RÉTROSPECTIVE DE L’ANNÉE 2024

The speaker, Jonas Kadichon, reflects on the challenges faced in Portaça and the resilience of the Haitian people. Despite the hardships of insecurity, gangs, and political crisis, there is a sense of unity and determination to create a better future. The story of Sonia, a woman from Cité-Soleil, exemplifies this resilience. After losing everything, Sonia started a small business selling goods and gradually expanded it through hard work and determination. Her story serves as an inspiration for others. The speaker emphasizes the need for unity and action in facing the challenges of the future, and concludes by thanking the listeners and encouraging them to share the podcast. Bonjour mes amis, bienvenue à Portaça, quand nous prenons un moment pour nous réfléchir sur une histoire qui peut finir. Parler sous défi, nous devons construire et puis célébrer force avec résistance prépaissante. Moi-même, c'est Jonas Kadichon, et je tiens à m'inviter à faire un voyage émotionnel avec moi pendant qu'on a pensé et qu'on a préparé pour un meilleur demain. L'année 2024 était peut-être un peu chaleureuse pour nous, mais c'était aussi une petite leçon. Nous pouvons parler de ce qui nous a le plus frappés, des questions qui nous touchent, et puis partager l'espoir pour demain. Ecoutez bien, parce que Portaça, c'est une réflexion sur moi-même, sur tout Haïtien. Un pilier a été passé l'année dernière. Insecurité, gangs, crise politique, nous ne pouvons pas ignorer les douleurs qui nous frappent à chaque coin du pays. C'est un coup que tout le monde a demandé à Dieu. Qu'est-ce qui nous frappe ? Mais si on regarde de plus près, c'est ce qui n'a pas toujours fait cette nouvelle. Qu'est-ce qui nous frappe ? C'est le monde qui a aidé l'autre, qui a levé la tête ensemble malgré tous les obstacles. Quand on fait la loi dans plusieurs quartiers, c'est nous qui prenons le contrôle. Mais est-ce que vous voulez vraiment le pouvoir ? Ou bien est-ce que vous voulez seulement un système différent de celui qu'on a aujourd'hui ? Nous ne pouvons qu'oublier la crise de l'immigration, qui a frappé nos voisins en pile et fort, qui a obligé les Haïtiens à quitter le pays pour chercher leur vie. Ils ont quitté leurs familles, leurs amis et parfois leur identité. Malgré toutes ces choses, il y a des choses qui sont toujours trompées. Il y a des choses qui sont toujours là ensemble avec nous. C'est qu'il y a quelqu'un qui est fier. La vie est difficile, mais nous tous jouons une façon pour nous huer, pour nous chanter, pour nous danser. Mais qui vient nous faire ça ? Nous allons expliquer ça dans la prochaine bataille. Qui est-ce qui se prépare ici, tellement fort, tellement solide ? C'est l'esprit résilience. Depuis notre temps en révolution, jusqu'à aujourd'hui, nous n'avons jamais abandonné. Nous faisons notre business sur la route. Nous faisons de la musique, nous faisons de l'artisanat, nous cherchons à créer des opportunités malgré toutes les difficultés. Je vais vous raconter l'histoire de Sonia, la dame de Cité-Soleil, qui a refusé l'englais en nous disant « pas moi-même ». Nous tous connaissons Cité-Soleil, c'est une des zones les plus difficiles de Port-au-Prince. De l'autre côté, la vie, chaque jour, c'est une bataille. Pour Sonia, le mère de trois petits-enfants, la vie était toujours une bataille, une guerre. Mais, l'année 2024-là, il y a eu une grande destruction pour elle, qu'elle n'a jamais imaginé. Le matin, elle s'est réveillée, elle s'est brûlée, elle s'est cassée, elle s'est fait lever près de ses couilles, près de ses couilles. Elle a été obligée de quitter Caili, d'aller près de ses couilles, sans rien sur son dos. Seulement, avec l'espoir qu'elle a pris de son côté, qu'elle a pris en sécurité. Pendant des semaines, Sonia était près de ses couilles, elle dormait chez son père, couvrie, à cœur de la faim, vieillant mon voisin Thébaro. Caili était boulée, toute bagaille était disparaîte, rades, documents, même des marchandises étaient à la vente pour nous réformer. Sonia était facilement crasée, brisée, détruite, nette. Mais, elle avait gagné une bagaille qui avait toujours été avec elle. Cette détermination. Malgré la misère, Sonia a pris une décision. Elle n'est pas restée comme ça. Elle a marché dans les marchés locaux, elle a parlé avec les marchands qu'elle connaissait, elle a demandé qu'elle fasse un crédit pour un produit. Quelqu'un lui a donné une chance, l'autre lui a dit qu'il n'était pas possible, mais Sonia s'est servie, et ça a été joli. Ils ont fait un panier plein de mangots, de bois, de lait, de la poêle. Ils ont commencé à vendre sur leur petite place, à Bogoutla. Pendant toute la journée, les chutes en bas du soleil, et les clients à qui on voit chargés avec espoir. Ils ont acheté des mangots et des petits pois. Sonia n'a trouvé que une vente. C'était une étape qui n'était plus prête pour répartir la ville. Si Sonia n'avait plus de force, elle aurait dû faire ce travail pour nettoyer les mangots ou s'en sortir comme ça. Sonia a toujours dit qu'elle n'aurait jamais rêvé comme ça. Même si la vie était difficile, nous étions ici, nous étions forts. C'est ces paroles-là qui t'ont fait lever chaque matin mal de fatigue et de douleur. Et bien, après quelques mois, Sonia a fait assez de profit pour agrandir son business. Elle a ajouté de l'eau glacée à toutes les autres produits, tant que les produits gênent. Le client a commencé. Le client a commencé à rêver. Parce qu'il était toujours à ses lieux, à qui on sourit, malgré les situations difficiles. Et aujourd'hui, l'organisation internationale t'est passée dans ton nom, t'es dans tes histoires et puis t'es défi d'éballer dans ta boîte, d'éballer dans ton capital pour que tu puisses acheter plus de produits. Qu'est-ce qui nous a attiré sur toute l'histoire de Sonia? Je le dis, Sonia n'est pas seulement arrivée pour en sortir du monde libre. Elle a été une inspiration pour l'autre femme dans cet étoile. Elle n'a toujours pas eu le courage d'en parler, même si la vie semblait s'écraser. La vie t'a frappée. Mais elle n'a jamais fini si tu n'as pas eu le courage de camper. Il y a eu une grande montée dix mille fois. Elle a été cassée mille fois, mais elle a eu une racine qui n'a pas été jamais pourrie. C'est ça que nous voulions penser pendant la préparation pour l'année prochaine. Ce n'est pas le moment pour diviser. Ce n'est pas le moment pour quitter la politique quand notre problème nous sépare. Nous sommes unis et ensemble, nous avons avancé. L'année 2025, la privée nous a fait différemment. Cela nous a changé nos pensées, nos actions. On s'est toujours dit que demain serait mieux. Mais c'est là pour nous mettre demain en action. Chaque année, on a un rôle à jouer. Même au Cap-Côte-et-Posca, ça a changé. Est-ce qu'on a fait quelque chose de différent en l'année 2025? Est-ce qu'on a fait quelque chose d'idéal? Nous avons aimé qu'on ait pensé à oublier chaque action qu'on a fait. Pour finir, nous espérons que le podcast t'a donné de l'inspiration, t'as appris le fonceau, et t'as eu l'espoir d'y arriver. Pour finir, nous sommes une seule nation, et ensemble, nous avons fait plus de passé que de pensée. Merci d'avoir passé autant de temps avec moi aujourd'hui. Si vous aimez le podcast, partagez-le avec vos amis, vos familles, et faites-moi savoir dans les réseaux sociaux. Merci et à bientôt.