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The speaker shares a personal story about how using a product called "kaka samsa" brought positive changes in their life. They mention recommending it to their husband, which led to job opportunities and personal growth. Through using the product, they gained confidence, overcame fears, and experienced blessings in various aspects of life. The speaker emphasizes the importance of honesty, gratitude, and perseverance. They also recount a specific instance where invoking blessings during a ritual resulted in their daughter receiving a scholarship. Ultimately, the speaker expresses gratitude for the positive transformations brought about by their experiences with "kaka samsa." E dje koni kaka samsa an 20la, an 2014. Sa site awa a, sa lente njie din kupi. E site leben di digan hutma. E la roi di ziriko. Ase moma sa nalepa ditu. Mon mari etait au chomage. Moi, c'était la seule mère, avec deux enfants à moi. Grâce a kaka samsa, j'ai recommandé le ben à mon mari, qui l'a accepté. Moi aussi je me suis mis dedans. Ca nous a apporté beaucoup d'ouverture. Lui, par la suite, il a eu des contrats de CDD, qui s'est informé en CDI. Jusqu'à aujourd'hui, mashallah. On rend grâce. De mon côté aussi, j'ai continué avec ça. Et je venais peut-être recruter dans une fonction publique. A même temps, j'ai connu ma copine, une collègue de service. Aujourd'hui, c'est comme une soeur. Elle m'a adoptée, elle m'a acceptée. Mashallah, je rends grâce. Avec elle, j'ai fait le chemin pour les produits de kaka samsa. A chaque fois, on prend les produits de digan hutma, la roi di ziriko. On devait mettre ça dans l'eau et se laver quotidiennement. Et vraiment, mashallah, ça allait. Au début, j'étais avec 5 collègues dans le bureau. Elles me jalougeraient. A chaque fois qu'il y avait une opportunité, c'est le moment d'avoir. Chose même qui était bizarre. Chaque fois qu'il y a quelque chose, une mission ou quelque chose comme ça, c'est le moment qui sort. Et à la fin, j'avais même peur. Parce qu'en ce moment, tata Sam s'était arrêtée, tata Ramadou. Moi, je suis allée la voir pour faire le retour. Je dis vraiment, façon j'ai commencé vos bains, je dis, ça fait peur. Et en ce moment, les bains, quand tu fais les bains, tu devais faire tout pour pouvoir être une, comment on appelle ça, tes rêves, pour pouvoir te rappeler de tes rêves. Moi, ma première fois de faire les bains des vivants, c'était moi. Les derniers rêves, parce que chaque dernier jour, vraiment, tu dois t'y mettre compte. Moi, j'étais là, dans des toilettes, où les toilettes, les toilettes étaient pliantes, accrochées, je ne sais pas le nom, je vais lâcher du coup, accrochées de chiffon sale, sale, où il y avait des déchets partout. Et moi, j'étais au milieu. Et là, même moi, je n'étais pas tranquille avec ça. Et l'eau, elle coulait sur moi. Je me lavais, je me lavais, je me lavais. En tout temps, quelque chose sortait à mon fond. Et la chose, je l'étais arrêtée devant la porte des toilettes. C'était comme une masque, les os, là. Et j'étais à bourreau. S'il y a des bourrelets qui nous coulent, je vais en connaître. C'était un masque, où les masques, là, mettent les tenues, et puis ils sont comme, voilà, c'était comme ça. Et le masque, il s'est arrêté me regarder, moi-même, j'ai eu peur. Et puis, train de chemin, comme ça. Quand moi, j'ai regardé le masque, là, je me suis tournée, et puis, je me venais. Quand j'y suis allée, j'ai retourné à Tata Sam, et à Tata Ramadou. Et elle m'a dit que ça, c'est une très, très, très bonne idée, en tout cas. Et je me suis délivrée. C'est une délivrance, et un blocage, même, de ma vie. Et, mâchallah, j'ai lancé. Après ça, tout allait, avec mon patron, avec mes supérieurs. J'étais la plus côtoisée. J'étais la plus... Comment on appelle ça ? Désirée au service. Tout le monde... Quand moi, je rentre dans un confinement, tout le monde me regardait comme ça, et j'avais tellement peur. Et ça n'a pas fini. Jusqu'à aujourd'hui, 2014, jusqu'à aujourd'hui, si j'ai gagné l'opportunité, je ne m'arrêtais jamais de prendre le bain. À chaque fois, le bain, je le prenais en vous-même, au quotidien. J'ai recommandé ça à ma petite soeur. Qui avait peur de son mari. De revenir à la maison. Je suis allée avec elle. On a pris le bain avec Papa Ramadjou. Et quand elle est venue, ça n'a même pas fait trois mois, elle a eu un mari. Et c'est marié. Mon mari aussi, son contrat, c'est un soignant, c'est lui. Et je l'ai avec. Une copine, une cousine. Aujourd'hui, elle est en Amérique avec son mari. Elle aussi, elle suivait son copain. Ça n'allait pas. Les paroles, elles n'étaient plus infinies. Dès que je l'ai amenée là, ça n'a même pas fait un mois, elle a fait son mariage. Je lui ai dit ça là. Non, c'est un don du Dieu. C'est un don du Dieu. Si Tata Samu n'était pas là, il fallait qu'on l'accrète. Tata Samu. Et mon Dieu, c'était mort naturellement, je l'ai dit. Tata Samu. Et mon Dieu, c'était tout ce que j'ai découvert chez Tata Samu qui m'a fait du bien jusqu'à aujourd'hui. Ce que je vais dire à mes soeurs, il ne faut jamais, il ne faut jamais se fatiguer de parler de Tata Samu. La vie, là, il y a tellement de vagues. Il y a tellement de vagues. Nier n'est facile. Et dès que tu baisses les bras, les ennemis sont à la porte. Voilà. Et quand tu fais le produit de Tata Samu, il faut être vrai. Je dis vrai, c'est quoi? Il faut être honnête dans ta vie. Honnête auprès de ton entourage. Honnête auprès du Dieu. Honnête auprès de toi-même. Voilà. 7. Toute personne est jalouse. Quand tu vois une chose chez quelqu'un, en tout cas tu l'as vu. Mais quand même, cette jalousie-là, il faut qu'on ait la jalousie d'avoir la persévérance au lieu de jalouger la personne pour que le bien qu'il a dans sa main disparaisse. Plus Dieu. Même si c'est ta copine, tu peux attraper sa main, tu lui dis, ah, vraiment, tu as eu ça, cette voiture, quoi, quoi, quoi. Tu donnes tes bénédictions aussi. Et puis tu lui dis même, ta copine, tens ta main, tu mets sur ta tête afin que ce bonheur-là aussi m'arrive. Tu vas voir que Dieu va accomplir. Depuis que j'ai connu Tata Samu, je t'attache. J'aime faire le mot. Au fait, il faut que Tata même inclue ça dans ses enseignements. Quelqu'un qui donne, qui est vraiment, qui fait l'offrande, ça m'aime ici. C'est une vie de jamais. T'as m'aime ici, chérie, t'as m'aime, tu es là tout le temps, le même lieu. Ici, là, ça s'incline, de l'autre côté, là, ça va se soulever. Moi, en tout cas, c'est mon cas. C'est mon cas. Du coup, je suis là, il n'y a rien. Quand je vois que c'est bizarre, seulement, je fais tout pour aller chercher le type de désengoutement. Présentement, j'ai la paume de sérénité et avec ça aussi, c'est un autre événement. Avec la paume de sérénité, j'ai confiance en moi. Avec la confiance de sérénité, j'ai retrouvé, je ne sais pas, un autre moi, comme je peux le dire. Moi, je ne pouvais pas m'exprimer en public. Lors de nos réunions, j'avais la voix tout le temps tremblante. Je ne pouvais pas me voiler qu'avec la paume de sérénité, je suis séréne. J'ose, mais la peur qui m'animait, aujourd'hui, je n'ai plus cette peur. Non, j'ai un courage qui m'anime. Jusqu'à deux fois, même, je me demande vraiment pourquoi je suis devenue une autre moi. Si je peux m'exprimer ainsi, ça a sens. Merci. Merci d'être dans mon vie. Merci d'être dans mon vie. Et je continue toujours. J'ai fait le bain et un cacao en décembre. Dès que j'ai fait le bain et un cacao, j'ai entamé avec le tarin caramel et le tarin sable. Non, ça c'est un autre niveau. Au fait, au moment du bain, j'ai invoqué des intentions, des informations que je demandais à Dieu vraiment pour rendre ma vie facile. Je rends toutes les beautés que j'ai eues à Dieu. Merci. Avec le corps blanc, tout s'accomplit. Et je vis de ça. Depuis décembre jusqu'à aujourd'hui, mâchallah, je rends grâce à Dieu. Je rends grâce à Dieu. C'était ma première fois de faire le bain. Tout ce que je faisais, c'était l'équipe des besoins. Mais quand j'ai fait le bain, c'était un autre level. C'était un autre level. Je ne sais pas. C'est trop. Les grâces-là sont trop dans ma vie. Les grâces, Papa, ça me remercie. Auprès de mes enfants, hein, quand je fais les choses, c'est bien ce que Papa dit de prendre pour les enfants et tout. Moi, je n'ai jamais pris quelque chose pour mes enfants, parce que c'est pour moi d'abord. Et je me dis, la maman qui couvre ses enfants c'est comme la pluie qui couvre ses poussins. Et à travers mes bains, même les trucs qui s'invoquent là, non. Et je vois la positivité dans l'énergie. Je vois très bien la positivité dans l'énergie. Ma fille voulait avoir une bourse. Et quand je suis allée, elle est venue et elle m'a dit, Maman, à l'école, on a amené un circulaire où on demande à ce que ceux qui veulent la bourse n'aient pas à faire. J'ai dit, ah. J'ai dit, moi, j'aurais appliqué sur les orphelins et je me suis dit, non, maman. C'est notre surveillant là qui a dit que tous ceux qui veulent peuvent le faire. J'ai dit, ok. Lui donne, je vais voir. C'est un petit thème de ce qu'on doit constituer. Après, j'ai parlé à son papa. Lui-même, il était karma négatif. Il m'a dit, non, que si les deux parents travaillent, on ne va pas l'accorder. Je lui ai dit, c'est interdit. Il s'est renseigné auprès de ses amis enseignants. Eux aussi, ils ont fait ce retour-là. J'ai dit, non. J'ai dit, moi, j'ai confiance en Dieu. Dieu dit de demander et il va accomplir. Voilà. Certes, nous, on n'est pas des orphelins. Et s'il y a une bourse et mon enfant, elle n'est pas le premier de la classe. Si vraiment, le surveillant a dit que tout est là pour le postuler, j'ai dit, moi, je vais le faire. À ce moment, je faisais un bain ici. Et dans mes bains, j'ai invoqué ça. Mon papa, ma soeur, je vous raconte ça. Dès qu'on a postulé, c'est à qui qu'il est dossé. Le jour même qu'il s'est allé déposer là, la lèvre est là, c'est moi qui l'ai vue. J'ai dit, hé, c'est ma place. J'ai dit, non, non, non, non. On ne peut pas vous donner la bourse. Qu'est-ce qui vous manque? J'ai dit, non, je ne sais pas moi. C'est l'élève qui veut. C'est l'élève qui veut. On va l'accompagner. J'ai dit, ok. J'ai dit, non, vous n'avez pas de nécessité. J'ai dit, ce n'est pas la nécessité. J'ai dit, l'enfant bosse, non. J'ai dit, oui, oui. Quand on a déposé, je vous dis, les résultats, là, sont sortis en trois semaines. Moi, j'étais là au bureau. Ma fille fait capture. Le nom, là, a été envoyé sur WhatsApp. C'était beaucoup de noms. J'ai cliqué, j'ai cliqué, je ne comprenais rien. Un peu de temps, je l'appelle. Et, elle s'était réjouie. Maman, j'ai eu. Maman, j'ai dit, j'ai eu quoi ? Que la bourse. J'ai dit, non, non, non. J'ai dit, c'est faux. J'ai dit, quelle la bourse ? J'ai dit, que oui, que j'ai eu. Que dans les six, son nom a été cliqué. Elle me donne le numéro. Quand j'ai fait comme ça, finalement, j'ai eu. Et, j'ai envoyé ça à son papa. J'ai dit, ce n'est pas vrai. Vous voyez comment Dieu fait le miracle ? Vous voyez comment les gens à faire de maraboutage, les gens à faire de quoi ? A traiter ton papy, si tu es musulman. Et, va à l'église, si tu es catholique. Et, tu appliques avec le titre de Tata Sam. Tata Papoto. Tata Papoto, moi, je vous parle de depuis 2014 jusqu'à 2025. Je suis collé à toujours avec Tata Sam. Tata Sam, avec le produit de Tata Sam. La merveille que j'ai eu dans ma vie. Si je vais faire un vocal là, on est en combien de minutes d'abord ? 14. Je vais faire des heures, vous allez m'écouter et vous fatiguer de moi. Donc, je vous dis seulement là. Oui. Et quand son papa, son papa, il m'a laissé carrément pour aller voir, pour me fatiguer. Quand il a dit à ses amis, il dit, il est venu me dire, il m'a dit, tu dis, c'est ta femme, elle est forte, c'est ta femme là. Non, elle connait les autorités et peut pas. Moi, avec Dieu, si je vous parle comme ça là, personne, je n'ai même pas appelé qui que ce soit. Je ne connais même pas ceux qui font la bourgeois, ceux qui sont zéro. C'est juste ces dossiers que j'ai constitué à les déposer et quand je faisais mes bains, j'ai invoqué ça et puis j'ai parlé en toute franchise avec le monde et il a compris et je remercie. Masha Allah. Je remercie Dieu. Tata Sam est dans notre vie comme l'arée Bikara qui est dans notre vie, comme tout saint qui prie et intercède. Dieu nous a donné Tata Sam ce saint. Tata Sam, merci. Merci de tous ces efforts que tu fais pour nous. Moi, je suis une de vos bourreaux et je viens de faire mon gommage et je vais vous revenir pour mes retours. C'était la première fois aussi. Merci à travers les bains que je fais avec Tata Sam. De fois, quand je me lève le matin, quand je vais appliquer sa pommade, je remercie le bon Dieu et je bénis Tata Sam d'être dans notre vie et je demande à Dieu toujours de la garder en bonne santé. Prospérer ses affaires, la mettre tellement à l'aise afin qu'elle produise encore des produits vraiment qui vont venir nous aider dans notre vie. Encore merci Tata Sam. Je vais m'arrêter là parce qu'il y a trop, trop, trop, trop, trop, trop de retours. Il y en a trop dans ma vie et avec tellement que j'ai aidé dans mon entourage, ça ne peut pas finir. Merci Tata Sam. Merci pour tout ce que vous faites pour nous. Nous, on est petits aujourd'hui. On n'a rien. Mais grâce à vous et pour vos prières, sachez que vous donnez le bonheur dans nos familles. Grâce à vous, une mère marche bien avec sa famille. Grâce à vous, un papa a eu un boulot. Grâce à vous, une femme a eu un foyer. Grâce à vous, une femme a eu un enfant. Tata, Tata, merci. Merci pour tout ce que vous faites pour nous. Et bon retour à mes voeux. Un bon retour à vous. Tata, merci, merci, amitié.