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EP1_ Un debut a tout

EP1_ Un debut a tout

75 bpm

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This is the first episode of the new podcast called 75 BPM. The host, Anna, introduces the concept behind the podcast and explains that it is a project she has been working on actively for weeks. She talks about her background in medicine and her desire to create and share with others. She also discusses the meaning behind the title of the podcast, 75 BPM, and how it relates to finding moments of calm and reflection in a busy world. Anna mentions her hypersensitivity and how it plays a role in her perspective. Overall, the podcast aims to provide entertainment and inspiration for listeners. Bonjour à tous, ici Anna sur 75 BPM, le podcast qui vous réserve une dose hebdomadaire de fraîcheur et, je l'espère, un peu de bonheur. Chaque semaine, je vous embarque pour votre petite parenthèse hors du temps, un court moment où se mêlent anecdotes multiples et sciences pour maximiser votre équilibre au quotidien et vous faire entrer dans les 75 BPM. Bonjour à toutes et à tous, soyez les bienvenus sur mon tout nouveau podcast 75 BPM. C'est un podcast qui, je l'espère, vous apportera un peu de divertissement et un nouvel élan à l'aube de la rentrée 2024. Je suis extrêmement heureuse de pouvoir enfin vous présenter ce projet 75 BPM. C'est un concept sur lequel je travaille de façon active depuis plusieurs semaines, mais de façon passive depuis environ trois ans. Il faut dire que j'ai été assez occupée ces dernières années et que je n'ai pas pris le temps de développer chacun de mes projets. Vous vous en rendrez compte assez vite si vous restez dans ce podcast que j'ai en ma possession un mythe créativité ou du moins un mythe de volonté de créer parce que quand il s'agit d'aboutir à un projet, je ne suis pas toujours la plus au point. Mais bon, en tout cas, il y a de l'idée. J'ai actuellement en bas de transition entre mon expériment de médecine et mon internat. C'est-à-dire que j'ai terminé ma sixième année de médecine. Il était temps, c'était un peu long. Et j'ai donc beaucoup, beaucoup plus de temps qu'à mon habitude. Mais surtout, en plus du temps, j'ai extrêmement envie. J'ai une envie débordante de créer, de partager, de connecter, de produire, de penser, d'imaginer. En fait, j'aime bien visualiser. Vous allez le voir. J'adore faire des images pour qu'on comprenne, qu'on parle tous de la même chose. Mais moi, je m'invite à visualiser une machine à laver dans laquelle on mettrait trop de biétisme. À force de tourner, la mousse quitte la cuve et vient s'étaler fâcheusement sur le sol de votre cuisine. Et là, bon, c'est le bordel. Mais en gros, moi, c'est pareil. Je fais des tours depuis trop longtemps. Il est trop de l'estime. Et je me suis contenue au maximum pendant ces dernières années. Mais je n'ai pas pu retenir cet élan de créativité. Et c'est ça qui fait que je suis là à parler seule dans mon salon aujourd'hui pour vous. Je me suis aussi aperçue, quand on termine quelque chose, souvent après, on prend un peu de recul sur ce qui s'est passé. Et on voit l'évolution. Et moi, je me suis rendue compte que ces six dernières années, en fait, c'était sept années parce que j'ai redoublé la première année. Je me suis rendue compte que j'ai énormément évolué. Je ne dirais pas jusqu'à dire que je suis passée d'une chenille à un papillon. Parce que ce n'est vraiment pas le cas. Et il reste beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses à travailler. Et je vous propose qu'on le fasse ensemble. Mais il s'est quand même passé des choses. Et j'aimerais, à un moment donné, qu'on y revienne dans un épisode. Parce que je pense que ça peut... J'ai pas mal de petites astuces qui peuvent en aider certains. Donc, revenons à l'introductrice de cet épisode. Parce que je le rappelle, c'est le premier épisode d'une longue série, je l'espère, de ce nouveau podcast 75 BPM. Qui, je le précise, pour ceux qui ne l'auraient pas compris, c'est mon nouveau podcast. Mais également mon premier podcast. C'est tout à fait la première fois que je me lance dans une aventure comme celle-ci. Et j'en suis extrêmement heureuse. J'espère que vous aussi. Donc, on va commencer par analyser un petit peu le titre. Donc, 75 BPM. Déjà, comme ça, qu'est-ce que ça vous évoque ? Bon, j'aimerais bien avoir quelqu'un en direct à interviewer, des réponses, un peu prendre le truc interactif. Pour l'instant, il n'y a que moi dans mon canapé. Donc, désolée. Pour l'instant, je ne vais pas pouvoir amener tout ce soit sur le plateau. Mais j'ai quand même demandé à des copines ce qu'elles en pensaient, que ça leur évoquait. Et je veux dire que dans mon groupe d'amis, il y a des personnes qui ont fait des choses totalement différentes. Donc, ça va de l'école de commerce à certaines qui sont en médecine avec moi, du droit, à l'école d'art, l'école de design. Donc, les réponses sont aussi variées que les études ou les carrières de mes amis. Et donc, je vais vous montrer l'exemple. Je vais vous illustrer tout ça. Donc, ça va en gros du « Ah, mais ce ne serait pas un film ? » Et d'ailleurs, en y repensant, Nissan qui a effectivement un film qui s'appelle 86 BPM. Quelque chose comme ça. J'aurais pu vérifier avant de me lancer dans l'enregistrement de ce podcast, mais ce n'est pas très grave. Et ensuite, il y en a une évidemment qui m'a dit « Ah, ce ne seraient pas les battements du cœur ? » Ben, si. Bon, là, pour le coup, celle qui a dit « Ce ne seraient pas les battements du cœur ? », ce n'est pas une qui a vraiment un médecine. Heureusement, sinon ce serait quand même un tout petit peu inquiétant. Et ensuite, on m'a aussi proposé, qui a été ma réponse préférée pour le coup, « Ah oui, c'est un rappeur américain. » Bon, non. Non, non, ce n'est pas un rappeur américain, mais j'ai adoré cette réponse. Et c'est d'ailleurs cette réponse qui m'a motivée à continuer et à enregistrer ce podcast. Parce que, je ne vais pas vous mentir, entre le moment où je me dis « Ah ouais, un podcast, trop bien ! » et le moment où j'enregistre tout ça et où je me rends compte que ce n'est pas juste penser un podcast, mais ça implique quand même pas mal de choses derrière. On y reviendra peut-être un jour. Là, pour le moment, voilà. En tout cas, cette réponse m'a pas mal motivée. Je me suis dit, en fait, oui, il faut partager ça. En fait, tout le monde a envie d'entendre cette confusion. C'est merveilleux. Et donc, je ne vais pas m'être soulignée. Du coup, la confusion entre 60 Cent et 75 BPM, où 60 Cent pensait qu'il ne connaîtrait pas. C'est un rappeur américain. Voilà. Je ne sais pas exactement ce qu'il fait, mais il est connu. Donc, voilà. Si jamais vous voulez écouter, n'hésitez pas. Mais d'abord, écoutez le podcast jusqu'au bout. J'ai plein de choses à raconter. Et donc, c'est ça qui m'a un peu confortée à l'idée de terminer ce projet et d'aller à bout, même quand j'ai pris peur. Parce que oui, j'ai pris peur. Donc, 75 BPM, en fait, c'est le titre d'une chanson que je n'ai jamais écrite, mais à laquelle je pense depuis plusieurs années. Donc, pour ceux qui ne le savent pas, je ne suis pas chanteuse. Mais j'aime bien chanter. Premièrement, sous la bouche. Et ensuite, j'aime bien chanter avec ma guitare dans ma chambre. Une fois pour plus de cinq personnes, on s'arrête là. Peut-être qu'un jour, on en fera un peu plus. Pour l'instant, ce n'est pas d'actualité. Et donc, je vais essayer de vous expliquer un peu le concept du 75 BPM. Donc, globalement, à force de ressentir tout le mouvement, l'agitation et l'intensité du quotidien, surtout sur le plan psychologique, sur le plan sonore, sur le plan visuel. Bon, malheureusement, vu les dernières années que j'ai passées, la stimulation physique importante, ce n'était pas trop mon cas. Mais ça peut être le cas. J'ai longtemps ressenti un besoin de calme. Vous voyez un peu, si on peut imager un peu ça, c'est qu'on passe la journée, je ne sais pas, premier jour des soldes. Enfin, c'est vraiment ma phobie. Premier jour des soldes, on passe la journée dehors, on piétine, on marche. Il y a du bruit, il y a des lumières, de la musique, des gens. En fait, on voit plein de visages. Et en fait, ce moment où on rentre chez soi, il n'y a qu'une indice, c'est de n'être à terre quand il bruit, d'avoir une petite lumière un peu tamisée, d'être un peu au calme. Voilà. Et donc, c'est ça. C'est à quoi je fais allusion quand je parle du 75 BPM. Donc, avant de continuer, je voudrais juste préciser que ce n'est pas ce que je recherche constamment. Mon but, ce n'est pas d'être enfermé dans une chambre insonorisée tout le temps. C'est juste que plus ça va, plus j'avance dans la vie, plus je me rends compte que c'est important d'avoir des moments off, juste des moments où on peut prendre de la distance sur ce qui se passe, sur ce qu'on a vécu dans la journée, dans la matinée, dans la semaine. Et en fait, je trouve ça super important d'être les petits nuages au-dessus de sa tête pour pouvoir se ressourcer et juste switcher sa perspective pour pouvoir mieux avancer. Et c'est cet état, cette zone, comme disent les Américains, le zone, parce qu'on a le genre du système ici, c'est le 75 BPM. Et donc, c'est cet état physiologique qui est libre de tout remous, qui nous permet d'avancer sans se cramer. Et pour moi, c'est vraiment l'objectif. En fait, dans un monde toujours plus connecté, le but, c'est de tenir un maximum et de vivre mieux. Et donc, je trouve ça super important d'avoir ces moments où on est dans notre 75 BPM. Alors oui, vous l'aurez remarqué ces dernières minutes, j'ai quelques traits d'hypersensibilité dans mon arc. Ce n'est pas le seum, et je ne dis pas que c'est ni bien ni mal, mais effectivement, c'est un trait qui peut me caractériser. Donc, pour mieux comprendre, pour ceux qui ne connaîtraient pas ce concept d'hypersensibilité, je suis allée me renseigner auprès de notre très cher collègue Larousse. Donc, la définition du Larousse, c'est hyper-sensibilité. Déjà, il commence par dire que c'est un nom féminin, puisque là, il faut proposer qu'on soit toutes d'accord avec le Larousse. Ensuite, la définition, qui réagit à l'extrême sensibilité. Alors là, non. Petit disclaimer à Larousse d'une phrase qui m'a été martelée par ma grand-mère, qui est prof de français, je précise. Elle a dû me dire ça entre, je pense, degrés de subir, quoi. C'est PC1. Une définition ne peut pas contenir un mot de même famille que le mot que l'on cherche à définir. Donc, voilà. C'est raté pour le Larousse. Désolée. Peut-être qu'on leur envoie un petit courrier. Donc, pour la peine, à mieux que d'écortiquer tout ça, c'est parti pour la définition du Larousse de sensibilité. On reste sur le Larousse, parce qu'on reste quand même fidèles. On ne va pas se brûler les gueules tout de suite. Donc, il y en a plusieurs. Pour le bien de tous, il y a à peu près 5 définitions. J'en ai sélectionné 3 qui nous intéressent à peu près. Donc, on reste toujours sur le nom féminin. La première définition, c'est aptitude d'un organisme à réagir à des excitations internes ou externes. La deuxième, aptitude à réagir plus ou moins vivement à quelque chose. Et la troisième, aptitude à s'émouvoir, à éprouver des sentiments d'humanité, de compassion et de tendresse pour autrui. Bon, vous l'aurez remarqué, il y a plein de distinctivités entre les différentes définitions, mais on tourne quand même autour du pot. C'est globalement sur la même chose. Ça tombe bien, parce que c'est la définition du même mot. Donc, c'est super. Donc, moi ici, je fais principalement référence à la première définition qui est l'aptitude d'un organisme à réagir à des excitations internes ou externes. Donc, c'est cet effet que je m'appelle souvent papier calque. Donc, papier calque, pour moi, c'est l'essai de percevoir et d'absorber tout ce qui nous entoure. D'ailleurs, comme il m'est absorbé, en fait, je me suis trompée, je ne me rends pas compte. Je vous appelle ça papier calque et je l'utilise souvent, ce terme, avec mes parents et avec ma famille. En fait, c'est papier buzard, plutôt. En vrai, le fait de percevoir, pour le coup, c'est plutôt papier calque. Bon, papier calque, buzard, on n'a qu'à dire. Donc, en gros, l'idée, c'est qu'on perçoit tout et on absorbe tout ce qui nous entoure, toutes les stimulations internes ou externes, comme le dit Larousse, et tout ça à une vitesse grandée. Donc, en gros, une éponge, quoi. Donc, ce phénomène, il y a énormément d'avantages, comme je vous l'avais dit tout à l'heure, mais il y a aussi quelques inconvénients, comme tout. Au niveau des avantages, moi, je m'en rends vraiment compte des avantages que ça peut avoir, le fait d'être hyper sensible, notamment sur le plan de l'empathie. Ça, c'est hyper... En médecine, c'est super important et pour le coup, je suis assez servie. Empathie, attention, à ne pas confondre avec sympathie. Ce que je dis, ce n'est pas de ressentir ce que ressent l'autre, mais de comprendre ce que ressent l'autre pour mieux l'aider, pour mieux communiquer. Ça me permet aussi de mieux comprendre les situations, tout simplement, et de mieux analyser. Ça donne, selon moi, ça donne une finesse des analyses des situations des gens, etc. Donc, comme tout, il y a des inconvénients. Je n'ai pas forcément recherché, je n'ai pas forcément renseigné sur les principaux inconvénients, les top 5 inconvénients de l'hypersensibilité, mais là, je parle plutôt d'un point de vue personnel. Ça peut faire un peu d'anxiété. Ça peut faire nous mettre un peu dans des situations de stress, un peu prolongées, c'est-à-dire qu'on a un peu de temps à redescendre quand il y a trop de stimulation. Et puis, moi, je trouve que ça me... Ça fait que je suis un peu désorganisée par moments, parce que, comme je suis un peu affectée par tout, du coup, je me perds un peu. Ça se mélange un peu avec une hyperactivité que je peux avoir. Et du coup, de temps en temps, ça fait un cocktail un peu bazar. Mais bon, ça va. Je ne dis pas du tout que j'ai un trouble de hyperactivité. Ce n'est pas du tout le cas. J'en connais et ce n'est pas mon cas. Non, pas du tout. Donc, voilà. Je ne m'attribuerai pas quelque chose que je n'ai pas. Et donc, c'est pour ça que j'ai longtemps cherché à être dans cette zone, cette zone que j'ai nommée 75 BPM. Donc, 75 BPM, si on veut être littéraire, c'est 75 battements par minute. Je pense que vous l'aurez compris. Et en fait, ce n'est pas plus qu'une fréquence, une valeur de fréquence cardiaque qui est considérée comme normale au repos, chez un individu sain, avant de déclencher une panique générale, parce que je vous le vois. C'est une valeur de référence. Donc, pas de panique. Si jamais votre nouvel monstre gamin ou l'appel watch de votre voisin ou votre appel watch affiche autre chose. Je rappelle que la fréquence cardiaque considérée comme normale au repos devrait se balader entre 60 et 100 BPM. Et après, la Société française des cardiologues que je salue, voilà, mais il existe une variabilité en fonction de plein de paramètres, notamment l'âge, la pratique sportive, globalement un sportif de haut niveau ou une personne qui a pratiqué beaucoup de sport va avoir tendance à avoir une fréquence cardiaque qui est plus basse que la norme. Ça va également avec le niveau de stress, la génétique, des médicaments, le sexe et plein d'autres facteurs que je ne détaillerai pas aujourd'hui parce que ce n'est pas le sujet et ça fait un peu catalogue. Voilà, ce n'est pas le sujet. Si jamais vous avez des doutes ou des craintes concernant votre fréquence cardiaque, je vous invite à consulter votre médecin traitant ou un cardiologue si jamais vous en avez un. Ça, ça me permet juste dans l'épisode introductif de dire une chose. Ce n'est pas parce que j'ai terminé ma sixième année et que j'ai commencé l'internat que je suis là pour des conseils santé ou pour quelconque consultation en ligne ou quoi que ce soit. Je vais simplement donner des petites astuces par rapport à des petites choses que moi j'ai pu vivre ou des choses, des bases de physiologie ou de la psychologie que moi-même, j'ai pu trouver dans des articles scientifiques, un travail que toute personne un peu formée en sciences peut réaliser. Je ne suis pas là pour faire des consultations. Voilà. Donc, n'oubliez pas, votre médecin traitant, votre cardiologue, si jamais vous avez besoin de quoi que ce soit. Voilà. La parenthèse pseudo-scientifique est terminée. Ça me permet donc d'introduire ma volonté d'utiliser ce podcast pour vulgariser certains concepts. Comme je le disais il y a un instant, des concepts notamment d'anatomie, de psychologie, ou de psychologie même. On pourra éventuellement entrer dans certaines pathologies, des choses comme ça, toujours en restant très théorique. On n'est pas dans le cas par cas. On ne va pas parler de qui que ce soit. On est vraiment là juste pour décortiquer certains éléments si vous le souhaitez. L'idée pour moi, c'est de vous apporter des clés de compréhension pour certains concepts sans pour autant vous bombarder de données scientifiques ou réaliser un cours magistral. La médecine, c'est super. Si jamais il y en a qui sont motivés, notamment il y en a qui n'ont pas encore choisi leur voie ou qui hésitent, c'est vraiment trop cool. C'est très bien enseigné en France. C'est une super formation. Je vous encourage. Si jamais ce que je vous raconte parfois vous plaît vraiment, allez-y, foncez. Mais là, ce ne sera pas du tout le sujet. Le but, ce n'est pas de vous donner plein d'infos. Je ne suis pas non plus la plus grande scientifique des étudiants en médecine ou des personnes. Le but, c'est d'allier mes petites connaissances scientifiques avec mes petites anecdotes pour pouvoir vous proposer des petites choses que vous pouvez ajouter dans votre quotidien pour améliorer votre quotidien. C'est un peu l'idée. Je reviens rapidement sur les 75 BPM dont on parlait tout à l'heure. Il ne s'agit bien évidemment pas du tout de s'enfermer dans cette zone et de se faire un autre état genre toute stimulation ou toute sollicitation. Je ne suis pas du tout en train de dire qu'il faut arrêter de sortir de cette zone de confort. Bien au contraire. Le but, c'est d'explorer ensemble les clés pour jongler entre les différents états. C'est-à-dire qu'une vie est livrée selon moi, 75 à moi, une vie est livrée et elle alterne différents états. Un moment où on est hyper au taquet, un peu stressé mais on travaille du bon stress. On sort de sa zone de confort. L'idée, c'est quand même après ça de revenir pour ne pas être en stress continu. C'est ça l'idée de ce podcast parce que j'ai l'impression qu'on est dans une société qui est de plus en plus mouvementée où les sollicitations et les stimulations sont de plus en plus nombreuses. Notamment, le fait d'être tout le temps connecté, les réseaux sociaux, le télétravail. En fait, tous ces gens, on est constamment à même d'être pas dérangé mais sollicité, stimulé. Et donc, le but, c'est de savoir et d'arriver à revenir à son 75 BPM et comme ça, de trouver un équilibre. Voilà. J'espère que c'est clair. Et donc, pour maintenir à ce que j'ai dit précédemment, puisque tout raisonnement scientifique doit avoir une conclusion, 75 BPM, l'idée, c'est que c'est un podcast, ce sont deux parenthèses de moins de 25 minutes, donc plutôt court, d'informations fraîches et décortiquées. Donc vraiment, je vais prendre le temps de travailler sur quelque chose de ludique, autour de thématiques variées et qui ont un but commun, c'est de vivre dans la zone, vivre dans le 75 BPM. Voilà. Le 75 BPM, c'est donc un terme que je vais utiliser souvent. Il faudra toujours parler de la même chose. Ce n'est pas de la fréquence cardiaque à l'instant où on parle, c'est parler de cette zone, ce confort auquel on revient après une journée surchargée, après une séance de sport à fond. Voilà. Et donc, c'est ce 75 BPM auquel, selon moi, on devrait aspirer. Voilà. Je tiens à vous remercier vraiment du fond du cœur d'avoir écouté ce premier podcast. J'espère qu'il vous a motivés autant que moi à poursuivre cette aventure. Pour moi, je ne vois vraiment pas comme une aventure et je m'engage vraiment sur cette aventure avec vous. Je suis très, très heureuse pour ça, donc je vous remercie. Et je voudrais également remercier les personnes qui m'ont soutenue et qui m'ont un peu encouragée à faire ce projet qui, pour certains, les ont un peu surpris parce que c'est sorti 10 jours au lendemain de nulle part. Mais voilà, je vous remercie de croire en moi. C'est trop cool. Et je remercie ma petite soeur Sophie pour la réalisation de la couverture de ce podcast parce que, franchement, elle est trop belle et elle m'a proposé ça directement. Déjà, on y parlait et je suis trop contente du résultat. Donc, franchement, big up à Sophie. Voilà. Écoutez, ne traînons pas. Je vous propose qu'on se retrouve assez rapidement pour le prochain épisode et je vous souhaite une super journée et je vous fais plein de bisous. Sous-titrage Société Radio-Canada Sous-titrage Société Radio-Canada

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