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FEMMEMEDECINES

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Femmedcine is a podcast dedicated to celebrating femininity and exploring personal magic. Emilie, the host, introduces Asna Rezbi, a kinesiologist, and discusses her journey to discovering kinesiology. Kinesiology is a technique that uses muscle testing to access the body's responses and address emotional imbalances. It helps to release negative patterns and reconnect with one's true self. Emilie shares her personal experience with kinesiology and emphasizes its transformative benefits. The body has a memory, and kinesiology can help uncover and heal deep-rooted issues. Je suis ravie de t'accueillir dans cet espace dédié à la célébration de la féminité et à l'exploration de notre magie personnelle. Bienvenue chez Femmedcine le podcast, je suis Émilie, une maman comblée de 5 merveilleuses femmes bonnes, praticienne de bien-être et chef d'entreprise. Mon désir est de t'inspirer à t'émerveiller face à ton potentiel infini, à te reconnecter avec ton essence féminine et à embrasser ta puissance intérieure. Alors prends un moment pour t'installer, ouvre ton cœur à de nouvelles perspectives et laisse-toi guider dans cette merveilleuse aventure de découverte de ta magie personnelle. Bonjour tout le monde, aujourd'hui j'ai la chance d'accueillir une nouvelle invitée pour le podcast Femmedcine et c'est une personne que j'ai découverte sur un salon du bien-être qui s'appelle Asna Rezbi et qui est kinésiologue. Alors j'avais envie de vous la faire découvrir, de faire découvrir sa technique parce que Asna m'a fait découvrir la kinésiologie il y a quelques mois et j'ai vraiment adoré. Donc je vais te laisser te présenter Asna plus en détail et après je vais revenir sur mon expérience avec toi. Ok, alors moi je suis Asna Rezbi, kinésiologue à Neuilly-en-Thel. J'ai 46 ans, ben voilà. Alors, donc Asna, alors déjà qu'est-ce que tu peux me dire sur ton parcours en fait avant d'arriver à la kinésiologie, ton cheminement pour arriver à cette technique ? Alors mon cheminement, alors c'est en réalité une histoire de vie. A 17 ans, j'ai commencé à lire Psycho quand j'avais un petit peu de sous, j'avais acheté Psycho que je lisais dans le train. Ah, toi c'était Psycho, c'était pas Girls ou Jolie ? Non. Jolie, Jolie, d'accord, ça commençait fort alors. C'est ça, on a toujours un petit peu perché. D'accord. C'est bien. Ouais, c'est bien. Donc je lisais Psycho et puis après au fur et à mesure des années, forcément j'ai été sensible à tout ça, je suis devenue aide-soignante puis infirmière. Pendant ma formation, j'ai fait une formation de diplôme d'algédie qui était super intéressante et pour les patients et pour moi, surtout que je travaillais aux urgences en plus, alors les gens avaient peur des prises de sang, qui avaient peur d'une hyperfusion, etc. Donc ça permettait de faire un soin dans un cadre plus humain. Et puis forcément, moi aussi, j'ai rencontré des problèmes de vie, des problèmes professionnels, un peu comme tout le monde, parce que je suis un être humain aussi. Et dans cette période-là, j'ai croisé la kinésiologie. J'ai rencontré quelqu'un qui était en formation, je lui ai demandé ce que c'était, etc. Entre deux, évidemment, j'étais quand même sensible à toutes ces techniques. J'ai fait de la réflexologie plantaire, enfin voilà, plein d'autres choses. Et puis, il m'a fait découvrir, il m'a fait une première séance et alors là, j'ai été bluffée. Une deuxième séance et j'ai vu les bienfaits et je lui ai demandé où allait son école. Et là, tu t'es dit, c'est fait pour moi. Exactement. Donc, je suis allée dans cette école. J'ai fait deux jours de premier pas, comme on dit, pour découvrir, pour être un peu initiée. Et là, je suis partie, j'ai fait ma formation. Donc, entre deux, il y a eu un problème, j'étais à l'hôpital, mon service fermait, etc. Donc, j'ai quitté l'hôpital et puis je me suis lancée dans cette formation pour me reconvertir après, petit à petit. Comme quoi, des fois, il y a des choses comme ça qu'on ne maîtrise pas, mais qui nous permettent d'aller sur le bon chemin. Tout à fait. Donc, ça se trouve, tu l'aurais peut-être pas fait tout de suite, peut-être pas du tout. Et il a fallu que ton service soit fermé, même l'hôpital, pour que tu puisses partir. Oui, et j'ai même envie de dire, ça s'est arrivé à un moment de ma vie où je pense que peut-être j'en avais besoin, parce que j'avais des problèmes de santé. Ah oui. Et comme ça, j'ai rencontré les autres professionnels. Et puis, qu'est-ce qui s'est passé ? J'ai perdu des points de famille. Ah oui. Ah, là, c'est l'affaire, il se dit amour bientôt. Oui, c'est un peu ça. Et puis, je suis allée faire un stage de récupération de points, parce que c'était impensable pour moi de perdre des points de permis, et c'est comme ça que j'ai rencontré la personne. D'accord. C'est un stage de récupération de points. Donc, finalement, ce qui nous arrive de négatif, parfois, c'est positif, parce que ça permet de rebondir dans la vie. Et ça nous permet vraiment de nous ouvrir des voies qu'on n'aurait pas vues autrement. Exactement, c'est ça. Comme quoi, souvent, c'est des parcours de vie qui sont un peu hachés, mais c'était écrit comme ça. Oui, souvent. Des fois, on dit merci de l'univers, merci de Bourdieu. C'est clair, c'est ce qu'il faut dire, merci, en général. Alors, est-ce que tu peux nous expliquer ce que c'est en détail, entre guillemets, la kinésio ? Parce que moi, la première fois que j'en ai entendu parler, je te l'avoue, c'était par une formatrice, une de mes formatrices en ligne. Elle me disait, allez voir une kinésio. Bon, je ne vois pas trop ce que ça peut être. Est-ce que c'est une ostéo ? Est-ce que c'est... Les autres, il y a ostéo, kiné. Enfin, je ne savais pas trop. Ça n'a rien à voir avec les autres techniques. Et c'est tellement libérateur. Donc vraiment, j'aimerais bien que tu nous expliques ce que c'est la kinésiologie. Alors, la kinésiologie, c'est une technique de rééquilibration émotionnelle, mais au travers du corps. En fait, on pose le mental et on va chercher les réponses du corps. Comment on fait ça ? C'est via le tonus musculaire. Pourquoi ? Parce que, en fait, quand on est stressé, notre tonus musculaire lâche. Quand on ne l'est pas, il a son maintien normal, classique. C'est purement physiologique. Et bien, en kinésiologie, on travaille grâce à cette physiologie corporelle. Quand on est stressé... En fait, à chaque fois, pendant la séance, vous allez dire quelque chose de stressant. Moi, je vais faire des pressions douces au niveau de votre bras. Et à chaque fois que vous allez vous exprimer et que pour votre corps, je dis bien pour votre corps, pas pour votre mental, que ce sera stressant, votre bras va lâcher. Et quand ce ne sera pas stressant pour votre corps, votre bras va résister. Et c'est comme ça qu'on a toutes les réponses. En fait, quand le bras lâche, c'est la porte d'entrée. C'est ce vers quoi il faut tendre, ce qu'il faut gratter, en fait. Voilà. Et on va vers ce qu'on ne soupçonne pas ou ce qu'on soupçonne, mais qu'on n'arrive pas vraiment à toucher du bout du doigt. On sait que c'est là, mais on ne l'explique pas vraiment. Voilà. Et c'est pour ça qu'en général, on est submergé par nos émotions, qu'on ne les supporte plus. Elles sont là, elles reviennent, elles reviennent, et c'est insupportable. Et tous ces comportements aussi récidivants dont on ne veut plus, mais qui reviennent tout le temps, tout le temps, tout le temps. Pourquoi ? Parce que c'est avec notre mental qu'on fonctionne et ce n'est pas avec ce qu'on est vraiment. Le but, c'est de se libérer de ce schéma de sabotage, de ces fonctionnements néfastes à notre existence, je dirais même parfois toxiques, pour retrouver qui on est vraiment, profondément, intrinsèquement parlant, en fait. C'est se libérer de ces peurs, de ces freins, de ces inhibitions. Alors moi, je vais rebondir sur mon expérience avec toi, qui a eu lieu au mois de juillet, c'était à Saint-Lys, sur le Salon du Bio et Bien-être, si je ne me trompe pas. Et bon, comme je te disais, j'avais entendu parler de la kinésio, mais sans grande conviction. Mais je suis dans une période où j'ai envie de tester. Alors j'ai testé la lecture de l'une de la main, le Reiki, le Laoshi. Je me suis dit, oh, on va tester la kinésio. Mais vraiment, sans aucune... En tout cas, a priori, sans... J'étais avec une cliente, qui m'a dit, attends, on ne se tutoyait pas, mais bon. Laissez-moi quelques minutes et je suis à vous. Donc je suis restée s'attendre et tout. Je me suis dit, bon, allez, je suis déjà là, je n'ai rien de prévu. Sauf que j'avais quelque chose de prévu juste avant. Après, je ne te l'avais pas dit, mais j'avais une conférence. Et finalement, c'est Lorraine, ma petite, qui est venue la faire à ma place. Voilà, le truc trop fort, quoi. Clairement, clairement. Donc déjà, je me dis, bon, allez, on y va, ce n'est pas très grave. Et là, tu me dis, oh, installe-toi et tout, ok. Je ne voyais pas du tout à quoi je m'attendais. Mais tu m'as expliqué, donc effectivement, que tu allais tester sur ma main et tout. Et j'ai bien vu que mon bras, quand j'étais... Voilà, que c'était juste pour moi, il n'y avait aucun problème, il ne bougeait pas. Et quand vraiment, il y avait un petit nœud à l'intérieur, un blocage, je voyais bien que ça lâchait. Je me suis dit, non, mais il y a un truc, ce n'est pas possible. Et en fait, c'est vrai que quand j'ai fait cette séance, j'ai enfin compris que c'est vraiment mon corps, en fait, et pas mon mental qui agissait. Et je vous jure, après, il y a la larme qui a coulé, malheureusement, ou heureusement, c'est délibérateur aussi de pleurer. Et je me suis dit, non, mais ça, c'est vraiment une chose, une technique qu'il faut partager et en parler. Et c'est vrai que ça m'a fait énormément de bien sur le blocage que j'avais par rapport à mon enfance, dont on avait parlé ensemble. Et clairement, je me suis dit, vraiment, c'est quelque chose qui, au niveau, ça peut vous amener du bien-être, un bien-être profond en plus, et qui va vraiment venir bousculer ce qu'on a oublié au fond, mais que le corps n'a pas oublié. Exactement. Le corps a une mémoire. Je vais rebondir sur deux choses par rapport à ce que t'as dit. C'est ce test musculaire qu'on fait. En fait, parfois, les gens me disent, mais moi, je ne suis pas réceptif, ça ne marchera pas sur moi. Eh bien, non, en fait, la kinésiologie, ça marche sur tout le monde, parce que ça ne marche pas sur vous pour certaines techniques. Alors, spirituellement, les techniques, elles ne sont pas toutes, elles sont toutes supplémentaires. Moi, j'en ai fait plein d'autres avant de rencontrer la kinésiologie. En fait, en kinésiologie, je dis bien, on pose le mental et on va chercher la réponse du corps. Et quoi que vous fassiez, même si vous n'êtes pas conscient, le corps, il réagit. C'est ça, la maladie, je crois. Exactement. Et il garde en mémoire. Donc, en fait, même si vous me dites non, et qu'à l'intérieur de vous, c'est oui, votre tonus, il a résisté de toute façon. Et si c'est le contraire, ce sera le contraire. Donc, en fait, en kinésiologie, il n'y a pas de je suis réceptif ou pas. C'est je viens et je vais de toute façon être libérée de quelque chose. Il y a des gens qui me disent, je me sens consolée. Il y en a qui disent, oh là là, j'ai l'impression que je retrouve mon naturel. Qu'est-ce qu'ils me disent ? Il y a de la douceur en moi, de la sérénité, voilà. En fait, on retrouve vraiment ce qu'on est vraiment. Sans forcine, en fait, sans faire semblant, sans vous dire. Je vais prendre mon exemple personnel. Moi, à un moment donné, je travaillais dans mon service d'insurgence. À un moment, je n'en pouvais plus. J'étais tout le temps énervée. J'étais agacée entre tout et tout le monde. J'arrivais le matin et je me disais, Asna, aujourd'hui, tu ne t'énerves pas. Je ne faisais que m'énerver. Je me levais avec cette intention, tu ne t'énerveras pas. Pas louper, première chose, ding, je partais. Je m'énervais. Avec la kinésiologie, j'ai retrouvé mon calme, ma douceur, celle que j'étais avant parce que je ne suis pas une nerveuse de base. Je suis quelqu'un de plutôt calme. Avec la kinésiologie, je n'ai plus besoin maintenant. Quand je me lève, je ne me dis pas, Asna, tu ne t'énerves pas aujourd'hui. Je ne suis juste pas énervée. D'accord. C'est magique. Je crois que je vais revenir te voir très rapidement. Très rapidement. Oui, c'est sûr. Donc, voilà. Donc, oui, je voulais partager ça parce que... Et figure-toi que juste après, tu as reçu Lorraine qui, quand elle m'a vue sur ta table, elle s'est dit, il y a quelque chose qui se passe avec Émilie. Je vais tenter aussi. Et du coup, juste après, elle m'a dit, elle est trop forte. Je ne sais pas, mais elle est trop forte. Elle a vraiment réussi à toucher les choses et à me faire réaliser ce qui était un peu caché. Donc, chapeau. C'est parce que j'ai réagi comme vous. Je me dis toujours, si ça a marché pour moi, ça ne peut que marcher pour les autres. Et je me dis, c'est dommage de rester avec son mal quand on sait qu'il y a quelque chose qui existe et qui peut nous permettre d'aller bien. Ça m'émet un peu de le dire parce que j'ai traversé une période vraiment compliquée. Et le fait d'aujourd'hui d'aller bien, je me dis, c'est bien d'aller bien en fait. Oui, carrément. Ce n'est pas mauvais. Souvent, on pense que ce qui nous allait dans notre vie, c'est notre zone de confort. Et moi, je dis non, ce n'est pas confortable. C'est juste habituel. Et on est habitué à fonctionner comme ça. Ça nous rassure. Mais en vrai, c'est loin d'être confortable. Le confort, c'est après, quand on travaille sur soi, quand on dépasse ce qui ne va pas. C'est là qu'il y a le confort. Sauf qu'on a peur. En fait, la nouveauté est perçue comme danger. Or, c'est là-bas qu'il y a le confort. Et d'ailleurs, moi, je continue. Le temps m'attend. Je vais voir ma kinésio. D'accord. Parce que je me dis, si aujourd'hui, je vais aussi bien par rapport à avant, mais demain, c'est l'également de Noël. Oui. Oui. On ne peut qu'aller vers du mieux-être, de toute façon. On prend soin de soi. C'est la clé. Exactement. Et en plus, c'est couche par couche. Parce qu'au fur et à mesure qu'on travaille sur soi, on déblaisse un peu. Et après, on trouve qu'il y a toujours des petites choses à fignoler, à gratter, à creuser. Oui, on affine, entre guillemets, des choses. Et ça permet d'aller aussi de plus en plus profondément. Parce qu'on a toujours des choses qui sont un peu cassées encore. Il faut attendre. Et c'est vrai que c'est couche par couche. On ne peut pas tout faire d'un coup. Ça serait trop violent, je pense, déjà. Exactement. Physiquement et moralement. Ça aussi, c'est intéressant ce que tu dis. Parce que parfois, les gens ont peur. « Ah oui, mais j'ai peur de ce qui va sortir. » En fait, il ne faut pas avoir peur. Parce qu'en kinesiologie, il ne sort que ce qui est prêt à sortir. Il ne sortira pas, aujourd'hui, ce qui doit sortir dans six mois. Et d'ailleurs, on interroge le corps. Moi-même, quand je suis en séance, quand j'ai des choses à dire à la personne, j'interroge, je demande. Est-ce que je lui dis pas ? Oui, ça aussi. Bien sûr. Pour deux raisons. Est-ce que la personne est prête à l'entendre ? Oui, d'accord. Je comprends. C'est en début de séance, mais c'est en fin de séance qu'elle doit l'entendre, ou au milieu de la séance. Donc, pourquoi aller la brutaliser en début de séance ? Parce qu'après, ça va se faire avec fluidité, d'une part. Et d'autre part, pour être sûre que moi, je fais ma fausse course, que ce n'est pas juste ma lubie à moi, que c'est vraiment ce dont le corps a besoin. D'accord. Donc, c'est quand même une technique assez intuitive aussi. Il faut avoir quand même un ressenti, malgré tout. Parce que des gens qui sont un peu trop, entre guillemets, « cartésiens », si je peux les appeler comme ça, vont peut-être moins ressortir les choses que toi, ou ce n'est pas du tout le cas. Tout le monde peut pratiquer. Pour les autres qui disent de l'autre, tu veux dire ? Oui, tout à fait. La formation, elle nous prépare à ça. Ah oui, d'accord. Elle nous prépare à affiner. Elle nous prépare… On a quand même deux ans. Deux ans, moi, j'ai fait deux ans. Ah, on fait deux ans quand même. Ah oui. Donc, on a plein de protocoles. On a 500 protocoles. On travaille sur les blessures, sur les mémoires, sur les comportements. On travaille… Qu'est-ce qu'on a encore ? Tout ce qui est trait de morphologie. Donc, ça nous prépare à avoir cette sensibilité et ressentir cette humanité. Oui, vraiment. On nous prépare à la technique, mais il y a tout ce qui va autour de la technique. Et ça, on nous y prépare. Et après, évidemment, et ça, je le dis toujours quand je vais sur les salons, parce que tu sais que c'est horrible, je dis aux gens, ce qui est important, c'est d'aller bien. Donc, si ça doit passer par moi, c'est chouette. Mais si ce n'est pas moi et que c'est la kinésiologie quand même, aller voir un autre kinésiologue, ou une autre kinésiologue, ce n'est pas grave. En fait, c'est aussi une relation de confiance. Donc, si parce que, je ne sais pas, moi, j'ai les cheveux frisés, ça ne va pas, ce n'est pas grave, aller voir quelqu'un qui a les cheveux raides. Le principal, c'est de se sentir en confiance, en fait. Oui, toi, tu prônes vraiment d'aller vers la technique, pas forcément s'arrêter à la personne qui va pratiquer. Si on n'est pas à l'aise avec quelqu'un, quand même, perdurer, aller dans cette technique-là, mais trouver la personne qui nous correspond. Exactement. Simplement. Exactement, tout à fait. Super. Parfois, c'est géographique aussi. Oui. À Paris, ils ne vont pas venir chez moi. C'est vrai que… On se voit toujours, mais… Ça leur fait un peu loin. Ça fait un peu loin. Ça leur fait un peu loin. Une autre petite question pour toi. Dans quel cas conseilles-tu de faire une séance de kinésiologie ? Diverses et variées, en fait. Il y a différents types de problèmes. Il y a tout ce qui est somatisation, donc les troubles du sommeil, tout ce qui est angoisse, perte de vitalité. Il y a tout ce qui est choc émotionnel, deuil, violence, accident, maladie. C'est un panel assez large, quand même. Oui, c'est assez large. Après, on a tout ce qui est difficulté d'apprentissage pour les enfants à l'école, tout ce qui est stress, troubles de la concentration, de l'attention, tout ce qui est difficulté d'apprentissage, même les enfants qui n'ont pas de mémoire, par exemple, qui ont du mal à retenir. Il y a tout ce qui est développement individuel pour améliorer ses compétences. Ça peut être artistique ou sportive, même des choses comme ça. Et puis, il y a tout ce qui est en lien avec la problématique des repères. Je dépasse trop souvent mes limites, les conduites addictives. D'accord, on peut vraiment aller traiter. Oui. Et puis, il y a tout ce qui est professionnel, parce qu'on peut venir dans mon cabinet, mais je peux intervenir aussi en entreprise. Tout ce qui est interrelation entre collègues, prise de parole en public. Je ne sais pas, vous devez animer une réunion ou un podcast. On est là, on est là pour ça aujourd'hui. Vous êtes un peu timide et vous devez vous exprimer. En fait, ça vous aide à regagner confiance en vous et à le faire avec toujours fluidité naturelle et tranquillité d'esprit. Je me disais bien que j'avais eu la bonne idée. J'ai eu le flair de cette technique avec Inezo. C'est parfait pour beaucoup de choses. N'hésitez pas à vous faire une séance. D'ailleurs, tu peux nous présenter une séance, comment ça se déroule. Bien sûr. Une séance, ça dure une heure, une heure et demie à peu près. Les gens viennent, ils m'expliquent pourquoi ils viennent. Ils ont soit un problème concret, c'est peut-être que je n'arrive pas à dormir depuis trois ans par exemple, ou alors ils viennent en disant je ne sais pas ce qui m'arrive, tout va bien dans ma vie, j'ai un super boulot, j'ai une super maison, un mari, une femme merveilleuse, des beaux enfants, etc. Mais à l'intérieur de moi, ça ne va pas. Eh bien là, on a plusieurs façons de commencer en kinésiologie. Soit on établit un objectif clair. Je ne sais pas, je suis sereine par exemple. On parle là-dessus. Soit on va chercher l'émotion qui a besoin à l'instant T de s'exprimer pour aider la personne à comprendre ce qui se joue en elle et qu'elle n'arrive pas à étiqueter et à présenter avec des mots. Après, on peut aller chercher aussi une émotion au travers d'une douleur corporelle. Les poules, très souvent, les douleurs corporelles sont liées à une douleur émotionnelle. Donc on peut aller chercher une émotion qui est en lien avec cette douleur corporelle. Alors attention, je mets un bémol quand même, on ne guérit pas les maladies. Ça reste une médecine douce, on ne va pas arrêter son traitement. Je le dis tout le temps, surtout pas. Le but, ce n'est pas de vous vendre du rêve. Le but, c'est de faire comprendre qu'on peut se sentir mieux face à sa problématique. Quand j'ai mal à l'épaule, ça peut être parce que j'ai beaucoup porté. Je donne des petites indications un peu grossières, mais grosso modo, c'est ça. J'ai beaucoup porté dans ma vie, donc on va chercher à quel moment ça s'est instauré dans sa vie, etc. Voilà, donc ça, c'est le point de départ. Après, cette émotion, quand on va la chercher, moi évidemment, j'ai des grilles de lecture, la route des émotions, le baromètre du comportement, etc. Ce n'est jamais moi, jamais la personne qui choisit sur quoi on tombe. C'est toujours le corps. Moi, je continue à faire des pressions douces au niveau du bras et j'énumère toutes mes émotions. On est aussi en médecine chinoise, donc bois, feu, terre, etc. Si par exemple, je tombe en haut, on a vessie et reins. Si je tombe à reins, enfin quand je dis si je tombe, c'est-à-dire quand le bras lâche, quand j'exprime, j'énumère reins, on a 16 émotions. L'émotion principale du reins, par exemple, c'est la peur. On travaille autour de la peur. Il y a deux possibilités quand on a sorti l'émotion. Soit elle appartient à la personne, vraiment, véritablement, c'est lié à son histoire de vie. Dans ces cas-là, on fait ce qu'on appelle une récession d'âge. On remonte dans le temps sous son histoire de vie. Soit ça ne lui appartient pas et dans ce cas-là, c'est du générationnel. Donc, on remonte dans le temps entier, mais sur le plan générationnel, soit côté père, soit côté mère. Et là, on remonte, première génération, deuxième génération, troisième, voilà. Et une fois qu'on a fait ça, ce n'est pas le tour d'aller chercher la blessure, l'origine de la blessure, l'émotion et puis après de dire merci, au revoir, non. Et c'est là qu'il est intéressant le travail en kinésiologie, c'est qu'on vient amener une équilibration. On vient rééquilibrer le corps pour qu'il puisse refonctionner à l'image de ce qu'il est. Et là, comment ça se passe ? Quand on diffuse l'émotion, c'est-à-dire la faire diminuer d'intensité pour qu'elle ait plus autant d'impact et qu'elle soit plus autant présente dans l'être, en fait. Et on a même une émotion positive. Cette émotion positive, c'est ce que vous êtes vraiment, mais que vous avez dû squeezer de par votre histoire de vie, de par ce qu'on vous a fait ou ce que vous avez compris aussi. Parce que des fois, les gens n'ont pas eu l'intention de vous faire mal, mais du haut de ses dix ans, on ne comprend pas comme un adulte. Et l'équilibration concrète, comment ça se passe ? Là, on a à peu près 500 protocoles soit c'est au travers de la médecine chinoise, c'est tout ce qui est points d'acupressure au niveau du corps, ça peut être les traits de morphologie, tout ce qui est mouvements de brain de gym, c'est toujours de toute façon au travers du corps. Il y a encore... Alors moi, j'ai fait mes modules optionnels, réflexe archaïque, aura chakra, enfin voilà, c'est varié. Et encore, ce n'est pas moi qui choisis, c'est le corps. J'énumère tous mes protocoles et je prends celui qu'il a, puisque c'est celui dont le corps a besoin. Et puis, il se peut qu'après, vous ayez des petits exercices, des petits mouvements à faire à la maison pour continuer à intégrer ce qui s'est fait pendant la séance. Parce que la séance, en vrai, elle commence un petit peu avant et elle finit un peu après aussi. Voilà. Ok. Alors, Rogé, je me rappelle effectivement que tu m'avais fait faire un schéma après ma séance que j'ai en plus fait, justement, le temps indiqué. Et c'est vrai que j'ai encore, maintenant que je te vois, encore le malin du schéma que tu m'avais fait faire. Donc, c'est trop drôle. Donc, on avait travaillé au travers des symboles. Donc, voilà. Des symboles universels. Donc, ça peut être aussi l'exemple d'équilibration. Ou ça peut être aussi au travers des pierres, tout ce qui est fleurs de bac aussi. Enfin, voilà. D'accord. Ah oui. Donc, c'est vraiment très, très complet, en fait. Plus plusieurs catégories de médecine douce, en fait. Oui. Pendant la séance, ce que je fais, c'est que je donne des outils à la personne pour quand elle est chez elle en situation de stress, de inquiétude, quand son émotion, elle revient et qu'elle ne sait pas comment la gérer. Je donne des outils. Donc, ça peut être des petits points très simples qu'on fait au niveau du corps. Ça peut être des mouvements très simples aussi qu'on fait au niveau du corps et qui peuvent être hyper ludiques. On a, par exemple, ce qu'on appelle l'éléphant. On a la chouette. C'est des mouvements de tête. Enfin, voilà. Donc, on peut le faire autant en tant qu'adulte que enfant. D'accord. Ça, c'est top. Comme ça, les personnes ne sont pas dépendantes de moi à vie, non. Oui. C'est de retrouver C'est ça. Tu veux les autonomiser vers leur bien-être, en fait. Exactement. Alors, justement, la question qui suit, qui peut, entre guillemets, bénéficier, à qui s'adresse la kinésio en général ? Oui. À tout le monde. Voilà. J'en étais sûre. C'est pour ça que je vais reposer la question donc à tout le monde. C'est ça. Tout le monde, autant les enfants que les adultes, les hommes, les femmes, les personnes âgées, tout le monde. D'accord. Vraiment tout le monde. OK. Donc, par exemple, tu parlais des enfants qui n'arrivent pas à se concentrer et tout, donc c'est pour ça que je voulais rebondir dessus. À partir de quel âge, entre guillemets, pour un enfant ? Un homme qui parle ? Non, pas forcément. Pas forcément. D'accord. Je peux le recevoir bébé. Ah oui, carrément, oui. Le bébé, effectivement, au niveau du tonus musculaire, le bébé, c'est tout à fait pareil. Oui. Donc là, je travaille sur le papa ou la maman qui vient en séance. D'accord. Et en plus, je fais aussi un travail sur le papa ou la maman puisque je mets à plat une de leurs émotions qui est en lien avec ce qui arrive au bébé parce que forcément, ce qui arrive au bébé, ça a un impact sur les parents. Exactement, ça peut être un bébé qui ne dort pas depuis qu'il est né, par exemple, 6 mois, les parents ne dorment plus donc forcément, eux aussi, ils sont épuisés. Donc, on fait d'abord une petite diffusion d'émotions sur les parents et après, on fait la séance de l'enfant au travers du parent. Donc, en fait, c'est vraiment pour tout le monde. C'est vraiment une technique pour tous les âges. D'ailleurs, je dis toujours que si on pouvait faire rencontrer ça aux enfants très tôt, ça serait chouette parce que, tu vois, il y a des mouvements très simples qui sont hyper ludiques qu'on peut proposer aux enfants puis tout ce qui est réflexe archaïque, c'est vraiment utérin, en fait. Donc, je dis que si on pouvait commencer chez les enfants, ça éviterait toutes les blessures, tous les traumatismes, tous les dégâts qu'on rencontre les adultes après et ils ne savent pas comment gérer. Les enfants, on parle de délinquants, etc., c'est vraiment tout cela. Des fois, c'est peut-être juste un réflexe archaïque qui n'a pas été intégré et faire des séances de kinesio, ça permet à l'enfant de se retrouver émotionnellement, de se rééquilibrer, de se comporter autrement, d'avoir une autre posture même physique, émotionnelle, etc., etc. Donc, plus tôt on commence, mieux c'est, je dirais. Plus tôt on commence, mieux c'est. Mais c'est jamais trop tard. Mais il n'est jamais trop tard dans la vie. Jamais, jamais. J'ai des clients, enfin, je pense à une dame en particulier qui a 70 ans et qui a vécu beaucoup de violence dans sa vie quand elle était enfant avec ses parents, avec son mari. Elle a eu un fait député de suicidé. Aujourd'hui, elle a 70 ans. Elle dit maintenant que moi, j'ai envie de vivre au mieux. Donc, elle fait des séances pour se libérer de tout ce qu'elle a accumulé pendant ses 70 ans. D'accord. Donc, c'est jamais trop tard d'aller mieux. Oui, jamais. Jamais, jamais, jamais. Combien ça coûte du coup une séance ? Une séance, c'est 80 euros. Une heure, une heure et demie, des fois un petit peu plus sur la première parce que j'explique tout ce que je fais. Puis, je donne mes outils dont je parlais tout à l'heure. Il faut savoir qu'il y a des mutuelles qui remboursent. Et en moyenne, combien de séances peut préconiser ? Est-ce que c'est vraiment à la carte ou tu as des protocoles bien définis déjà en amont ? Alors, les protocoles, comme je te disais, ce n'est pas moi qui les choisis. Donc, là, il n'y a rien de défini. On dit trois à cinq séances à peu près. Trois à cinq séances. Mais ça dépend de chacun de son histoire de vie et surtout jusqu'où on veut aller. Tu vois, tu as fait une séance, déjà tu te dis oui, ça m'a fait vraiment beaucoup de bien. Une séance, des fois, c'est déjà bien, ça permet déjà de libérer des choses, etc. Donc, des fois, les gens disent bon, moi, je m'arrête là pour l'instant et je reviens dans six mois. Quand on fait les trois à cinq séances, c'est fait et on dit c'est à peu près 21 jours. D'accord. Voilà. Et après, ça dépend de la personne de son histoire de vie. La dame dont je parlais tout à l'heure, elle est à sa vingtième séance à peu près. D'accord. Donc, si on veut en faire dix, on en fait dix. Si on veut en faire que trois, on en fait que trois. La kinésiologie, je le rappelle, c'est quand même retrouver la liberté d'être qui on est. Donc moi, je n'ai pas à imposer aux gens. Je conseille toujours, voilà, j'explique et après, en fin de séance, choisir en fonction de ce qu'ils ressentent, eux, en tant qu'individus. Il faut faire attention, quand même, à condition que ce ne soit pas une histoire de sabotage. Non, non, non, c'est bon, mais qu'il y ait encore des petites choses à faire. Oui, que j'ai peur. Voilà. D'accord. Mais c'est quand on, comme on le sent, mais c'est à peu près trois à cinq séances pour un même problème. Et donc, espacer de minimum trois semaines. Oui, c'est ça. Ok, super. J'avoue, c'est ça le budget. Des fois, c'est un budget plutôt régulier. Des fois, une histoire de priorité. Et d'ailleurs, toujours, on est une histoire de priorité. D'ailleurs, je dis toujours, quand je vais sur les salons, faites de votre santé votre priorité. Parce que quand on est bien en soi-même, après, tout le reste, tout le reste te suit. Oui, c'est vrai. Tout le reste au niveau du travail, etc., mais dans les relations avec les autres. Quand on est au plus juste de ce qu'on est, on est au plus juste avec les autres aussi. C'est une très belle phrase. C'est une très belle phrase. Alors, comment te trouver et comment te contacter sur tout ? Alors, on me trouve à l'anneau clientèle. C'est super. Elle a tout préparé. On va pouvoir la contacter. Alors, mon numéro de téléphone, c'est 0671 19 20 36. Après, on me trouve sur Google. D'accord. J'ai un Google de My Business. On pourra voir mes... Après, sur Facebook, c'est Asna H-A-S-N-A R-E-S-G-I R-E-S-G-U-I Kinesiologue certifiée tirée du gros tiré qui va 60 et 95. Sur Instagram, c'est kinesiologue.oise.valdoise Ah oui, j'insiste Oise et Val-d'Oise parce que comme je suis à la frontière, je suis loin du sud de l'Oise, je reçois des gens un peu des deux côtés. Et comme sur la telle Oise, en plus, je suis toute seule. Donc, j'insiste. Je ne suis pas trop loin du Val-d'Oise. Donc, je reçois aussi. Je suis à 10 minutes à peu près de Paysan. Tout à côté. Et puis, j'ai mon adresse mail asna.kinesiologue.valdoise qui est asna.kinesiologue 60 95 arroba gmail .com Et je suis aussi sur Résalib. D'accord, super. De toute façon, Asna va me laisser toutes ces infos que je mettrai en description du podcast. Comme ça, vous pourrez la retrouver encore plus facilement avec les liens. Comme ça, ça sera bien. C'est bien la fin d'Asna. C'est bien la fin. Alors, moi, là, c'est la première fois que je vous présente un livre fondateur pour toi. Donc, ça, c'est une nouveauté du podcast. Quand j'ai une invitée maintenant, j'ai demandé de nous donner un livre qui a été vraiment fondateur pour elle et qui lui a permis ou d'avancer sur son cheminement ou même de se réaliser sur plein de choses aussi bien personnellement que professionnellement et également une citation inspirante. Alors, Asna, je te laisse nous présenter et elle met son plus grand ami sur la terre. Je pense que c'est vrai vraiment, vraiment, vraiment, vraiment. C'est celui qui vous accompagne partout où vous allez. On cherche souvent son âme sœur, mais je crois que l'âme sœur, c'est votre corps. Pourquoi j'ai choisi ce livre-là ? Parce qu'il m'a aidée en tant qu'individu. D'une part, je ne le connaissais pas. C'est-à-dire, je l'ai découvert à la fin de ma formation quand j'ai préparé mon mémoire. Le thème, c'était La finalité, c'est prendre soin de soi que pour soi. Je pourrai rentrer dans les détails si les gens veulent, mais souvent, on dit que c'est égoïste, mais j'ai toujours le plus grand des égoïstes et le plus grand des altruistes. C'est d'abord penser à soi, prendre soin de son corps et je voulais le faire au travers des cinq corps. J'insiste parce que souvent, on n'est que un corps physique. Non, on est aussi un corps mental, celui que j'appelle un petit peu le saboteur, celui qui fait des schémas de défense, mais en fait, ce sont des schémas de sabotage, mais qui nous ont quand même aidés dans la vie, qui nous ont permis d'avancer. L'idée, ce n'est pas de le rejeter, mais c'est de s'en faire un allié. On a aussi le corps spirituel, on en a cinq en tout. Je ne vais pas tout vous détailler. Je vous laisse le lire. Moi, il m'a aidée pour mon mémoire, il m'a aidée dans ma vie. Grâce à ce bouquin, j'ai redécouvert le petit dieu intérieur qu'il y a là, dans mon cœur des vraies belles rencontres. Donc, c'est vraiment un livre fondateur. Donc, n'hésitez pas à aller. En plus, Lise Bourbeau, elle a énormément d'ouvrages qui sont juste géniaux et qui nous permettent justement de se réapproprier notre moi intérieur. Très bien. Et maintenant, ta citation inspirante. Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime. Ah, très bien. Donc, si on n'arrive pas à l'exprimer avec les mots, d'ailleurs, je vais faire un petit appartement si tu me le permets encore. Vas-y. Tu me demandais à qui ça s'adresse. C'est bon aussi pour les gens qui n'arrivent pas à parler. Alors, je vais faire un peu des clichés, mais c'est un peu vrai quand même. Souvent, les hommes et les ados, la plupart du temps, c'est le cas. Voilà. Les hommes et les ados, ils ne sont pas comme nous, les femmes. Oui, c'est vrai. Ils retiennent beaucoup, ils n'osent pas s'exprimer, ils n'osent pas dire les choses et surtout, ils vivent avec beaucoup de bienveillance et c'est conditionné à s'exprimer. Il fallait garder, il ne faut pas pleurer, il ne faut pas ceci, il ne faut pas cela. Un homme ne pleure pas, un homme ne pleure pas, il ne parle pas, il doit être grand, fort, etc. Sauf que la force, elle est intérieure et à force d'être fort dans l'apparence, parfois, il s'effrite aussi à l'intérieur et ils ne savent même pas l'exprimer et ça peut être un sujet tabou aussi, même pour les ados. Chez certaines femmes aussi, attention, je ne vais pas non plus mettre des clichés, mais c'est beaucoup ça. Beaucoup des hommes et des ados, en kinésiologie, tu l'as vu, des fois, il n'y a pas tellement besoin de parler. Le corps, il sait, c'est le corps qui dit. Donc, on peut libérer comme ça. Bon, merci pour ces deux. Alors, on a ta citation qui était excellente et puis pour le livre également et puis merci pour ton partage. Merci pour toutes ces superbes infos. Donc, j'espère que cette conversation avec Asma vous a donné envie de découvrir la kinésiologie et de faire plein, plein de séances pour aller mieux parce que de toute façon, le mieux-être est notre voie et notre destination. Donc, surtout, quand on trouve des techniques comme ça qui permettent, comme je vous le sentais, d'aller mieux, de pouvoir respirer, de pouvoir redresser un peu notre être, allons-y, profitons-en et surtout, avec des praticiennes aussi gentilles qu'Asma, aussi souriantes, c'est encore plus extraordinaire. Donc, j'espère que vous avez apprécié notre conversation. En tout cas, moi, j'ai adoré. Alors, si vous avez envie de faire une séance Aller voir Asma, vous aurez toutes ces infos en dessous du podcast en description. Et donc, moi, comme je vais finir sur ça, faire une séance de kinésiologie, c'est libérateur. Alors, n'hésitez pas. Alors, je vous dis à très bientôt et encore merci à toi, Asma, d'avoir passé ce moment avec moi. Merci à toi déjà pour ta confiance, d'avoir cru en moi et de m'avoir invitée parce que ça me fait super plaisir d'en parler. J'ai toujours, je peux en parler pendant des heures. Et puis, surtout, au-delà d'en parler pendant des heures, j'ai l'impression qu'on fait des petites graines qu'on sème. Donc, en faisant ce que tu fais, tu as semé encore une graine et si ça peut permettre d'aider quelqu'un qui aidera encore quelqu'un et ainsi de suite, on vit dans un monde où tu vois, il y a des guerres et tout. Malheureusement, ça se passe. Plus on va bien et mieux on se porte en soi, mais aussi dans le monde. On va finir là-dessus. Je vous remercie pour votre magnifique technique qui est la kinesiologie et notre magnifique invité qui est Asma également. A très vite sur un nouvel épisode. Merci de votre écoute. Et je vous dis, vivez une vie pleine de magie. A bientôt. Sous-titrage ST' 501 Sous-titrage ST' 501

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