Details
Nothing to say, yet
Details
Nothing to say, yet
Comment
Nothing to say, yet
The first part of the transcription discusses the importance of being bilingual in today's world. Learning foreign languages from a young age offers personal and professional opportunities, as well as better understanding of different cultures. Early exposure to languages improves problem-solving skills and creativity. Speaking multiple languages also benefits careers in diplomacy and other sectors. The second part emphasizes the importance of practical skills over theoretical knowledge. Encouraging young people to acquire practical skills through internships, online courses, and hands-on experiences prepares them for future careers and makes them more competitive in the job market. The last part questions the idea of testing 12-year-olds on citizenship. It suggests focusing on civic education in schools and providing more opportunities for youth engagement instead. More concrete examples and details are needed to support these arguments. Copie de J.Nan Hillman, le journal numéro 6, expression orale niveau terminale. Première émission, nous disons qu'être bilingue est une compétence importante dans le monde d'aujourd'hui. Attention à la prononciation de valuable et globalite. La offre d'opportunités à la fois personnelles et professionnelles et ça aide à mieux comprendre les cultures et à collaborer aussi. Donc il faut intensifier l'apprentissage des langues étrangères des plus jeunes âges et offre de multiples bénéfices pour les élèves. Attention à la prononciation de early, donc l'exposition assez tôt aux langues étrangères offre davantage d'opportunités et d'efficacité pour les élèves par la suite. Ça augmente la résolution, la capacité à résoudre les problèmes et la créativité. Et donc dans un monde où effectivement la communication interculturelle est très importante, le fait de parler plusieurs langues offre des capacités notamment pour la diplomatie et d'autres secteurs. Attention à la prononciation de prioritized et il n'y a pas de S à people. Donc en faisant une priorité de l'apprentissage des langues dès le plus jeune âge à l'école, ça offre des compétences essentielles donc aux élèves pour ce monde globalisé et mondial multiculturel. Donc cette première production est assez correcte, comprensible en termes de nombre malgré certaines erreurs. Les arguments sont corrects et cohérents, mais on pourrait donner davantage d'exemples concrets et précis. Quelles langues par exemple sont plus priorisées que d'autres ? Je pense à l'anglais, le chinois, les langues on va dire pour pratiquer le commerce. Et quelles compétences exactes ça permet de développer précisément ? Il faut donner des exemples vraiment bien précis, vous en mentionnez certains, mais comment telle activité langagière peut permettre par exemple tel développement de compétences ? Ce serait intéressant à développer. Vous avez énoncé, donc vous êtes d'accord avec le fait que les compétences pratiques ont plus d'importance aujourd'hui que la théorie. Vous pensez que certes les diplômes sont importants, mais les employeurs cherchent de plus en plus de personnes qui ont des compétences pratiques. Attention à la prononciation de acquire. Donc pour vous, il faut encourager les jeunes à acquérir des compétences pratiques à travers des stages, des cours sur Internet ou des expériences pratiques. Ça les préparera à leur future carrière. Et donc ça développera leur expertise dans la communication, la technologie, le travail de groupe, des compétences très recherchées par les employeurs dans différents secteurs. Et les compétences pratiques permettent aussi de développer ce qu'ils ont appris en théorie et faire de ces futurs employés des gens efficaces et adaptables. Donc prioriser le développement de compétences pratiques rend les futurs employés, donc les étudiants, plus compétitifs dans le marché de l'emploi. Donc cette deuxième production est aussi correcte et cohérente dans l'ensemble. Mais n'hésitez pas justement à donner plus d'exemples concrets, quel type de compétences pratiques sont recherchées par les employeurs. Je pense qu'il y a quand même des compétences plus recherchées que d'autres. On va dire est-ce que c'est des compétences manuelles, dans certains domaines plus précis que d'autres. Donc on aurait pu chercher et détailler tout ça car ça reste un petit peu large et assez vague. Et notamment le fait qu'il ne faut pas oublier que c'est difficile encore pour les jeunes de trouver malheureusement des stages car c'est assez bouché comme secteur et ils ont beaucoup de mal. Donc le dernier annoncé concerne le fait d'être sûr que les citoyens sont engagés et bien informés. Mais vous ne pensez pas que faire passer un test à des jeunes de 12 ans, un test de civisme, on va dire, citoyenneté, est une bonne idée. Donc vous dites qu'à 12 ans, les jeunes sont en pleine maturation et développement de leur pensée cliquée, donc ils ne peuvent pas encore mesurer les enjeux de tout ça. Déjà, ça leur mettrait une pression supplémentaire et rembourserait les inégalités à l'accès à l'éducation. Là, il faut être plus précis parce que je ne vois pas en quoi ça développerait l'inégalité. Vous dites que ça peut aussi mettre de côté certaines populations qui se retrouveraient marginalisées. Attention aux prononciations de marginalized. Faire attention à ce que ça n'impacte pas certaines populations. Donc pour vous, au lieu de faire passer un test de citoyenneté, il vaut mieux accentuer l'éducation civique à l'école et peut-être offrir davantage d'opportunités d'engagement citoyen aux jeunes. Donc là encore, les propos sont compréhensibles, cohérents dans l'ensemble, mais ça manque encore d'exemples concrets. Je ne sais pas à quel taux horaire, par exemple, faudrait-il augmenter l'éducation civique par niveau, dès le plus jeune âge, vers quel âge, à quel niveau, primaire, secondaire, qu'en est-il de la situation aujourd'hui en termes d'éducation civique, quel est le taux horaire, à combien d'heures faudrait-il passer, est-ce que c'est une très mauvaise idée et pourquoi, quels sont les enjeux aussi. Voilà, il y a plein d'autres questions qu'on peut se poser. Est-ce que les enseignants sont pour ou contre cette idée ? Est-ce que les jeunes trouvent que c'est une bonne idée ou pas ? Il y a beaucoup d'éléments encore qui restent à développer. On aurait pu donc trouver des témoignages et des informations dans différents articles de presse, par exemple, des témoignages dans différents médias et supports fiables et sourcés.