Details
Nothing to say, yet
Big christmas sale
Premium Access 35% OFF
Details
Nothing to say, yet
Comment
Nothing to say, yet
The theme of fiction and reality highlights the importance of disinformation and the impact of new technologies on current events. Social media platforms are trying to combat this by removing false content. The chosen documents discuss how some internet users spread misinformation on taboo subjects, like vaccines. The use of a carrot emoji by anti-vaxxer groups helps them evade detection by content-filtering algorithms. The documents also touch on the blurred lines between fiction and reality, with people spreading false information about the Covid-19 vaccine. Despite efforts to address this issue, false information continues to spread on social media platforms, leading to public health consequences. It is important for everyone, including governments, educators, platforms, and individuals, to work together to prevent the spread of misinformation. Copie de Taline Ouadouali, devoir d'engris numéro 1 de niveau terminal, partie expression orale en continu. Donc vous commencez par dire que le thème de fiction et de la réalité met en avant l'importance de la désinformation, les nouvelles technologies sur les faits importants qui se passent actuellement. Les réseaux sociaux aussi s'engagent pour essayer d'allier là-dessus et aussi d'enlever du contenu qui peut être erroné et de la désinformation bien sûr. Comme le montre le document B, certains internautes aussi peuvent parler de sujets tabous, voire engager de la désinformation en utilisant d'autres façons d'agir comme le document B le montre bien. Ensuite, vous présentez le document A qui est un slogan pris lors d'une manifestation en Californie en 2020 et qui dit « Fake news, sorry, is a real virus ». Ensuite, vous présentez le document B que vous avez choisi d'étudier qui est l'issue d'un article de la BBC et qui traite justement de l'émoji carotte qui est utilisé sur les réseaux sociaux par les groupes anti-vax. Donc le fait d'utiliser en fait un émoji carotte pour parler de vaccins qui se réfèrent à la seringue fait que du coup ces internautes ne sont pas repérées par les logiciels de détection de contenus de désinformation des plateformes et des réseaux sociaux. Donc ensuite, vous faites un point sur les notions de fiction et de réalité, vous expliquez brièvement en quoi ça consiste et qu'elles sont posées et que le document B illustre bien cet axe car il parle justement, parce que du coup ça montre les gens qui sont anti-vaccins, les anti-vax et que vous dites que ça a commencé très tôt, mais alors préciser de quels vaccins, je pense que c'est important. Donc ici, c'est les vaccins contre le Covid-19. Donc voilà, ici ça peut peut-être illustrer le terme de fiction car les gens qui ont eu peur du vaccin et de ses conséquences ont pu propager de la désinformation, donc des faits fictifs sur Internet et les réseaux. D'autre part, il y a eu beaucoup de rumeurs qui ont circulé sur le Covid comme quoi ça pouvait donner le sida ou rendre malade, voilà. Donc voilà, beaucoup de gens ont cru ces fausses informations, malgré qu'il y ait eu beaucoup de scientifiques qui aient pu dénoncer et dire que c'était faux. Voilà, et donc votre conclusion, donc on a le fait qu'effectivement, malheureusement, les réseaux restent un lieu où on peut propager des fausses informations et que ça s'est défini pendant la période Covid avec les anti-vaccins. Donc la reproduction est globalement correcte et argumentée, vous développez de nombreux éléments. On aurait pu peut-être aller plus loin en termes de conséquences publiques. Vous évoquez les conséquences des fausses rumeurs, donc que les gens croient sur Internet, mais donc du coup, du fait de cette croyance, qu'est-ce que ça engendre en termes de santé publique et qu'est-ce qu'on a pu effectivement voir en 2020-21 avec les conséquences des gens anti-vax, donc les gens qui ne se sont pas vaccinés. Les gens sont bien sûr morts du Covid parce qu'ils l'ont attrapé. Pareil, on a pu aussi voir ça avec les masques, les gens qui ne portaient pas de masque. Voilà, donc il y a des conséquences importantes en termes de santé publique. Et donc les réseaux sociaux ne sont pas parvenus vraiment à éradiquer ces fausses informations, même si certaines disent qu'elles travaillent là-dessus. Donc voilà, c'est une reproduction cohérente, la langue est correcte et compréhensible, il n'y a pas d'erreur importante. Et en conclusion, on aurait pu aussi aller plus loin et dire qu'il est important de faire la prévention de la part de tout le monde, donc l'État, le gouvernement, les enseignants, les plateformes, mais aussi les citoyens eux-mêmes qui doivent se former, s'éduquer, pour ne pas tomber dans ces pièges de la désinformation qu'ils ont de plus en plus courant sur les réseaux sociaux.