne savons ni le jour ni l'heure de notre grande rencontre avec lui. Frères et sœurs, ne cherchons pas refuge dans ce qui passe au risque de nous faire perdre notre foi en Dieu. Ne cherchons pas refuge dans une prise excessive de boisson ou dans la debauche sous prétexte de régler nos problèmes. Invitons le Seigneur à venir nous visiter et à régler nos problèmes. Et le seul moyen pour y arriver, c'est de rester éveillé comme lui-même venait de le dire. Veillez et priez. Voilà le message de ce premier dimanche. Veillons et prions. Je m'en vais finir cette homélie par une petite exhortation à nous tous chrétiens. Nous qui sommes appelés à être la lumière du monde, nous invitons à l'amour de la prière. L'amour de la prière. Et c'est quoi la prière ? J'ai trouvé une définition qui me convient. Je ne sais pas si ça va marcher avec vos attentes. La prière, c'est le regard du fiancé posé sur sa fiancée. C'est ce regard de la fiancée posé sur son fiancé. Ça suffit comme définition, non ? C'est regarder Dieu avec reconnaissance, avec humilité et abandon. Regarder Dieu avec amour, dire que merci pour l'être étonnant que je suis. J'aurais dû être peut-être un chien quelque part, non ? Les chiens sont des créatures de Dieu. Mais le Seigneur, dans ses grâces, il dit je veux te créer à mon image et à ma ressemblance. Mais regarder Dieu, lui dire merci pour son amour envers nous. Et avec humilité, demander pardon, c'est un temps d'humilité, d'où la couleur nous invite à l'humilité et au pardon. Et également l'abandon, c'est là la prière. Je m'abandonne entre tes mains Seigneur, fais de moi ce qui te plaira. Alors, la prière doit être avant tout l'action des grâces au Seigneur. Dire merci à Dieu pour son amour malgré nos faiblesses. Lui dire merci pour nos parents. Lui dire merci pour nos parents qui se soucient de nous et qui se dépensent pour nous jour et nuit. Pour notre bien. Dire merci au Seigneur pour les amis que nous avons. Lui dire merci pour la femme que j'ai. Il ne faut pas toujours vous la menter. Dire à Seigneur merci pour cette belle créature. La femme doit dire merci, dire merci à Dieu pour le mari que tu as. Voilà. Et également lui dire merci pour les gens qui nous entourent d'affection. Alors, frères et soeurs, apprenons à prier en famille avec nos enfants. Le message de Jésus nous invite à veiller et à prier. Nous ne venons que de commencer une nouvelle année. Tout ce que nous avons comme soucis, comme difficultés, même si nous nous sommes bagarrés. A la fin de la journée, allons vers le Seigneur ayant l'humilité de dire, voilà Seigneur, nous venons auprès de toi. Nous venons auprès de toi car au cours de la journée, nous nous sommes bagarrés. Voilà pourquoi nous venons demander pardon, car nous avons déshonoré ton nom. Seigneur, je demande pardon d'avoir critiqué, d'avoir chuchoté ta parole de Dieu, les voies de Dieu, son vérité et vie. Si c'est la vérité, dis-la pour aider les autres. Nous te disons merci Seigneur pour ton amour. Merci de nous avoir montré ce jour. Merci pour la santé, merci pour ce soir, pour cette nuit que tu nous donnes pour nous reposer. La prière doit être avant tout merci. Avant de nous lamenter, avant de lui demander quoi que ce soit, la prière doit être l'action des grâces. La prière doit être l'action des grâces. Alors, frères et sœurs, fournissons les efforts pour voir déjà le merveille que Dieu a opéré dans nos vies et disons-lui merci. Et je vous rassure, si nous prenons conscience de cela, nous participerons à la messe avec joie. Et notre participation à la messe aura tout son goût. Nous aurons la joie de rester devant la face de Dieu. Car la célébration eucharistique veut tout simplement dire action des grâces au Seigneur. Que le Seigneur nous bénisse et qu'il nous bénisse notre pèlerinage.