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👉🏻 Après l'écoute, on se retrouve sur mon canal Telegram Business, voici le lien c'est gratuit et j'y partage beaucoup de valeur : https://t.me/DavidKomsiBusiness 🚀
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In this message, the speaker addresses the listener personally and emphasizes that they are on their own channel, so they can use informal language. They discuss the importance of being attentive to the message, as it can radically transform one's life. The speaker emphasizes that their channel is focused on business, time management, productivity, and improving one's life. They stress the need for congruence and only listening if the topics are of interest. The speaker introduces the main idea that in life, it is when we least want something that we need it the most. They provide examples, such as a business needing advertising when they have few customers and a couple needing intimacy when they are experiencing relationship issues. The speaker emphasizes the importance of putting this idea into practice and warns that not doing so may lead to being stuck in a difficult situation. Salut, j'espère que tu vas bien. Alors dans ce message, je vais dire tu, je vais m'adresser à toi personnellement et pas à vous ou au groupe comme je fais d'habitude. Il n'y a pas de règle, on fait ce qu'on veut, je suis sur mon canal donc si j'ai envie de dire tu et un autre jour dire vous, je dis tu et je dis vous. Alors concrètement, je vais te demander de prendre un instant pour être bien attentif à ce que je vais dire dans cet audio. Vraiment, sois bien attentif à ce que je vais dire dans cet audio parce que ce que je vais dire dans cet audio, c'est quelque chose qui peut radicalement transformer toute ta vie. Et je dis bien radicalement transformer toute ta vie. Et sur ce canal David Comme Si Business, on est là pour parler business, on est là pour parler de gestion du temps, de productivité, on est là pour parler d'avoir une meilleure vie, on est bien d'accord. On n'est pas là pour faire du crochet ou des mots croisés ou des sous-docus. Donc si t'es là, sur ce canal, si tu prends une partie de ton temps pour écouter ce que j'ai à dire, ça veut dire que quelque part il y a des choses sur ces sujets qui t'intéressent ou que toi aussi t'as envie d'obtenir des changements dans ta vie, t'as envie d'avancer au niveau business, peut-être au niveau de la liberté financière, peut-être de la liberté de temps, géographique, etc. On est d'accord. Donc il faut être congruent. Si t'es là, c'est que tu veux ça et si tu veux ça, il faut que t'écoutes ce message, c'est hyper important. Et dans la famille, il faut être congruent. Si t'es juste là par curiosité et que t'en as rien à foutre des sujets dont j'ai parlé avant, tu peux aussi désinsérer du canal. Parce que quand on parle de productivité, de gestion du temps et de congruence, c'est important de faire des choses en rapport avec ce qu'on veut vraiment. Et c'est pour ça d'ailleurs que quand je suis sur YouTube et que YouTube me montre des chaînes qui ne m'intéressent pas ou je regarde une vidéo sur un sujet qui n'est pas vraiment le sujet qui m'intéresse, je dégage ça de mon historique après parce que je veux être congruent. Et YouTube, ça me sert uniquement à me former, à avancer. Je ferme la parenthèse. Maintenant, on parle d'un message hyper important. Et je pèse mes mots quand je dis que ce message peut changer ta vie. Alors peut-être qu'en l'entendant, tu vas te dire « Ah oui, mais ça je le savais déjà ». On n'en a rien à foutre que tu le savais déjà. Ce qui compte, ce n'est pas que tu le savais déjà, ou plutôt est-ce que tu le savais déjà. Ce qui compte, c'est est-ce que tu mets ça en pratique. Tu as bien entendu ce que j'ai dit ? Oui, je sais, je suis un peu pouchy ce matin, mais c'est comme ça. À un moment donné, il faut aussi secouer les gens. Et puis les secouer le matin, ça fait du bien. Comme ça, on reste secoué toute la journée et on passe une journée meilleure. Donc concrètement, la question n'est pas de savoir si ce que je vais te dire après tu le sais ou pas. La question c'est de savoir est-ce que tu le mets en pratique ou pas. Ok ? Tu es prêt ? On y va. Écoute bien cette phrase. « Dans la vie, c'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin ». Je répète cette phrase. « Dans la vie, quand on en a le moins envie, c'est quand on en a le plus besoin ». Et cette phrase, elle m'a été enseignée par une personne qui me formait quand j'avais 19 ans. J'avais fait un petit travail pour l'été. Cette personne me formait et elle m'avait expliqué cette phrase et elle m'avait donné des exemples. Pour la petite histoire, donc mon petit travail de l'été, c'était de voir les commerçants de la région où j'habitais et puis de leur présenter un annuaire local qui était réalisé et de leur donner la possibilité de prendre un encart publicitaire pour être sur cet annuaire local. Donc cet annuaire local ensuite, c'était comme un petit dépliant, il allait pouvoir être, enfin il allait être distribué dans toutes les boulangeries, les bureaux de tabac, etc., enfin tous les commerces de la région. Donc c'était un petit annuaire local. Et en fait, cette personne qui me formait, qui s'appelait Philippe, en tout cas je lui souhaitais d'autres jours s'appeler Philippe, je n'ai pas de nouvelles depuis très longtemps mais voilà, il me disait « tu veux avoir un commerçant ? » et puis il me dit « ah non, non, je ne veux pas prendre de la publicité, ça ne m'intéresse pas, etc., je n'ai pas envie. » Ok, très bien. Pourquoi il n'a pas envie de prendre de la publicité ? Imaginons, pizzeria, il n'a pas envie. Tu rentres, c'est une pizzeria, il se dit « non, non, non, je ne veux pas prendre de publicité parce que bon, on n'a pas beaucoup de clients, on n'a pas beaucoup de ventes et tout ça, enfin voilà, ils n'ont pas beaucoup de chiffres d'affaires et ils ne peuvent pas avoir accès à de la publicité. » On est bien d'accord, il ne veut pas prendre de la publicité parce qu'il n'a pas d'argent. Pourquoi il n'a pas d'argent ? Parce qu'il n'a pas de clients. À quoi sert la publicité ? À aller ramener des clients. Est-ce que tu me suis ? Quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin. Il n'a pas envie de prendre de la publicité et pourtant c'est de ça qu'il a besoin. Il n'a pas envie de payer de la publicité et pourtant c'est de ça qu'il a besoin. C'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin. Autre exemple. Et ce que je t'ai dit avant c'est flagrant. C'était le cas pour tous les commerçants qui disaient non. C'était vraiment le cas. Ils étaient dans une situation où c'était compliqué pour eux au niveau du business et c'est dans ces moments-là qu'ils auraient dû investir. Ce n'est pas genre j'attends d'avoir des clients pour investir pour avoir des clients. Ça n'a pas de sens. Autre exemple qu'il m'a donné qui illustre très bien le « c'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin ». Il me dit « imagine tu rentres chez toi et puis t'as envie de faire l'amour avec ta femme et puis elle, elle n'a pas envie ». Voilà. Il me dit « en ce moment elle n'a pas envie ». Eh bien, dis-toi que c'est exactement la même chose. C'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin. Pourquoi elle n'a pas envie ? Eh bien peut-être parce qu'en ce moment, entre vous, il y a de l'eau dans le gaz comme on dit. C'est un petit peu tiède, il y a relation, il y a des tensions, il y a des choses qui ne vont pas. Donc elle n'a pas envie à cause de ça. Mais pourtant, si elle passait par-dessus le « j'ai pas envie », eh bien peut-être qu'en faisant l'amour avec elle, que elle fasse l'amour avec toi, ça réchaufferait la relation, ça vous rapprocherait les deux. Et ça contribuerait à redynamiser la relation. Est-ce que tu vois ce que je veux dire ? Est-ce que tu comprends cette métaphore de « c'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin ». C'est hyper, hyper important. Et cette phrase, elle ne m'a jamais quitté depuis cette époque-là, je ne sais plus, 19, 20 ans, je ne sais plus exactement, dans ces eaux-là. Elle ne m'a plus quitté. Et c'est une réalité. Alors je sais, les gens vont écouter ça, ils vont me sortir des contre-exemples, vont me dire « oui, mais machin, oui, mais la femme, le mari, patati, patata », on s'en fout. Ce sont des exemples qu'il m'a donné. Et je me suis toujours rendu compte dans ma vie, dans plein de domaines, que ces exemples sont une réalité et décrivent vraiment, en tout cas que cette phrase décrit un processus qui est ultra puissant, qui va faire qu'une personne va être un loser toute sa vie ou va être un winner, va être un perdant ou un gagnant, va être une personne qui va chouiner parce qu'elle n'a rien dans sa vie, elle est dans la merde. Et c'est encore plus le cas maintenant avec les prix qu'augmentent, les taxes, toutes ces choses-là. Ou alors la personne va sortir son épingle du jeu et puis elle va aller au-delà. J'étais en contact avec plusieurs personnes de ma famille qui habitent en France il n'y a pas longtemps, et concrètement, c'est hallucinant de voir comment ces personnes qui avant avaient une vie qui était relativement confortable s'en sortaient bien, même prendre l'exemple de ma mère, qui s'en sortait bien, qui n'en peut plus avec l'augmentation de l'électricité, l'augmentation de ceci et les assurances et les machins et les bidules, alors qu'elle était bien, elle était confortable, elle est propriétaire, elle est tranquille, elle n'a pas de crédit, et bien elle vit dans une situation où elle me disait « je me réveille le matin, il fait 10 degrés, et bien je ne mets pas le chauffage pour faire des économies. » Et puis elle met un gros pull, etc. Il y a plein de concessions qu'elle fait, et elle passe son temps quand elle fait les courses à regarder les prix, à comparer, etc. Et ça ce n'est pas une vie, il y a plein de gens qui vivent comme ça. Alors bien sûr, peut-être que quand on a 75, 80 ans, c'est un peu compliqué de changer les choses, mais c'est avant qu'il faut les changer. Et pour toutes les personnes qui m'écoutent, et pour toi qui m'écoutes, sache que si tu ne changes pas les choses, si tu ne comprends pas cette phrase « c'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin », et bien un jour tu seras dans une situation, si ce n'est pas déjà le cas, où tu seras dans la merde et tu auras l'impression de ne pas vivre, d'être juste un esclave qui travaille et puis qu'on saigne dans tous les sens. Et je prends l'exemple de ma mère, mais ma mère est propriétaire. Ma mère est à la retraite, donc concrètement elle n'a pas tous les frais qu'on peut avoir quand on est salarié, quand on se déplace. Je ne sais pas, moi il faut probablement acheter plus de vêtements. Bon, il y a les frais de déplacement, et puis surtout si on n'est pas propriétaire, il faut payer son loyer, etc. Donc je ne sais même pas comment arrivent à vivre les gens aujourd'hui. C'est complètement hallucinant. Alors on ne va pas faire de politique, on n'est pas là pour ça. Juste dire qu'à un moment donné on ne peut pas dans un système normal vivre comme c'était le cas avant où les gens avaient une vie normale et puis voilà ils vivaient tranquillement leur vie et puis c'est tout. Non, on ne peut pas, ce n'est pas possible, c'est plus possible. Il faut vraiment être conscient de ça. Ce n'est plus possible de vivre une vie normale. C'est plus possible de juste avoir son petit travail, sa petite routine, son petit train-train, on fait ses petites, je ne sais pas, 35 heures, 39 heures ou je ne sais pas quoi, et puis c'est tout. Ce n'est plus possible. Il faut sortir les doigts du cul, il faut viser grand, il faut viser loin, il faut viser haut et il ne faut pas viser ce qu'on nous a dit qu'il fallait qu'on ait dans notre vie quand on était jeune. On nous a dit oui, tu auras ton petit CDI, tout ça, tranquille, etc. Non, le monde a changé, c'est une réalité et comme je l'ai dit plus d'une fois, et bien dans le futur, il y aura plus de classe moyenne et c'est déjà le cas dans plein de pays. Il y aura plus de classe moyenne, il y aura les riches et les pauvres et il n'y aura pas d'ascenseur social entre les deux. Aujourd'hui, on peut encore, c'est de plus en plus difficile, changer de classe, et bien dans quelques temps, on ne pourra plus, c'est-à-dire les gens seront dans la merde, ils seront dans la merde, ils n'auront même pas l'argent pour se payer une connexion internet ou un ordinateur décent ou quoi que ce soit et c'est déjà le cas pour plein de gens. Ils seront complètement coincés, ils n'auront pas de l'intelligence artificielle, mais ils n'auront même pas accès à l'intelligence artificielle. Ils n'auront pas l'argent pour se payer ça. Ils seront dans la merde, ils vivront dans la merde encore plus que c'est le cas aujourd'hui et ils n'auront aucun moyen de s'élever socialement, ils n'auront aucun moyen d'accéder à certains emplois, etc. Et ce n'est pas les études qui vont changer quelque chose parce qu'on a bien compris depuis pas mal de temps maintenant que les études, ça ne sert plus à grand-chose. Il faut en faire, voilà, ça permet d'ouvrir un petit peu l'esprit, ça permet de, je sais pas, d'apprendre à s'organiser, voilà. C'est bien, c'est bien, on a des diplômes, enfin on a des diplômes, on a des examens, il faut réviser, il faut se préparer, etc. Oui, ça donne certaines disciplines. Mais concrètement, une fois que les gens ont leur diplôme, ils en sont où dans la vie ? Ils n'arrivent pas à grand-chose avec ça. Ou ils se retrouvent avec un salaire de merde dans un boulot de merde où ils disent « ah bah oui, c'est prestigieux et tout ça ». Non, non, ça a changé. Je connais une personne qui est dentiste, un jeune, qui a une trentaine d'années, qui est dentiste. Qu'est-ce qu'il a envie de faire ? Il a envie de devenir youtubeur. Non mais ça, c'est un truc qui était inimaginable quand j'avais 20 ans. C'était inimaginable. Déjà, les études n'existaient pas. Mais ce que je veux dire c'est qu'on se disait « ah bah oui, tiens, il faut faire des études, devenir docteur, devenir dentiste, etc. ». Oui, oui, on peut faire les choses par vocation. Mais c'est juste que concrètement, il en a plein le cul. Il en a plein le cul des clients, il en a plein le cul d'être pris en étau entre la sécurité sociale, les clients, les machins, l'emploi du temps complètement surchargé, etc. et tout. Et il n'y a pas de liberté. Il n'a pas de liberté. Il n'a pas la possibilité de partir en vacances, de vivre où il veut dans le monde. Il n'a pas ce côté-là. Alors, oui, quand on est dentiste, suivant les cas de figure, on peut gagner de l'argent de manière intéressante, on va dire. D'accord. Mais il y a trois types de liberté. Il y a la liberté financière. Je ne sais pas si c'est réellement un dentiste la liberté financière. On va dire qu'il va être plus aisé qu'une personne normale. Il va pouvoir payer ses factures, aller en week-end, se payer des vacances, des choses comme ça. Oui. Mais il n'aura pas vraiment la vraie liberté financière telle qu'on peut l'imaginer d'avoir aujourd'hui. Ensuite, il y a la liberté de temps. Alors là-dessus, on peut faire une croix parce que de toute façon, il vend son temps à l'heure. C'est ça le problème. Il vend son temps à l'heure. Si à un moment donné, il ne travaille pas pendant une semaine, il n'y a pas d'argent qui rentre. Donc, il n'y a pas de liberté de temps. Et ensuite, il n'y a pas de liberté géographique parce qu'à un moment donné, tu es dentiste, tu as ton cabinet qui est dans telle ville, tu ne vas pas travailler depuis l'étranger, tu ne vas pas travailler depuis l'hôtel avec une connexion internet, etc. Ce n'est pas possible. Et ça, il a bien compris. Ils sont de plus en plus à le comprendre. Je vois de plus en plus de jeunes, que j'ai certains dans mes clients, et qu'ils disent « j'en ai plus rien à foutre de ceci, j'en ai rien à foutre d'un CDI, j'en ai rien à foutre de ça, de ça. » Ils veulent autre chose. Est-ce qu'ils se sont rendu compte que la vie, ce n'est pas ça ? Ce n'est pas être salarié comme un esclave, ce n'est pas faire tout le temps la même chose toute sa vie et au final se faire assassiner par tout ce qui est taxes, tout ce qui est impôts, tout ce qui est prise d'électricité, la bouffe et toutes ces choses-là. Non, ils ne veulent pas ça. Et j'en reviens à ma phrase de tout à l'heure. Dans la vie, c'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin, et je vais avancer là-dessus, déjà les gens qui ont le moins envie d'écouter cet audio sont probablement les gens qui en ont le plus besoin. Ça, c'est déjà le premier point. C'est pareil si j'envoie un mail. « Oh, je n'ai pas envie de le lire et tout ça. » Et pourquoi tu n'as pas envie de le lire ? « Ouais, parce que j'ai autre chose à faire, parce que je ne me sens pas bien, parce que je dois aller au travail, parce que je ne sais quoi. » Bien souvent. « Ou parce que je ne suis pas motivé à changer ma vie ou parce que je n'y crois pas. » Voilà. C'est ça le truc. C'est quand j'en ai le moins envie que j'en ai le plus besoin. Si vraiment tu as la dalle, si vraiment tu as envie de bouger, tu as envie de changer, tu as envie de transformer ta vie, à un moment donné, cet audio, tu ne vas même pas, j'ai envie de dire, tu ne vas même pas l'écouter en accéléré. Après, tu fais comme tu veux. Mais tu ne vas même pas l'écouter en accéléré. Tu vas le déguster. Et tu ne vas pas l'écouter qu'une fois, tu vas l'écouter plusieurs fois, en disant « je vais l'écouter plusieurs fois parce que je sais que dans quelques jours il va le supprimer. Et il faut que je l'écoute. » Je continue avec, c'est quand on a le moins envie qu'on a le plus besoin. Concrètement. Si je te dis aujourd'hui, est-ce que tu as envie de te lancer sur YouTube ? On part du principe que tu n'as pas démarré sur YouTube. Ok ? Est-ce que tu as envie de te lancer sur YouTube ? Est-ce que tu as envie de devenir créateur de contenu ? Est-ce que tu as envie d'avoir ta propre chaîne YouTube ? Et puis pourquoi pas, soyons fous, réussir plus tard à en vivre. Et bien concrètement, il y a plein de gens qui vont dire « non, je n'ai pas envie. Je n'ai pas envie. » Pourtant, c'est que YouTube, pour leur apporter la liberté de temps, la liberté géographique, la liberté financière, ils en ont besoin. Mais ils n'ont pas envie. Et pourquoi ils n'ont pas envie ? Alors déjà, je vais te dire une des choses les plus importantes que m'a apporté YouTube. Et je le vois avec mes clients, et c'est le cas pour eux également, c'est l'occasion d'amener du dépassement de soi. Dépassement de soi. Avec YouTube, au-delà de l'argent que j'ai pu gagner, j'en parlerai à un autre moment. Ce qui m'a vraiment apporté, c'est ce dépassement de moi. Et ce dépassement de soi, c'est se fixer le défi d'apprendre de nouvelles choses, de développer de nouvelles compétences, sortir de ses limites, apprendre à s'organiser différemment, être plus efficace, devenir une meilleure version de soi-même. Ça, c'est les grandes lignes de ce que YouTube amène. Et je le vois, encore une fois, je le vois avec des personnes que j'ai pu accompagner, ou des amis que j'ai, des proches que j'ai. Puisque j'essaye de me rapprocher, enfin c'est pas j'essaye, c'est que je me suis rapproché de plusieurs personnes qui sont un peu dans la même dynamique que moi par rapport à leur chaîne YouTube, pour pouvoir échanger différentes choses et puis s'aider mutuellement. Et ce que je vois, c'est que concrètement, et bien oui, c'est pas facile de se créer une chaîne YouTube. C'est pas facile d'avancer sur YouTube. Ça demande de se fixer des défis, effectivement, comme je disais, d'apprendre de nouvelles choses. C'est « Ah, ben oui, je sais pas me filmer. » Tu vois, aujourd'hui, je dis à une personne, imagine, je te dis « Allez, est-ce que tu as envie de créer ta chaîne YouTube ? » Tu vas me dire « Ouais, mais je sais pas me filmer. » « Oui, mais je sais pas quoi dire. » « Oui, mais je sais pas à qui je vais m'adresser, quelle va être la niche, dans quelle direction je vais aller. » « Oui, mais j'ai pas le temps. » « Oui, mais je sais pas parler. » « Oui, en public. » « Oui, je suis nul en technologie. » « Oui, j'y connais rien, je sais pas moi, dans telle ou telle logicielle, etc., etc. » En fait, c'est ça. C'est que les gens, à partir du moment où je leur dis « Vas-y, crée-toi une chaîne YouTube », ils me mettent en avant tous ces points. Mais ça, c'est la même chose pour tout le monde. C'est la même chose pour tout le monde. Est-ce que tu crois pour moi, je sais pas, des défis, de m'organiser pour créer des vidéos, de faire tout ce qu'il faut pour qu'une vidéo soit créée et qu'elle soit en ligne ? Est-ce que ça m'a pas développé des compétences de réussir à filmer des vidéos, de réussir à les monter ? Parce qu'à la plupart des vidéos que j'ai faites, c'est moi qui les ai montées. La dernière vidéo par exemple que j'ai faite, elle s'est écrite sur l'écran, c'est moi qui l'ai faite. Je sais pas comment on faisait cet effet d'écrire sur l'écran. Il a fallu que je le trouve. Il a fallu que je développe mes compétences par rapport à ça. Il a fallu que je sorte de mes limites en me disant « Ah non, je vais pas y arriver, non, j'ai pas le temps, est-ce que c'est utile, etc., etc. » Il a fallu que j'apprenne à m'organiser différemment. Que j'apprenne à être plus efficace. Tu vois ce que je veux dire ? Donc concrètement, sur tous ces points, se fixer le défi d'apprendre de nouvelles choses, développer de nouvelles compétences, sortir de ses limites, apprendre à s'organiser différemment, être plus efficace, devenir une meilleure version de soi-même, et j'en passe, il y a plein d'autres choses reliées avec ça. Est-ce que tu as besoin de ça ? Oui ou non ? Pose-toi la question. C'est pas est-ce que tu en es capable, c'est est-ce que tu as besoin de ça ? Est-ce que tu as besoin de sortir de tes limites ? Est-ce que tu as besoin de te dépasser ? Est-ce que tu as besoin d'apprendre de nouvelles compétences ? Est-ce que tu as besoin de te rendre compte des choses que tu as besoin de changer en termes de croyance, en termes de tout un ensemble de choses qui t'empêchent d'être efficace et d'avancer ? Oui, tu en as besoin. Et quand je dis aux gens « Ok, eh bien il faut que tu crées une chaîne YouTube », les gens disent « Non, j'ai pas envie ». Tu comprends le sens de ce qui est quand j'en ai le moins envie, que j'en ai le plus besoin ? S'ils n'en ont pas envie… Prends un exemple, encore une fois. Je te dis « Allez, tu crées ta chaîne YouTube ». Tu vas me dire « Oh non, j'ai pas envie ». Pourquoi tu n'as pas envie ? Parce que ces points de dépassement de soi dont je t'ai parlé juste avant te font peur. Parce que tu t'en sens pas capable, tu te dis « Ah mais oui, mais je ne sais pas filmer, je ne sais pas ceci, je ne sais pas cela ». Mais tu en as besoin. Si tu es largué au niveau technologie, tu as besoin de dépasser ça. Si tu es largué au niveau de gestion du temps, tu as besoin de dépasser ça. Si tu es largué dans le sens que tu es timide, tu ne sais pas parler aux gens, tu en as besoin. Si tu es largué, je ne sais pas, tu ne veux pas faire la moindre action pour être en contact avec les gens, rencontrer de nouvelles personnes ou je ne sais pas quoi, tu en as besoin. Tu comprends cette phrase ? C'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin. C'est essentiel. Donc ça veut dire que chaque fois qu'on va te dire quelque chose et que tu n'as pas envie de ce quelque chose, prends conscience de ce qui est caché derrière. Prends conscience que c'est bien souvent un refus de dépasser tes limites. Prends conscience que c'est bien souvent parce que tu as la trouille, parce que tu veux rester dans ta routine, dans ta zone de confort, dans ton environnement connu. Prends conscience de ça. Parce que c'est la réalité. Donc on aura l'occasion dans les jours à venir de reparler un peu plus de YouTube encore. Je vais tâcher de poster un message tous les jours, les prochains jours. Donc sois bien attentif, je ne te promets pas que ce sera tous les jours le matin, je vais voir, en sachant que ce ne sont pas des messages préparés. Je les fais en direct. Tiens, un exemple tout simple. Moi, je n'avais pas envie à un moment donné de faire des messages en direct comme ça. Je n'avais pas envie. Ah ben non, il faut que je prépare mon texte, je ne peux pas me permettre comme ça d'enregistrer, de buter sur un mot, d'être bloqué, quoi que ce soit et tout. Eh ben je l'ai fait. Pendant des années et des années, j'ai enregistré des choses en direct comme ça. Dans différents contextes. Et le résultat il est où ? C'est qu'aujourd'hui je suis efficace. Aujourd'hui j'arrive à oublier la technique, la technologie ou quoi que ce soit. Et je suis capable de délivrer un message puissant, impactant, motivant, stimulant, remuant, avec l'inspiration qui vient, sans avoir besoin de réfléchir, d'analyser. Si je voulais réfléchir, analyser, écrire ce texte, ça me prendrait combien de temps ? Et puis après je le relis, je le corrige, et puis tout ça. Et puis après je le lis et c'est complètement nul parce que c'est joué. Là c'est pas joué. Là c'est de la réalité. Et j'avais pas envie de faire ça. Je me souviens d'une amie qui était venue chez moi il y a, je sais pas, pratiquement une dizaine d'années. Et puis qui me disait « non non non, je commençais à faire des vidéos YouTube sur mon autre chaîne, tu me disais non, il faut pas que t'aies un texte de préparer et tout ça, tu te mets juste un petit post-it autour de la caméra et puis tu lis ces trucs. Voilà, juste quelques mots par-ci par-là. » Et moi je disais « mais non, jamais de la vie. » En plus elle était beaucoup plus jeune que moi et concrètement je disais « qu'est-ce qu'il y connaît à la vie ? Qu'est-ce qu'il y connaît à la vie cette gamine ? » Et je l'ai pas fait. Je l'ai pas fait. Je suis resté accroché à mes textes. Alors oui, il y a des cas de figure, c'est important. Comme mes vidéos YouTube que je fais actuellement, elles sont scriptées parce que je veux qu'elles soient les plus efficaces, les plus impactantes, les plus courtes possible parce qu'on parle de productivité et qu'il faut que les gens puissent avoir accès aux informations rapidement. D'accord ? Et puis elles sont faites aussi par rapport au YouTube Game. Le but c'est de performer sur YouTube et c'est ça qui permet de toucher d'autres personnes, d'élargir l'audience. D'accord ? Mais au-delà de ça, ce que je suis en train de faire là, j'aurais jamais été capable de le faire et j'avais pas envie de le faire. Pourquoi ? Parce que j'étais mort de trouille. Parce que je voulais pas me trouver face à quelque chose que je savais pas faire. Parce que j'avais la trouille de développer une nouvelle compétence, je voulais pas sortir de mes limites. J'avais cette limite de « non, il faut que mon texte soit prêt, etc. » et tout. En fait j'avais cette limite de « si je sais pas quoi dire, je peux pas dire quelque chose d'intéressant ». Et ce que j'ai appris avec le temps, par expérience, après avoir fait des centaines, des milliers d'enregistrements comme celui-ci, parce que pendant plusieurs années j'ai eu un programme qui s'appelle « 10 minutes pour se réveiller » où tous les matins il y avait un enregistrement comme ça. En direct, pratiquement. Moi je le faisais en direct mais après c'était remis, c'est avec de la musique et les gens y avaient accès quelques jours après. Mais pour moi c'était du direct. Et donc concrètement ça m'a développé des compétences mais ça m'a permis de voir que quand tu es bon dans quelque chose et que tu lâches prise, il y a une inspiration qui vient, il y a quelque chose qui vient, qui fait que ce que tu vas dire est encore plus puissant que ce que tu aurais pu écrire. Et moi, ça, j'en étais pas conscient. Et j'avais besoin de ça. J'avais besoin de ça pour rendre mon message encore plus impactant, pour stimuler, motiver encore plus les gens qui me suivaient. Et j'en étais pas conscient. Je restais prisonnier d'un texte. Et je passais à côté de l'essentiel. Alors pour l'instant, pour en revenir à ma chaîne YouTube, c'est uniquement, comme j'ai dit, des vidéos scriptées qui sont assez courtes, assez denses. Mais au fur et à mesure, petit à petit, je vais introduire de temps en temps des vidéos un petit peu avec le ton de ce que tu es en train d'entendre là. Ça sera différent. Donc je vais terminer cet enregistrement avec encore une fois cette phrase. C'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin. Ça c'est hyper important. Et accessoirement, ce que je viens de faire juste avant, accepter d'envoyer un audio où la phrase n'est pas parfaite et je la redis, ça, j'avais des limites par rapport à ça, j'avais des croyances. J'avais tout un ensemble de choses qui disaient « bah non, tu peux pas envoyer ça aux gens. Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Si je parle avec quelqu'un, si je parle avec un ami, est-ce que toutes mes phrases ont besoin d'être structurelles à virgule près, etc. ? Est-ce que j'ai pas le droit à un moment donné de prendre un instant parce que j'arrive pas à trouver un mot ? Ou de redire une phrase différemment ? Ou de me répéter ? J'ai le droit. C'est la vraie vie. C'est quelque chose d'authentique. Et ça c'est pareil. J'avais besoin de ça. Mais je n'en avais pas envie. Parce que j'avais la trouille. Parce que ça m'aurait fait changer, ça m'aurait fait me transformer et sortir de mes limites habituelles, sortir de la manière dont j'étais. Parce que c'est ça le problème, c'est qu'on est d'une certaine manière et puis on se dit « ah bah oui je suis comme ça, t'es comme ça que je suis » et puis on reste comme ça. Et on se rend pas compte de tout ce qui est différent, de tout ce qui pourrait être différent. Et aujourd'hui je peux dire que jamais je reviendrai en arrière. La puissance que j'ai réussi à développer en étant sorti de ces limites, ça n'a pas de prix. Mais par contre, j'aurais pu le développer bien plus tôt. J'aurais pu écouter cette personne à l'époque. Je ne l'ai pas écoutée. Je ne la voyais pas être. Je savais mieux qu'elle. J'étais plus âgé, j'ai plus d'expérience, je savais mieux qu'elle. Il m'a fallu des années, des années, des années pour me rendre compte qu'elle avait raison. Parce qu'indirectement j'étais arrivé au même résultat mais je l'avais pris plein de détours, ça m'avait pris énormément de temps. Et cette histoire de dépassement de soi, l'importance de se dépasser, de dire oui à chaque situation qui te permet de te fixer de nouveaux objectifs, de développer de nouvelles compétences, d'apprendre de nouvelles choses, de sortir de tes limites, d'apprendre à t'organiser différemment, d'être plus efficace, de devenir une meilleure version de toi-même, de devenir meilleur. Mais ça c'est pareil. Tu peux dire non aujourd'hui, tu peux dire ouais c'est des conneries et tout ça. Mais peut-être par la force des choses, dans des années, dans cinq ans, dans dix ans, dans quinze ans, peut-être dans vingt ans, dans trente ans, ça va se passer pour toi. Et tu diras « mais merde, c'est exactement ce qu'il disait David comme ça. Pourquoi je l'ai pas écouté à l'époque ? » Et tu te rendras compte que t'as entre guillemets perdu cinq ans, dix ans, quinze ans, vingt ans, trente ans de ta vie. Et certaines personnes s'en rendront jamais compte parce qu'elles auront perdu toute leur vie, parce qu'elles n'auront pas compris ce concept de c'est quand on en a le moins envie qu'on en a le plus besoin. Si c'est clair pour toi, mets-moi un cœur. Je sais pas s'il y a des cœurs dans la liste des émojis, parce qu'il n'y a pas tous les émojis je crois sur le canal. Mais il doit y avoir des cœurs je pense. Mets-moi un petit cœur rouge. On s'en fout que tu sois un homme ou une femme, c'est pas le souci. Mets-moi un cœur, c'est pas pour moi, c'est pour dire que voilà, t'as aimé le message qui est passé. Et dans les jours à venir, on parlera de possibilités pour toi de te dépasser. On parlera de possibilités pour toi de te fixer le défi d'apprendre de nouvelles choses, de développer de nouvelles compétences, de sortir de tes limites, etc., etc. On en parlera à travers YouTube. Et je te le dis maintenant. Si je te dis est-ce que t'es prêt à démarrer ta chaîne YouTube, est-ce que t'as envie de te lancer dans l'aventure YouTube, je te pose déjà dès maintenant la question, et sois conscient, écoute bien le résultat qui vient à l'intérieur de toi, écoute bien la réponse. Alors peut-être que oui, t'es déjà à fond. Dans ce cas-là c'est ok. Mais peut-être que tu vas avoir tendance à ressortir des excuses dont j'ai parlé tout à l'heure. Tu vas dire non, non, j'ai pas envie. Et si tu dis t'as pas envie, essaie de creuser pour voir pourquoi t'as pas envie. Et tu verras que c'est juste une histoire de limites. C'est juste une histoire parce que c'est inconnu et puis ça te fait peur parce que tu te dis par avance, avant de commencer quelque chose, que tu vas pas y arriver. Voilà. Rien que ça. Et il y a des gens que je connais qui ont démarré leur aventure entrepreneuriale avec YouTube et puis après ont fait d'autres choses. Mais grâce à YouTube, ça les a forcés à dépasser leurs limites, à prendre de nouvelles choses, à se rendre compte qu'ils étaient capables de ceci, de cela, etc. Et après ils sont dirigés vers d'autres choses. Tu vois ce que je veux dire ? Mais garde bien ça à l'esprit. Dès qu'à un moment donné tu te dis j'ai pas envie, il doit y avoir une lumière rouge qui s'allume et qui t'amène à prendre conscience des peurs, des limites, de toutes les choses qui sont cachées derrière ce j'ai pas envie. Parce que j'ai pas envie c'est une excuse. C'est facile de dire ah ben YouTube ça m'intéresse pas. Honnêtement. Honnêtement. On prend un instant on se pose. Honnêtement. Imagine. Tu publies des vidéos régulièrement. Bon l'avantage de YouTube c'est que t'es pas obligé de publier des vidéos. Moi je connais des gens qui ont des chaînes qui se sont envolées avec une vidéo par mois. C'est pas, on est pas sur TikTok, c'est pas tu publies trois choses dans la journée. Donc imagine. T'as une chaîne YouTube qui est en grosse croissance. Tu gagnes trois fois le salaire que tu gagnes actuellement. Et si actuellement tu gagnes rien ou pas grand chose et ben on va dire que tu gagnes trois fois le salaire, allez on va dire même ne serait-ce que trois fois le SMIC, enfin le salaire moyen ou le salaire que tu pourrais imaginer si tu travaillais. Donc largement plus que ce que tu peux imaginer aujourd'hui gagner. Ensuite t'as la possibilité de travailler n'importe où dans le monde juste avec ton ordinateur portable et ton smartphone parce que maintenant au niveau technologie c'est complètement hallucinant ce qu'on est capable de faire juste avec un smartphone. C'est un truc de fou. Même en termes de son. Là je ne le fais pas parce que je suis avec mes oreilles. Mais concrètement j'ai des logiciels, si par exemple je fais un podcast, j'ai des logiciels où en un clic je peux améliorer la voix comme si j'étais dans un studio d'enregistrement alors que je suis dans une pièce où il y a de l'écho et puis éventuellement il y a même limite du bruit autour. C'est hallucinant. Ce que la technologie permet de faire. Donc imagine. Tu gagnes trois fois, même cinq fois si ça te motive. Ou pourquoi pas dix fois, on s'en fout. Imagine un chiffre élevé. Imagine pas un truc complètement hallucinant, dire je gagne des millions et tout ça. Non, non, non. Faut pas que ça soit la panique. Faut que ça soit quelque chose qui soit très, très, très, très motivant par rapport à ce que tu imagines. Mais pas un truc tellement haut que ça te semble irréaliste. Tu vois ce que je veux dire ? C'est pour ça que souvent les gens vont penser à un truc genre deux fois ou trois fois ce qu'ils gagnent actuellement. C'est hyper motivant et puis il n'y a pas ce côté de dire ben non c'est totalement impossible. Donc imagine ça. On va dire entre guillemets liberté financière. C'est un bon début de liberté financière. Imagine tu peux prendre ton ordinateur portable, ton smartphone, ta petite caméra s'il faut. C'est pareil maintenant ils font des petites caméras. C'est la folie les petites caméras qui font, voilà, qui font la taille d'un téléphone qui sont stabilisés. Enfin tu fais des trucs de fous avec ça. Et puis de toute façon accessoirement une chaîne YouTube c'est pas spécialement montrer ta tronche et puis parler et puis mettre ta voix. Il y a plein de chaînes YouTube où la personne tu la vois pas, tu l'entends pas parler et qui font des millions de vues. C'est complètement hallucinant. Par contre le point commun entre toutes ces chaînes c'est que les gens qui ont développé ces chaînes ils y ont cru, ils ont dépassé leurs limites, ils ont développé une nouvelle compétence, ils ont appris à s'organiser différemment, être efficace, etc. On est d'accord. Donc imagine tu gagnes beaucoup plus que ce que tu gagnes actuellement ou tu fixes un chiffre qui est motivant. Je sais pas, par expérience je sais en général quand les gens commencent à se dire bah tiens 5 000 euros, entre 5 000 et 10 000, là tout de suite ça les motive et ça leur fait toucher du doigt ce que pourrait être leur vie. Donc imagine, ne serait-ce que juste ça, 5 000 à 10 000 euros par mois. Liberté de temps. Tu t'organises comme tu veux. Moi en général je travaille le matin, l'après-midi sauf dans des moments spéciaux, mais l'après-midi je vais être plus relax. Je connais des gens l'après-midi ils vont faire du sport, ils vont à la plage, des gens qui sont entrepreneurs, ils vont à la plage, ils vont à la piscine, ils se promènent, etc. Liberté de temps, tu travailles quand tu veux. Et ensuite liberté géographique, comme je l'ai dit, tu prends ton matériel, très réduit, et tu vas de n'importe où dans le monde. Tu peux travailler n'importe où dans le monde. Tu peux dire j'ai envie d'aller en Asie, je vais en Asie pendant une semaine. J'ai envie de faire un tour du monde, je vais faire un tour du monde. Oui parfaitement. 5 000 à 10 000 euros par mois, la personne qui est organisée, elle fait son tour du monde. Surtout si elle a son bureau avec elle, elle a son ordinateur avec elle. C'est gigantesque. Il n'y a personne que je connais qui refuserait cette vie avec une liberté financière, une liberté de temps et une liberté géographique. Personne. C'est le rêve de chaque personne. Bien sûr, il y en a qui n'ont pas envie de montrer leur tronche sur YouTube et on ne leur demande pas de montrer leur tronche. Je connais d'excellentes chaînes YouTube, encore une fois, et va sur YouTube, regarde, et tu verras, il y a d'excellentes chaînes où la personne, tu ne la vois pas. Il y a des chaînes où ce n'est pas elle qui parle, où il n'y a même pas de voix, et ça fait des millions de vues. Et quelques fois même, ça fait encore plus de vues que d'autres chaînes parce que du coup, il n'y a même pas la barrière de la langue. Je ne sais pas, imagine une personne qui, tu as peut-être déjà vu des vidéos comme ça, où tranquillement, tu as la personne qui se promène dans la rue avec sa caméra stabilisée, tu as l'impression que c'est toi qui es en train de marcher. Tu vois, c'est point of view, c'est-à-dire, point of view, c'est-à-dire, c'est comme si tu étais la personne qui est en train de marcher, et puis tu te promènes comme ça. Je me rappelle, j'ai vu une vidéo, genre c'était un soir d'orage à New York, et tu voyais, il pleut, c'est New York le soir, c'est en pleine orage, et la personne est en train de marcher. Donc tu ne l'entends pas, elle ne parle pas, tu ne la vois pas marcher, tu vois juste comme si c'est toi qui étais en train de marcher. Puis tu suis comme ça, ça, de chez toi, tranquille, tu t'évades entre guillemets. Et cette vidéo, elle faisait des millions de vues. C'est gigantesque. Bien sûr, tout ça, ça ne vient pas n'importe comment. Ce n'est pas genre je pose une vidéo et ça va être un succès exceptionnel. Non, non, il y a des techniques à développer. De la même manière, sur ma chaîne YouTube actuelle, qui, je te le rappelle, il y a un mois et quel, qui était à 600 et quelques abonnés, et là on est pratiquement à 3000, on devrait passer les 3000 aujourd'hui ou demain je pense. Et bien concrètement, les dernières vidéos que j'ai faites, et même celles que j'ai faites il y a un mois et quel, qui est à 55 000 vues. Imagine pour une chaîne qui avait 6000 abonnés, pas 6000 qu'est-ce que je dis, 800 abonnés, 55 000 vues. C'est gigantesque. Et ça, c'est pas du hasard. Et comment performent mes vidéos actuelles, j'en ai une autre qui est à 11 000 vues, et c'est que le début. Et là, je crois qu'elle a une dizaine de jours, quelque chose comme ça. Et c'est que le début. Et tout ça, c'est pas fruit du hasard. Donc oui, il y a des stratégies YouTube. Oui, on peut faire des conneries, et j'ai fait des conneries pendant longtemps à me crever le cul à créer du contenu et que ça donnait rien du tout, etc. Bien sûr. Mais aujourd'hui, ce temps, il est révolu. Donc pose-toi la question aujourd'hui. Si on te dit « vas-y, crée-toi ta chaîne YouTube », est-ce que tu vas dire « j'ai pas envie ». Et si tu réponds « j'ai pas envie », il faut que tu réécoutes cet audio. Parce qu'il y a quelque chose que tu n'as pas compris. Et si jamais tu dis « oui, effectivement, mon premier réflexe est de dire j'ai pas envie », mais je comprends, David, ce que tu dis, et il faut que je passe par-dessus ce « j'ai pas envie ». Il faut que je passe par-dessus les barrières qui sont cachées derrière ce « j'ai pas envie », parce que je sais que ça va transformer ma vie si je dépasse ces barrières. Encore une fois, ce qui nous intéresse, ça a l'air bizarre, mais c'est le cas pour moi aussi. Ce qui m'intéresse, c'est pas YouTube. Ce qui m'intéresse, c'est ce que mène YouTube en termes de transformation intérieure. Parce que si on va plus loin, si on extrapole, qu'est-ce qui se passe quand tu commences à avoir une chaîne YouTube qui avance et puis qu'il y a des vues, etc., etc. ? Au-delà de la qualité de vie, t'es différent. Et bien surtout, tu vas avoir un relationnel différent. Parce que quand tu commences à avoir du succès sur YouTube, ce qui se passe, et bien c'est que concrètement, tu vas rencontrer d'autres YouTubers. Moi je me suis fait un casque comme ça, avec plusieurs personnes qui font des choses sur YouTube, et c'est des personnes avec qui je m'entends très bien. Et on a des choses à dire, on a des choses à partager. C'est pas des personnes qui habitent dans ma région, mais j'aurais plaisir, si je passe dans leur région, à aller les voir, à boire un café, à partager avec eux, à manger un morceau. Et peut-être c'est des personnes qui, dans le futur, deviendront des amis encore meilleurs que les amis que j'ai pu avoir jusqu'à maintenant. Parce qu'il y a un esprit communautaire, il y a quelque chose qui se passe. Quand tu es engagé dans une direction et que tu rencontres des gens qui ont la même passion, qui vont dans la même direction, ça crée des liens, il y a quelque chose qui se passe. La plupart des gens, regarde ce qu'il se passe autour de toi. Les gens, ils sont amis de quoi ? Qu'est-ce qu'ils partagent ? Ah si, ils sont amis d'une vie de mère. C'est ça en fait. Ils sont amis à partager leurs problèmes dans la vie. Ils se retrouvent le samedi, ils vont boire un verre ou je sais pas quoi, et puis ils se plaignent. Ah ouais ma vie est pourrie, ah ma femme ceci, ah mon mari ceci, ah puis les gosses, ah puis les voisins, puis ceci et cela, etc. C'est ça en fait. Ils vivent, entre guillemets, une vie de mère, enfin ils vivent la meilleure vie. Enfin, ils essayent de faire de leur mieux, encore une fois, je critique pas. Mais c'est juste pour poser le contexte, c'est appelé un change. Et à partir du moment où tu avances, il y a des choses qui se passent. Tu deviens libre, tu rencontres d'autres personnes qui sont libres, tu voyages, tu peux voyager avec d'autres personnes, il y a plein de choses qui se passent que tu peux même pas imaginer aujourd'hui et que même moi je peux pas imaginer parce que, on va dire, enfin c'est même pas les fleurés quoi, la taille de ma chaîne YouTube c'est rien, c'est de la rigolade. Mais je le vois par rapport à des personnes que je connais. C'est gigantesque. C'est une transformation totale, c'est une nouvelle vie totale et dans l'absolu, encore une fois, on s'en fout de YouTube, c'est pas YouTube qui m'intéresse. Ce qui m'intéresse c'est le dépassement de moi. Ce qui m'intéresse c'est la satisfaction que je vais avoir parce que je fixe des objectifs et je les attends. C'est ça qui m'intéresse. Ce qui m'intéresse c'est que grâce à YouTube, eh ben, je peux accompagner des personnes avec qui je vais partager mes compétences, mon expérience. Et grâce à ça, ces personnes vont transformer leur vie. C'est ça qui m'intéresse. Tu vois ce que je veux dire, encore une fois, YouTube c'est pas YouTube pour YouTube. C'est tout ce que ça amène indirectement. Et c'est ça que j'adore. Et si ce que je te dis là, ça résonne en toi, encore une fois, mets-moi un cœur rouge. Et pour les personnes qui diraient « mais j'ai la flemme de mettre un cœur, je sais pas comment on fait », tu laisses le doigt appuyé sur la publication, t'as des emojis qui apparaissent et tu mets le cœur, voilà. Y'a rien de compliqué. Et si à un moment donné t'as la flemme de faire une action juste de mettre un cœur, ouais bon allez, on va dire, si ça te choque, « oh non je peux pas mettre un cœur, c'est un homme, je suis un homme, non je peux pas mettre un cœur, c'est un homme, je suis une femme, je suis marié, machin », on s'en fout, tu mets autre chose, tu mets un pouce en l'air, voilà. Et puis c'est tout. Et puis apprends juste à faire des choses simples parce que c'est ça, c'est hallucinant aussi. Les gens, ils écoutent mes messages, mais à un moment donné, ils mettent même pas de réaction. Mais il faut arrêter avec les économies d'action, il faut un petit peu se dépasser, il faut faire des choses nouvelles. « Ouais mais d'habitude je mets pas d'emoji ». Eh ben t'en mets un, comme ça t'es content, comme ça c'est bien, t'es content, t'auras fait quelque chose de nouveau. Bon allez, sur ces bonnes paroles, 47 minutes, je vais continuer ma journée. Bonne journée à toi puisqu'on a commencé à te parler à toi personnellement et si je continue, je termine ce podcast, ce podcast audio en te parlant à toi personnellement. Et encore une fois, si ce que je t'ai dit là ça résonne, assure-toi d'écouter mes messages les prochains jours. Parce que tout ce côté dépassement de soi, je vais te proposer quelque chose de concret qui va te permettre d'y arriver dans les prochains jours. Donc écoute bien mes prochains audios, hyper importants. Après tu fais comme tu veux, tu rends comment t'organiser, tu mets des notifications ou tu les mets pas, ou tu te mets des rappels ou tu prends l'habitude chaque matin ou une fois ou deux dans la journée de venir voir s'il y a un nouveau message et puis tu l'écoutes. Et après tu fais comme tu veux, comme je t'ai dit, tu peux l'écouter en vitesse normale, en x1,5, x2, tu fais comme tu veux. L'important c'est que le contenu du message puisse s'ancrer en toi, qu'il puisse intégrer ça. Et je peux te dire que si tu le fais, tu auras un vrai avant et après dans ta vie. Allez ciao, bonne journée et pense à mon emoji, bye.