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géopolitique du Hezbollah

géopolitique du Hezbollah

Clara Hélène

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Transcription

The transcription discusses the Hezbollah organization in Lebanon. It highlights three main characteristics of the group: strategic, Lebanese, and hegemonic. The Hezbollah party emerged in 1995 and initially aimed to establish a socialist state but later accepted liberal economic policies. The party has also engaged in alliances with other factions and has become dominant in Lebanese politics. The transcription questions the relationship between Hezbollah and the Lebanese state, as well as whether its success can be considered a model for Lebanon. It also emphasizes the military strength and efficiency of Hezbollah compared to the Lebanese army. Overall, the transcription suggests that Hezbollah functions as a state within a state and poses challenges to the Lebanese government. qui sont déjà faits battus, et qui sont des gens qui sont littéralement éveillés aussi dans la notion de résistance. Résistance à Israël, évidemment, puisque vous avez une première résistance conclusive, puis une deuxième, et fin d'ambulance en 1982. Puis fin d'ambulance, le mouvement Hamad, qui était l'héritier de Moussa Sadr, celui qui voulait donc porter la parole chinoise sur la scène du coup de Sicilien, Hamad se coupe en deux, et une partie d'Hamad, qui s'appelle Hamad Islamist, sert à affronter le Hezbollah. Le Hezbollah, dès le début, c'est un mélange d'intérieur et extérieur. Le jeune militant d'Israël, c'est fini. Très joli, mais aussi très fini, très progressif, très parti par l'extérieur israélien. Au plan intérieur, qu'est-ce qui se passe ? Je ne vais pas faire toute l'histoire, je vais juste dire les trois grands caractéristiques qui, pour moi, marquent le Hezbollah. Le Hezbollah, un, c'est stratégie. Deux, c'est libanisé. Trois, c'est hégémonisé. Alors, c'est un peu un idéologisme que j'ai inventé, mais hégémonisé, c'est-à-dire qu'il est devenu complètement dominé. Pourquoi ? Parce que, au départ, c'est un parti, il ne faut pas l'oublier, qui, dans la lettre aux documents qu'il en publie en 1991, demande et vise une chose, c'est l'établissement d'un État fiscaliste au Liban. C'est ce que j'ai pu le faire. C'est un parti qui déclare une révolution au nom des documents et, au nom des pauvres, une révolution anticommunautaire et anticapitaliste. Bon, on ne peut pas dire que le Hezbollah soit très anticapitaliste aujourd'hui, ni anticommunautaire. Il a accepté tous les systèmes. Il a accepté, en particulier, l'économie libérale, d'entrer la plus libérale, voire néolibérale. Oui, il y a des entreprises, il y a des entrepreneurs, il s'est très bien accordonné du capitalisme. C'est un parti qui est venu à renoncer à cet État fiscaliste. C'est à l'époque qu'il avait commencé à imposer un petit peu, par rapport au sud, de manière sociale, en forçant les femmes à se voiler. D'abord parce que la communauté chiche est devenue plus religieuse, notamment en toute son influence, mais aussi parce que lui s'est un peu détendu et a baissé ses objectifs, on va dire. Il a accepté de pluraliser l'Ibanais. C'est par son choix que je... C'est mon deuxième point, que je trouve que le parti s'est dévalorisé. Il a accepté le jeu communautaire, avec ses équipes. Il a laissé les filles, avec des discussions, du blocage, de l'identité, d'un tiers, d'un tiers. C'est un petit peu compliqué pour la communauté, parce qu'ils n'ont pas 50 plus 1, c'est pas un système majoritaire. Il s'est très bien satisfait d'un système électoral extrêmement complexe, et qui fait que chacun est membre dans sa communauté. En tout cas, lui, il n'est pas seul, avec le charterman. Et puis, il a suscité des alliances communautaires. C'est-à-dire, est-ce qu'on imagine le riz-au-lait de 2005 ? 1985, c'était l'époque aussi. Donc, en public, ça n'avait pas de sens. Il existait déjà, en fait. Il existait depuis 1982. Et publiquement, en tant que parti, il est fondé en 1995. Est-ce qu'on imagine, sur l'épaule à l'art, pactiser avec une faction, que serait, par l'idée de ses parents, sa férée d'enfance, mais qui a insisté à part sa vocation en 1998, et a envie ? Non. Et pourtant, c'est ce qui est arrivé. Et c'est encore le cas, même si les relations sont beaucoup plus tendues. Et enfin, c'est un parti qui est devenu hégémonique. Dans les années 80, il est marginal. Il est vraiment considéré comme un intrus dans la politique libanaise. Un nouveau venu, un peu fou, un peu trop religieux, et assez étranger, à peu près. Il est très marqué par son identité iranienne. Dans les années 90, ça devient un outlacker. Un outlacker sympathique, qui s'attache, qui consiste à faire la résistance, mais dont on se dit que, niveau 5, 6, 10, 12 députés, et qu'on ne l'imagine pas peser sur le jeu politique. Puisque sa tâche, c'est la résistance. Et la résistance, c'est la guerre au sud. Pourtant, il part aux élections. Parfois, dans les années 2000, il devient menaçant. C'est-à-dire qu'il estime que tous ceux qui peuvent porter atteinte à des questions existentielles pour lui, c'est-à-dire ses armes, son secret, son caractère secret, et son espoir, sont des menaces existentielles pour lui, et donc doivent être combattues, au moins politiquement, et parfois par des armes si il le faut. C'est 2005 et la mort d'Arabie, pour lequel les membres du parti ont été officiellement condamnés, même si c'était en absence, par un tribunal juif, international et libanais. Et c'est 2008, l'invasion des héros de l'Ouest, des armes allemandes, pour, comment dire, mettre au pas, impressionner, et prendre une victoire symbolique sur Saad Khalidi, l'université d'Arabie, et donc lui faire comprendre qu'il y avait des lignes rouges qui pouvaient déclencher, j'allais pas dire une guerre civile, mais c'est peut-être une guerre civile, soit les deux. Donc une sorte de réforçon militaire, qui a rejeté le droit. Et à partir des années, comme l'a dit Diaz, parce que c'était une formule qu'il a inventée lui, entre 2009 et 2018, il exerce une réceptive démocratique, c'est-à-dire qu'il fait tomber tout gouvernement contraire à son intérêt. Parce qu'en 2005, pour la première fois, il participe à un gouvernement, et à un gouvernement de l'Union Nationale, et en 2008-2009, il fait tomber l'Union Nationale, et s'il va voir dépasser les lignes rouges, et à partir de là, il impose ses lignes rouges, et donc son droit de l'école. Et en fait, à partir de là, et en fait, à partir de 2018, et c'est l'histoire électorale de cette année-là, il impose carrément le gouvernement. Enfin, c'est lui qui choisit le chef du gouvernement, pas seul. Parce qu'on est au Liban, et qu'il y a des états libres à un complexe pour respecter, et qu'il est tout à fait capable de comprendre ces états libres, et de jouer un élan de force et de négociation. Donc, voilà, en forte partie, le problème, c'est que ce parti de l'hégémonie dans un pays, dans l'État, est devenu quasiment inexistant. L'État libanais vient plus près qu'aujourd'hui, qu'il y était il y a dix ans, et encore plus qu'il y a vingt ans, et plus qu'il y a cent ans. Donc, de perdre cette puissance dans le cadre d'un État, on écrase de tout son poids. Ça, c'est une des questions que je me pose. Donc, quel est le rapport de Mbola à l'État ? Est-ce qu'il a besoin de consolider l'État ? Puisqu'il y en a qui le consolent. Ou est-ce qu'il continue à vouloir prospérer sur un État taillé ? Moi, j'ai le sentiment que un État taillé lui convient très bien. Et qu'il n'a pas envie de conspire un État solide au Liban. C'est quelque chose qui peut se discuter. On ne peut pas être d'accord. Je ne suis pas plus prêt à entendre d'autres arguments sur ce point-là. Deuxièmement, le Mbola, qui est une réussite incontestable, est-ce que c'est un modèle pour le Liban ? Est-ce que ça peut être un modèle duplicable ? C'est-à-dire, est-ce que finalement, on peut nous dire que c'est une organisation qui a fonctionné, qui a prospéré, qui a enrichi, qui s'est armé à construire des réseaux de sociabilité, des réseaux d'État-providence, etc. Pourquoi le Liban ne pouvait pas bénéficier de cette expérience-là ? Je pense pas qu'ils soient intéressés là non plus, à dépasser le cadre de ce qui est un bâtiment et sa communauté. C'est-à-dire, de nouveau, on revient à la question de construire un État. Ce qui fait que je continue à penser aujourd'hui que le Solaire n'est pas un État dans l'État, il est un État au-dessus de l'État. Qu'il l'écrase par ce que tout ce qu'il peut porter atteint à sa liberté de manœuvre pose problème. Il mérite d'être combattu, ou du moins tenu en l'aise. C'est un État au-dessus de l'État qui est une sorte de force quand même assez particulière que je n'ai jamais rencontrée ailleurs. Et c'est pour ça que je vous dis que le Solaire a abouti à une formule politique que j'ai rarement vue, c'est-à-dire un parti au service d'une milice et non pas une milice au service d'un parti qui est devenu dominant dans la vie politique de son propre pays mais dont il ne veut pas la charge. Et maintenant, je vais passer, pour faire un peu vite, à l'aspect extérieur. En fait, le Solaire en 1985 à aujourd'hui, c'est bientôt les 40 ans de cette organisation, est passé d'une petite milice à une belle tasse d'armée qui est probablement plus efficient que l'armée libérale. Je ne dirais pas forcément plus forte ni plus nombreuse mais plus efficace. Or, dans les étapes de tout ça, c'est que en 1982-1985, il n'y a pas de Solaire officiel. Il y a une organisation qui s'appelle le Bia Bistami qui promète des attentats, des attentats successifs, c'est l'armée qui trouve, contre des objectifs occidentaux et israéliens. D'abord, le QG israélien à Tyre, puis l'ambassade américaine, puis le QG de Paris, puis, et il y a un autre jour, l'immeuble Drakkar qui abomine des soldats français. Et à chaque fois, ce sont des dizaines, voire des centaines de morts. Avec un succès assez important puisque le Hezbollah obtient à l'époque, le départ de la force internationale occidentale qui était là pour maintenir la paix mais estimez-vous qu'il maintenait en fait une présence israélienne. Il était garant aussi d'une présence israélienne sur un terme de territoire plus amérote mais tout n'est reçu jusqu'à Tchéddine et au-delà. Donc, en ce sens-là, ces gens-là n'avaient pas été trop battus et ils l'ont été aussi parce que c'est pour rencharmer le Hezbollah qui a fait le pire d'Islamique et qui a fait une sorte d'organisation pour calculer aujourd'hui ces petits terroristes qui prenaient en tout cas des actions terroristes et qui étaient dirigées par un homme qui m'a souvent dit qu'il n'est pas comment dire qu'il ne vient pas du cœur du Hezbollah qu'il vient plutôt de deux héritages. L'héritage du Hezbollah, qui est un compagnon de l'autre, le Hezbollah, ça c'est sûr, mais aussi l'héritage de la 47e militaire à la place dans laquelle il a servi donc de la lutte palestinienne au Liban. Donc c'est quelqu'un qui est un activiste, un homme et un homme d'action pas un penseur religieux ni politique qui représente la branche armiste du Hezbollah. A partir de sa naissance en 1995, le Hezbollah se conduit comme une petite milice. Et qui est la cible de cette petite milice ? Au départ, bien sûr les Israéliens, mais aussi et surtout, il ne faut pas l'oublier, les communistes puis l'élan de Hamal, donc les Chinois principales. Le Hezbollah a commencé par dessiner ses ennemis les plus proches en fait les concurrents les plus proches. Ceux qui pouvaient lui faire de l'ombre dans sa propre communauté. Pour pouvoir imposer une vision du chinoisisme qui est la vision de l'aïkido d'un premier nid qui est le fameux milaïre Delphakir où on fait allégeance à l'une des gens le plus salants qui rêvent sur terre et accomplit des tâches exécutives au nom de l'Islam en tant qu'emprisonné de Dieu en attendant le retour du dernier, du douzième humain. Ça c'est la révolution opérée par le communisme qui a été complètement intégrée par le Hezbollah dans sa et ce n'était pas la vision dominante de la communauté chinoise du tout dans les années 80. Il a éliminé les deux grands pôles qui étaient conférents l'économie et l'armée. Donc dire que le Hezbollah n'a jamais pris les armes contre les libanais avant 2008 ou 2005 si vous prenez la stratégie d'Abdelrahim, c'est faux. Ensuite, on passe aux années 90 où là, le Hezbollah vit son H-Dog c'est-à-dire tel qu'on le représente encore aujourd'hui et tel qu'il a envie de se représenter lui-même à l'escalier. Ensemble, le corps de la distance à l'occasion d'un réunification du monde. Et là, c'est effectivement une guérilla parfaitement organisée, qui monte en puissance il y a des épisodes 1992-1994 qui ont été parmi les premières réunies. La raison de la colère du déterminisme est une trop de sympathie que le Hezbollah a appuyée par la diplomatie saoudienne à transformer ses victoires militaires sur le terrain en histoire politique aussi. A l'époque, avait été un Occident un peu plus fluide. C'est la fameuse mission d'Hermes de Charest qui passe son temps à Tahr-el-Nabez pour trouver un équilibre et un modus vivendi qui fonctionne d'ailleurs. Et c'est la débouche de l'histoire de la campagne de Lille où Israël se retire pas forcément pour des raisons militaires, mais parce que la société israélienne est fatiguée de construire, qu'elle ne comprend plus d'une occupation qui paraît inutile et qui n'a pas de sens. Là, le Hezbollah aurait voulu que sa victoire s'en est une, effectivement parce qu'il n'a pas voulu d'un retrait concerté. Il a voulu d'un retrait bilatéral et au départ, Israël pensait se retirer et s'est laissé le sud du Liban sous l'appel de sa milice suspective qui s'appelait l'ASL, à l'époque. L'armée du Liban, c'est l'ASL. L'armée du Liban, c'est l'ASL. Et du général Barrett. Et en fait, après les Israéliens commencent à se retirer, c'est la démandage de l'armée militaire au sud du Liban et en fait, son terrain le problème qui se pose c'est, lorsque votre ennemi est à votre œil, comment continuer à entretenir la contextualité ? Et c'est là que très vite, le Hezbollah sort le chapeau, ce fameux progrès de l'écart de Sheba et donc la concentration de la frontière internée par les lignes bleues entre Israël et le Liban. Ça lui permet de continuer à assurer la présence au dessus, d'écarter l'armée de son déploiement et puis ça va se faire dans un contexte où très vite les classes d'Israël en Palestine, le Hezbollah interne, a aussi une forme de résistance face à une présence israélienne qui a été très traumatique. La présence d'Israël au sud du Liban se conduit à ravager la région, traumatiser des générations entières, désigner des familles, c'est une occupation longue qui a laissé des traces. Donc le fait que le Hezbollah continue à être présent à la frontière n'est pas non plus choquant. On décide que l'Israël devrait bien revenir d'un jour à l'autre à ce moment-là. Et d'ailleurs, d'ici, l'Israël revient et se heurte à une guérilla parfaitement préparée, qui a exploité le terrain, a creusé des tunnels, a piégé des maisons et s'est préparée à cet affrontement alors qu'Israël pensait revenir en P2000. C'est-à-dire qu'on patrouille, ils n'ont pas osé nous porter des coups, les héros qui sont anti-chars, les chars-mercabats subissent des grands dommages, ils sont attirés dans des pièges, ils rentrent dans des usines et puis ils n'arrivent plus à en sortir, ils rentrent dans des vallées où ils sont complètement piégés. Donc en fait, c'est un désastre moral, une stratégie. Même si, finalement, les pertes libanaises sont bien plus élevées que les pertes israéliennes. Mais la victoire est clairement du côté du Hezbollah et du Liban. Entre 2006 et aujourd'hui, il y a une confrontation qui ne cesse d'être différée mais qui a changé de nature. En 2006, le Hezbollah dans sa secret, on pense, à l'époque, 10 à 15 000 combattants, 15 000 roquets de courtes et moyennes portées. Et à l'époque, déjà, à la fin de l'année, il y avait encore 200 roquets par jour, c'est-à-dire plus qu'au début de la guerre. Aujourd'hui, l'arsenal estimé du Hezbollah est de 150 000 roquets, c'est-à-dire 10 fois plus, dont les plus longues sont des flux qui ne sont probablement pas non plus en Syrie, dans les zones même du nord de la Syrie, c'est-à-dire très à la grue, voire peut-être protégés par des systèmes aériens de défense iranien ou autres, en tout cas des fabrications russes qui n'ont pas forcément accès aux armées russes. Donc, le Hezbollah a pris une profondeur stratégique énorme. Ses effectifs sont passés de 10 000 combattants à, on pense, 100 000 d'actifs et 30 000 de réperdits. Et à notre âge, on parle de 100 000. Ça me paraît beaucoup. Ça me paraît beaucoup à tous les gens qui sont sérieux, qui ont étudié la question. Et, pourtant, le Hezbollah a eu des guerres aussi. Entre-temps, il y a eu une guerre en Syrie où il a eu des armes d'eau entre les mains, des guerres de tranchées. On parlait des territoires urbains, des territoires à la campagne, à la sécurité des frontières. En fait, il s'est conduit comme une armée. Et c'est là où je voulais en venir. Ce petit groupe qui utilisait des moyens terroristes au tout début des années 1980 qui est devenu guerrière extrêmement puissante dans les années 1980-1980 est devenu aujourd'hui une armée. Le problème d'une armée, si je suis bien d'accord parce que je travaillais dans un bourgeois plutôt qu'une armée, venant d'un petit journal des libérations, on disait tout ça. C'est qu'une armée, c'est beau. Il y a tout un... Il y a des échanges, des commandements. Il y a beaucoup de gens à entretenir. Il y a énormément d'intervenants. Et, en fait, le problème en Syrie, c'est que si vous frappez une armée, il faut que tout l'arsenal passe. Donc, engager une guerre n'est plus une guerre de guérillage comme en 2008, où on peut se permettre à tant des chars à tuer les plus de soldats possible. Engager une guerre, c'est porter un coup fatal à l'ennemi qui va le dissuader de détruire un pays qui est déjà détruit C'est une question qu'on peut prendre à la légère. Et on le sent bien et on le voit et on l'entend bien à travers les discours de ces gens-là qui disent qu'il y a bien une guerre c'est vrai, bien sûr mais c'est une guerre de basse intensité qu'on essaie de garder dans un cadre défini et qui n'est plus une guerre de guerre. C'est une guerre de guerre. C'est une guerre de guerre. C'est une guerre de guerre. Définie. Pourquoi ? Parce que voilà, il y a une sorte de dissuasion et en fait cette dissuasion, c'était pour qu'on s'en sorte pas. Or voilà, et aujourd'hui ça fait un adversaire qui porte des coups de plus en plus brevets et qui ne sait pas trop comment y répondre. Et c'est là où une pensée menait la guerre de 2006 et en fait on est passé dans une autre guerre. Une guerre qui se passe avec des avions, de l'intelligence artificielle, beaucoup de renseignements il y a quand même pas mal de ces commandants parmi lesquels sont morts qui ont parlé de la guerre. Il y a pas mal de commandants et de soldats d'AI qui sont morts et comment répondre à ça ? C'est une effigie de trahison. C'est déclencher une vraie guerre. L'Espola ne le veut pas parce que le Liban n'est pas en état. L'Iran ne le veut pas parce que c'est pas le bon moment. Quel sera le bon moment pour l'Iran ? C'est le jour où son programme de guerre sera menacé, probablement. Et c'est toute l'ambiguïté de l'Espola qui est un parti libanais et économique au Liban mais qui défend aussi les intérêts stratégiques iraniens dans une région avec un arsenal digne d'une armée. Ça, j'ai l'impression que c'est pas une comparution mais cette équation-là, l'Espola a du mal à la résoudre aujourd'hui en plein conflit. Je ne dis pas qu'il est impossible à résoudre, je suis patient. Il n'est pas le seul à décider de l'avenir. Il travaille à ses propres objectifs et il y en a un qui s'y attrapera très peu dans trois mois. C'est la première fois que je vois l'Espola sur la route nue et disparue. Peut-être que ça débouchera sur des mouvements, des choses qui vont bouger dans son positionnement à l'intérieur et à l'extérieur du Liban dans les mois et surtout années à vivre. Voilà. Les questions que je me pose, je n'ai pas forcément des réponses à toutes, mais je me pose des questions à l'égard des perspectives qui font que l'Espola est un peu forcée de bouger. Applaudissements ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... 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