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ep3

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Bilive Bodea

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The speaker begins by discussing their own well-being and hormonal fluctuations. They then introduce the topic of happiness and ask listeners to reflect on what happiness means to them. The speaker shares their own definition of happiness as the absence of pain and suffering, both mentally and physically. They believe that when they feel happy, they also feel strong and full of energy. The speaker acknowledges that different philosophers have different definitions of happiness, mentioning Schopenhauer and Nietzsche. They also mention a YouTube video that delves deeper into Schopenhauer's definition. The speaker concludes by emphasizing that everyone has their own unique definition of happiness, citing an example of a patient who defines it as having good physical health. They highlight the importance of feeling mentally and physically well and how it can vary for each individual. Hello, hello, my Night Talkers, welcome back dans un nouvel épisode de Self Love as a Natural Girl. Vous savez quoi faire ? Prenez place, c'est parti ! Comment vous allez ? Je suis sûre que ça va, que tout va bien, que tout se passe au mieux dans votre vie, que vous allez bien, que la santé est le plus important. Quand on a la santé, on a tout, c'est ce qu'on dit. Mais est-ce que c'est vrai ? Ça je ne sais pas. Moi ça va, ça va plutôt bien. Le moral un peu down on va dire, mais rien de fou, c'est plutôt hormonal je dirais. Je sais quand c'est hormonal et quand c'est pas hormonal, donc j'arrive à faire la part des choses, j'arrive à me dire du coup, est-ce que ça va vraiment ou ça va pas du tout ? Là ça va et vu que c'est un peu hormonal, donc voilà. Sinon dans l'ensemble ça va, mes études ça va plutôt bien je dirais. Et ouais, tout va au mieux. La famille aussi, ça va aussi de mon côté. Donc voilà. Donc aujourd'hui on se retrouve pour parler de quelque chose, enfin pour parler d'un sujet que je trouve plutôt important vraiment de discuter. C'est plutôt un sujet assez commun pour tous et donc en parler ce serait plutôt cool ouais. Donc je me suis dit aujourd'hui, et si on parlait du bonheur ? Le bonheur, c'est quoi le bonheur ? C'est quoi le bonheur pour vous ? Quand on vous dit, quand vous entendez le mot bonheur, vous pensez à quoi ? Ça reflète quoi chez vous ? Ça vous évoque quoi ? Voilà. Moi, personnellement je vous dirais ce que moi je pense du bonheur et après c'est ce que moi je pense et peut-être que c'est pas forcément vrai pour tout le monde. Et c'est sûr que c'est pas vrai pour tout le monde. On a nos définitions assez différentes en fonction des gens et en fonction de ce qu'on vit et de ce qu'on a vécu. Le bonheur n'a pas la même définition pour tout un chacun. Donc moi aujourd'hui je vous parlerai de ce que moi je pense du bonheur et voilà. On y va les dos ? Donc pour moi, le bonheur, tout simplement. Je pourrais commencer par la définition, par l'éthiologie du mot, mais on va pas faire genre. Je vais juste aller à la définition que moi, je donne du bonheur. Tout simplement. Comme ça c'est français. C'est pour tous. On comprend. L'éthiologie, je pense que si vous voulez l'éthiologie, vous pouvez aller la voir vous-même. Mais voilà. Frédiane peut commencer par ça, mais voilà. Je sais pas pourquoi j'ai... Bref. Donc pour moi le bonheur c'est l'absence de douleur, tout simplement. De peine. Et du coup pour moi c'est le complet d'un être mental et aussi physique. Tout simplement. Du coup pour moi quand je me sens heureuse, je me sens forte physiquement, je suis débordant d'énergie comme si rien, vraiment rien ne peut m'arrêter. C'est ce que moi j'appelle le bonheur. C'est quand je me sens bien mentalement, physiquement. Et du coup quand je me sens bien mentalement, le physique aussi ça suit. C'est immédiat. C'est pas comme ça pour tout le monde, mais pour moi c'est comme ça. Quand je me sens bien mentalement, je peux faire vraiment tout. Je peux tout faire. Je peux déplacer des montagnes même s'il faut. Ok, je vais dans l'extrême, mais littéralement c'est ça quoi. Pour moi c'est ça le vrai bonheur. Complet d'un être et absence de douleur. Et quand j'ai complet d'un être mental, mental et physique, ça peut prendre en compte beaucoup de choses. Et du coup ça peut être influencé par beaucoup de choses, mais dépendre de beaucoup de choses je dirais pas. De toute façon on verra ça dans la suite. Donc c'est ça moi ma définition que j'ai du bonheur. Et je sais qu'il y a plein de philosophes qui ont des définitions qui diffèrent. Et quand je pense au bonheur, je pense à Schopenhauer. Je pense au philosophe Schopenhauer qui définit le bonheur autrement. Enfin c'est pas assez différent de comment je définis le bonheur, mais je pense que ma définition est un peu influencée par la définition que donne Schopenhauer du bonheur. Il y a aussi Nietzsche qui définit le bonheur comme un état durable de complète satisfaction de bien suprême. Donc en soi c'est comme ma définition on va dire. Du coup un état durable, un état qui dure dans le temps on va dire de satisfaction. Quand tu te sens bien, quand t'es satisfait de ce que t'es et de ce que tu vis dans le moment présent, pour lui c'est ça le bonheur. Et donc comme je disais tout à l'heure Schopenhauer franchement il a une définition assez particulière du bonheur. Il a une définition assez précise du bonheur. Pour lui le bonheur c'est l'absence de souffrance. Tout simplement. Si on veut faire bref, en résumé, pour Schopenhauer le bonheur c'est l'absence de souffrance. Donc pour lui le bonheur, le vrai bonheur consiste dans l'évitement du malheur. Voilà, pour Schopenhauer c'est ça. Et en vrai on peut débattre sur ça, on peut essayer d'approfondir sur le sujet de la définition du bonheur par Schopenhauer. Vraiment on peut débattre sur des heures et des heures. Mais je donne une définition assez simple du bonheur selon Schopenhauer. Et je peux laisser aussi des articles dans la description ou des sites que j'ai consultés pour Schopenhauer. Après je sais qu'il y a un youtubeur qui va beaucoup en profondeur de la définition que donne Schopenhauer du bonheur. Et c'est plutôt intéressant, je l'ai regardé cette vidéo il y a longtemps et je pense que ça s'est resté dans la tête aussi. Et ça je peux aussi mettre le lien de la vidéo dans la description de l'épisode. Donc voilà, c'est les deux définitions que je pense qu'elles sont assez importantes et ça parle à tout le monde. Donc revenons au bonheur et à ma vision du bonheur. Comme je vous l'ai dit tout à l'heure, pour moi le bonheur c'est l'absence de douleur comme le définit Schopenhauer. Mais Schopenhauer dit que le bonheur c'est l'absence de douleur et du coup le bonheur c'est l'absence de souffrance. La souffrance c'est le manque du bonheur, l'ennui et l'absence de l'absence c'est une absence. Donc on est tout le temps en recherche du bonheur parce qu'on manque de quelque chose. Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais c'est vraiment comme ça que Schopenhauer définit le bonheur. Absence de souffrance et vu qu'on a l'absence de souffrance, on a le bonheur. On a le bonheur mais si on a le bonheur, il manque quelque chose, il manque la souffrance. C'est assez enchaîné comme idée, mais voilà, en soi c'est comme ça qu'il voit le bonheur. Il voit le bonheur comme l'absence de quelque chose, l'absence qu'on veut tout le temps combler. Donc voilà, pour moi c'est l'absence de douleur. Mais pas forcément que j'ai le bonheur mais que je m'ennuie. Pour moi le bonheur c'est l'absence de douleur, point. Et quand je me sens bien dans mon corps, dans ma tête, je suis heureuse. Je suis heureuse et puis voilà. Donc quand je suis dans cet état de bonheur, on va dire, entre guillemets, j'ai envie de tout faire parce que j'ai de l'énergie, j'ai de la force mentale, j'ai de la force physique. J'ai de nouvelles idées qui me viennent, je suis beaucoup plus créatif, productif. Et du coup, pour moi cet état de bonheur peut durer. Comme le dit Nietzsche, cet état peut durer dans le temps. Cet état peut durer des jours, des heures, des semaines. Peut-être pas des mois parce que des fois on n'est pas au maxi de sa forme tous les jours. Mais mon bonheur en cet état peut durer des jours. Du coup je me sens productif pendant des semaines. Et ça j'adore, j'adore vraiment. Du coup pour moi le bonheur est en quelque sorte éternel. Pourquoi je dis ça ? Il est éternel dans le sens où il est en nous, il est à l'intérieur de nous. Il faut juste qu'on fasse des choses qui nous stimulent ou qui se réveillent en fait. Parce qu'on est d'accord que cet état n'est pas stable. C'est sûr qu'il n'est pas stable, comme je l'ai dit tout à l'heure. On n'est pas au maxi de sa forme tous les jours. Il nous arrive d'être triste de temps en temps, de se sentir pas dans le mood. Des fois on se sent triste mais on ne sait pas pourquoi. Et du coup peut-être c'est de là que vient la définition du chocolat en fait. On a le bonheur mais des fois on se sent triste. Du coup on se dit mais pourquoi je suis heureuse ? Pourquoi je suis heureuse que j'ai tout ce que je voulais ? Du coup en fait c'est l'ennui. C'est l'ennui de ne pas être à la recherche du bonheur parce qu'on a le bonheur. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est très philosophique. Donc voilà. Mais du coup encore une fois c'est très philosophique cette définition-là. Mais du coup chacun a une définition assez particulière comme je disais au début. Donc par exemple, j'étais avec un patient aujourd'hui et pour lui il me disait « Toi t'es là, t'as tes deux pieds... » Non déjà il m'avait posé la question « Quand tu vas rentrer chez toi tu vas faire quoi ? » J'ai dit aujourd'hui je suis fatiguée, peut-être je vais aller à la salle ou peut-être que je veux juste me reposer. Il dit « Eh ben voilà, toi t'as tes deux jambes, t'es très bien physiquement. » Et du coup quand je vais rentrer chez toi, la première des choses que je vais faire c'est peut-être te laver et monter dans ton lit, regarder une série ou rester sur internet, peu importe. Mais moi ou nous autres ici, on aimerait avoir cette chance que toi t'as en ce moment à avoir toutes tes capacités physiques et on aimerait avoir ça. Et du coup en profiter pleinement, aller courir dans la nature, sentir le vent dans les cheveux, ressentir le vent sur la peau, ça me ferait du bien. Mais toi tu es là et tu vas te coucher. Et il me dit « Moi c'est ce que je considère comme le bonheur. C'est ça le bonheur pour moi, avoir la santé. » Vous voyez ? Donc chacun a sa définition assez différente du bonheur. Tu peux rencontrer une personne qui pourra te dire que le bonheur c'est peut-être pas la santé, le bonheur c'est ci, le bonheur c'est ça. Mais d'autres vont te dire que le bonheur c'est avant tout la santé, avant tout se sentir bien physiquement et après le reste. Vous voyez ce que je veux dire ? Moi personnellement je vois le bonheur comme se sentir bien mentalement d'abord et si je me sens bien mentalement, le physique viendra. Le physique passe au second plan. Du coup on ne voit pas les cheveux de dames. La définition elle dépend de ce qu'on vit en ce moment. Le patient que j'ai eu aujourd'hui, pour lui le bonheur c'est la santé physique. Pour lui c'est ça le bonheur. Parce qu'il n'a pas cette santé physique. Du coup c'est dit que si j'ai cette santé physique, je suis heureuse, je suis heureux, je me sentirai bien, je me sentirai en bonne santé. Et peut-être que s'il a cette santé physique comme il dit, peut-être qu'il se sentira bien. Mais est-ce qu'il se sentira bien sur du long terme ? Est-ce qu'il ne va pas vouloir d'autres choses derrière ? Vous voyez ? Et c'est là que réapparaît la philosophie de Schopenhauer. Et on peut aller comme ça, mais vraiment on peut durer sur le moment comme ça. Mais vraiment, on peut faire un vrai débat sur ça. Mais bon bref, je ne vais pas m'égarer. Je pense que vous avez compris cette définition du bonheur. Donc voilà. Donc si on revenait à ce que je disais, moi mon état de bonheur peut être favorisé par plusieurs choses. Vraiment. Et ok, je me sens bien mentalement, mais ce n'est pas juste je me sens bien mentalement qui fait mon bonheur. Si je dis ça, c'est mentir. C'est mentir, mais vraiment. Parce que mon bonheur, il va être influencé, il va être actionné par beaucoup de choses. Plusieurs choses qui dépendent de moi et qui ne dépendent pas forcément de moi. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc, j'aime beaucoup utiliser le mot « influencé » pour le bonheur. Parce que je pense que mon bonheur, il est influencé ou il est actionné par quelque chose. Mais il n'est pas forcément dépendant de quelque chose. Parce que je parle du principe que si mon bonheur dépend de quelque chose qui est extérieur à moi, ou d'une personne en particulier, d'une personne lambda, ou de choses que je ne contrôle pas forcément, c'est la porte à la dépression ou la porte à la dépendance. Vous voyez ce que je veux dire ? La porte à la dépendance, en fait. C'est pour ça que j'essaye au maximum d'éviter que mon bonheur ou mon bien-être mental dépendent d'une personne ou d'une chose. Parce que je vous explique. Avant, j'avais tendance à laisser des choses ou des personnes extérieures décider de comment je devais me sentir. Et c'était inconscient. C'était vraiment inconscient. Ce n'était pas voulu. Vous vous en doutez bien. Ce n'est pas voulu, c'est bien inconscient. Du coup, je laissais mon état, je laissais les autres décider de mon état. Je ne disais pas « ah ouais, tu décides de ton état ». C'est inconscient, ce n'est pas voulu. Ça se fait naturellement. Je ne contrôle pas la chose. Donc, si... Comment dire ? Des fois, je me lève, je me lève, tout va bien, je suis contente, je suis heureuse, je suis débordante d'énergie. Et il suffit juste que je sorte, que j'aille dehors, que j'interagisse un peu avec des gens que je connais ou que je ne connais même pas. Peut-être que je rencontre dans le métro ou juste en allant à la gare ou en allant faire mes courses. Il faut juste que j'encontre une personne et que la personne... Soit peut-être que la personne émet des jugements sur moi ou que la personne me parle un peu mal pour que je me mette à projeter et que je remette toute ma vie en question. Vraiment, il n'en faut pas beaucoup. Que je mette toute ma vie en question. Du coup, ça peut m'entraîner dans des épisodes de remise en question, de dépression limite, on va dire. Enfin, dépression, c'est un gros mot. De mental breakdown, on va dire, qui est immédiat. Je me portais beaucoup plus d'attention aux autres, on va dire, à ce que les autres pensaient de moi ou leur effet qu'ils ont sur moi. Au lieu de me concentrer sur moi et de me dire que peu importe comment quelqu'un me voit, me parle, ça ne va pas forcément dire que je ne vaux rien. Vous voyez ce que je veux dire ? Ça, je l'ai longtemps traîné avec moi. Je me sentais tellement mal. Si je suis heureuse et que quelqu'un me parle mal, tout mon bonheur, tout cet état de bien-être que j'avais accumulé, que j'avais au départ, part comme s'il n'avait jamais existé. Et franchement, c'est très difficile. C'était très difficile pour moi, ça. Mais après, j'ai commencé à comprendre. J'ai compris que mon bonheur ne dépend pas forcément des autres. Ne dépend pas forcément de ce que les autres pensent. Est-ce que les autres pensent ou... Je me fais rire. Bah oui. Parce que si vous vous dites que telle personne pense telle chose de moi, peut-être que c'est vrai, mais peut-être que ce n'est pas vrai. Parce que la personne ne vous connaît pas à 100%. Ce n'est pas ce que vous vivez en ce moment. Ce n'est pas ce que vous avez vécu. Ce n'est pas votre parcours. Ce n'est pas comment vous vous êtes réveillé ce matin ou comment vous vous sentez à la fin de la journée. Donc la personne, elle ne peut que penser. Elle ne peut que mettre des suppositions, des hypothèses sur vous. Mais ça ne va jamais être vrai, vraiment, ce que vous vivez. Et ça ne vous définit pas en soi. Et ça ne définit pas... Et ça ne définit pas qui vous êtes en réalité. Et du coup, ça, ça ne devrait pas avoir de l'effet sur vous. Ça ne devrait pas avoir de l'importance sur comment vous vous voyez et comment votre état, il est, en fait. Ce que les autres, ils pensent, c'est juste... C'est comme si... C'est comme vous. C'est comme si vous donnez votre avis sur quelque chose ou sur quelqu'un. Vous donnez votre avis, mais vous n'êtes pas sûr, vous ne savez pas réellement ce que c'est que la chose. Vous juste vous donnez votre avis. Et c'est comme ça que vous devez voir ce que les autres pensent de vous ou ce que vous pensez que les autres pensent de vous. Parce que ce n'est pas la vérité. C'est seulement ce que vous vous pensez de vous-même qui est la vérité. Parce que normalement, vous vous connaissez, normalement. Et du coup, vous savez qui vous êtes. Et du coup, vous savez ce que vous êtes capable de faire. Et vous avez vos faiblesses et vos conforts. Donc, si vous-même, vous vous jugez mal, peut-être que c'est vrai. Peut-être que c'est vrai. Ce n'est pas tout le temps vrai. Tout le temps vrai parce que des fois, même ce que nous-mêmes, on pense de nous-mêmes, ce n'est pas forcément vrai. Ça, c'est autre chose. Donc, tout ça pour vous dire que votre bonheur ne dépend pas des autres. Il ne dépend pas de ce que les autres pensent de vous. Il ne dépend pas de comment les autres vous voient. Votre bonheur dépend de vous. Les autres peuvent participer à votre bonheur. Peuvent peut-être influencer, avec plein de guillemets. Mais les autres n'ont pas, ils ne jouent pas un rôle très, très important dans votre bonheur. Ils y participent, c'est tout. Ils ne dépendent pas de votre bonheur. Par exemple, si votre meilleur ami, par exemple, ou votre copain ou votre copine, bref, s'ils quittent votre vie aujourd'hui, ça ne veut pas dire que vous ne serez plus jamais heureux. Ok, vous serez triste sur le moment, c'est normal. Mais ça ne veut pas non plus dire que vous allez être malheureuse toute votre vie. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est pas clair, mais c'est ça. Parce que si votre bonheur dépend d'une personne, si votre bonheur dépend de votre copine ou de votre copain ou de votre amie ou de tout ce que vous voulez, si votre bonheur dépend d'une personne en particulier, vous êtes foutus. Vous êtes littéralement foutus. Et les autres, ils ne peuvent que participer. Ils ne peuvent que participer, mais ils ne dépendent pas. Period. Parce que c'est comme ça que je vois les choses en tout cas. Moi je dis, mon bonheur, il ne dépend que de moi. Il ne dépend que de ce que moi je peux contrôler. Si je n'arrive pas à contrôler quelque chose, alors mon bonheur ne peut pas dépendre de ça. Tout simplement. Mon bonheur, il peut être influencé par ma famille. Ma famille peut participer à mon bonheur. C'est sûr, c'est clair. Et ma famille participe vraiment. Elle participe vraiment à mon bonheur. Par exemple, le temps que je passe avec ma famille me donne du bonheur, on va dire. Je me sens heureuse, je me sens bien. Et il faut en amont que je me sens bien. En amont. Pour que le temps que je passe avec eux, je me sens aussi bien avec eux. Parce que si je me sens mal, je m'affouille beaucoup. Désolée. Si je me sens mal, par exemple, si je ne me sens pas bien, je ne me suis pas bien réveillée, j'ai des tas de problèmes dans ma tête et tout. Et que je parle avec ma famille et tout. Ce n'est pas sûr à 100% que je me sentirais heureuse. Non, il va manquer quelque chose. Vous voyez ce que je veux dire ? Il va manquer quelque chose. Donc, ils y participent. Ma famille participe à mon bonheur. Mais ma famille ne définit pas mon bonheur. Ça ne définit pas mon bonheur. Attention, je ne dis pas que ma famille ne me rend pas heureuse. Ça, c'est une chose différente. Vraiment. Bref. Du coup, je disais, le temps que je passe avec ma famille participe à mon état de bien-être mental. Elles peuvent faire des activités que je peux faire avec mes soeurs. Souvent, on a l'habitude de faire des soirées pyjama avec mes soeurs. Parce que j'ai des pyjamas avec mes soeurs aussi. Donc, ça, ça me rend heureuse. Je me sens bien quand je fais ça. Je me sens bien. Je me sens bien mentalement. Je suis apaisée. Je suis entourée que des gens que j'aime. Mes soeurs que j'adore. Du coup, ça, ça me rend heureuse. Je me sens bien. Je me sens vivante quand je fais des trucs comme ça avec mes soeurs. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc, ça, ça fait partie. Ça participe à mon bonheur. Les temps que je passe avec ma meilleure amie, ça aussi ça participe à mon bonheur. Je me sens bien. Je me sens heureuse. Je finis mes moments. On parle de tout et de rien. Ça, ça participe à mon bonheur. Quoi d'autre ? On va dire… Ah oui ! Quand je me retrouve seule aussi, des fois, quand je me retrouve seule, quand je tricote, quand je tricote, je me sens bien. Je me sens heureuse. Ça participe à mon bonheur aussi. C'est mes petits moments de bonheur, en fait, on va dire. C'est mes petits moments de bonheur. Ça participe à mon bonheur. Et je suis heureuse quand je fais ça et je fais ça. Tout ce que je cite là, c'est mes petits moments de bonheur qui font que je suis heureuse, qui font que je suis bien, qui font que je… C'est des moments que… C'est sûr qu'il n'y a pas de souffrance, il n'y a pas de douleur. C'est parce que c'est des moments agréables. C'est des moments de bonheur. C'est des moments vrais pour moi. Donc je disais, tricot, ma famille, ma mère, le temps que je passe seule aussi dans ma chambre, peut-être à lire ou même à écouter de la musique ou à regarder ma série préférée ou même enregistrer des broadcasts, c'est des moments de bonheur. C'est des moments où je me sens bien. Je me sens calme. Et quand je me sens calme, je suis bien. Je ne pense à rien, je suis bien, je suis contente. Par exemple, ce moment-là, quand je vous parle, je me sens bien, je me sens apaisée. J'adore. Donc voilà, c'est des petits moments comme ça de bonheur. Et je peux en trouver plein, plein, plein, plein. Je peux m'en laisser plein. Mais je pense que ces quelques-uns, vous comprenez l'idée. Vous avez compris l'idée. Vous avez compris ce que je voulais dire. Donc voilà. Ah oui, aussi, je peux rajouter... Non mais non, ça aussi, ça fait partie aussi de ma famille. J'allais dire, parce qu'on a souvent, souvent, ça fait des petites fêtes en famille et tout. Ça fait partie aussi de mon bonheur. Et aussi, le fait de me retrouver dans un parc toute seule, vraiment toute seule, je n'ai pas besoin d'être accompagnée, toute seule dans un parc, surtout en été. En été, c'est tellement agréable. Dans un parc, avec mon livre, je lis, je lis, où je regarde les gens passer, les gens parler, je regarde juste les gens vivre. Et je suis juste couchée sur le gazon, dans les herbes et tout. Ça me fait du bien. C'est mon petit moment de bonheur. J'adore ce moment. C'est calme. T'entends les oiseaux, t'as le soleil qui te tape. Pas trop non plus, mais t'as le vent qui souffle sur ta peau. Ça, j'adore. Ça fait partie de mon moment. Donc il y a ça. Il y a aussi le fait que je vais, je fais du vélo. Si je fais du vélo, je fais du vélo en été toujours, parce qu'en hiver, je n'aime pas trop, c'est froid. Mais en été, faire du vélo dans les rues près de chez moi, ça, ça me rend tellement bien, ça me rend tellement heureuse. Je me sens libre. Je me sens tellement libre. Tout ça, c'est mon petit moment de bonheur. Et vous le faites aussi, de faire du sport, d'aller à la salle et tout. Ça, c'est partie aussi de ce moment. Voilà. Et comme je vous ai dit, je suis en sortie. Tout ça, ça me rend heureuse. Ça fortifie mon état. Par exemple, si je me réveille et que je me sens bien, je me sens vivante, si je fais deux ou trois trucs, des trucs que je viens de vous citer, ça amplifie mon bonheur, ça amplifie mon état. Je vous ai dit qu'il ne faut pas que votre état de bien-être dépend de quelque chose. Ces choses-là peuvent participer, mais il ne faut pas que ça dépend. Parce que, par exemple, moi, si je me sens bien et que j'ai ces petits moments, ça me rend heureuse, ça fortifie le moment présent. Mais ça ne dépend pas forcément. Mon bonheur, il ne dépend pas forcément de ça. Je suis déjà heureuse en amont. Juste que ça actionne, ça amplifie mon bonheur, tout simplement. Et j'allais oublier aussi le fait d'écrire. C'est mon petit moment de bonheur, ça aussi. D'écrire et aussi de lire la Bible, parce que je suis croyante. Ça aussi, ça me fait du bien. Ça me fait du bien, je me sens vivante, simplement. C'est incroyable. Là, c'est bon, j'ai cité tous mes petits moments de bonheur et ce que ça me fait, ce que je ressens quand je les vis. Je vous invite aussi à faire ça, à lister vos petits moments de bonheur, ce qui vous rend heureux ou heureuse. Quand vous les faites ou quand vous les vivez, vous vous dites « Waouh, c'est incroyable ! » et tout. « Je me sens beaucoup plus heureuse. » Il ne faut pas que ces choses-là vous rendent heureuses. Que votre bonheur dépend. Je répète beaucoup, mais c'est juste pour que vous compreniez que ces choses que vous allez écrire ou énoncer, il ne faut pas que votre bonheur dépend de ces choses. Il faut juste que ces choses actionnent votre bonheur. Parce que ces choses vous donnent de l'impulsion. Voilà. J'espère que vous avez compris ce que je veux vous faire comprendre. Je pense qu'on arrive à la fin du podcast. Je pense que c'est la fin. J'espère que vous avez aimé ce podcast. J'espère que vous avez compris ce que je veux dire et que ça vous parle aussi, ce que j'essaie de vous dire. Comme je vous ai dit, je vous mets en description tous les sites que j'ai utilisés pour... tous les sites que j'ai utilisés pour la définition du bonheur selon Schopenhauer. Si, Schopenhauer, je connaissais sa définition bien avant. Et aussi, je pense qu'il y a des documentaires artés. Et on montre d'autres documentaires sur le bonheur qui est plutôt intéressant. Vachement intéressant. Et si je peux le mettre dans la description, si je peux le mettre dans la description, je le mettrai. Comme ça, vous allez voir. C'est tellement intéressant, les documentaires d'artés. Enfin, du moins sur le bonheur. Voilà. C'est la fin. Et peut-être que... je le prononce mal. Je ne sais pas. Mais ça se trouve, je le prononce mal. Si je le prononce mal, je vais être désolée. Voilà. C'est tout pour moi. On se dit à très, très, très vite. On est déjà à trois épisodes, là ? Ouais, trois, je crois. Ouais, trois. Je suis contente. J'espère que ça va continuer comme ça. J'espère que vous avez aimé cet épisode. On se dit à bientôt. Et... Voilà. Bisous, les amis. Iri.

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