Details
Nothing to say, yet
Details
Nothing to say, yet
Comment
Nothing to say, yet
Ne vous inquiétez pas, mesdames et messieurs, ces jeunes personnes vont bien. Mais voyez-vous, les noms ont une importance et les rêves ne se réalisent pas toujours de la manière que l'on souhaiterait. Il arrive que des événements étranges surviennent, lorsqu'un certain nombre de coïncidences s'accumulent les unes à la suite des autres. Certains auront voyagé au moyen d'une voiture dopée à l'énergie nucléaire, d'autres avec une cabine téléphonique surprenante, ou encore via la consommation d'un bagel couvert de toutes les graines possibles. Ici et ce soir uniquement, il aura suffi d'une conversation, suivant un cours chronologique bien précis, et d'un poste porté au bon moment pour qu'un trou de verre apparaisse et les transporte si longtemps avant leur naissance et de l'autre côté de l'océan Atlantique. Nos héros auraient voulu naître avant la création de l'iPhone, de la ceinture de sécurité et du frigo. Naître à des époques où les congés payés étaient un fantasme et où l'on devait fabriquer nos propres vêtements. Des époques révolues qui pour beaucoup n'ont plus rien à envier à la nôtre, mais qui pour autant, dans l'imaginaire collectif, étaient utopiques à leur manière. Nous avons toutes et tous reçu des cours d'histoire, nous dépeignant avec plus ou moins de véracité la vie quotidienne de nos aïeux. Mais ce que nous retenons et révisons régulièrement nous vient des œuvres qui nous transportent génération après génération. Il suffit d'une décennie pour influencer la mémoire collective. Nos héros ne vont pas simplement voyager dans les vies quotidiennes du passé, mais bien dans ces mondes mis en lumière par des artistes et admirés par des rêveurs. Ce soir, nos héros deviennent des artistes. Ils seront guidés par un protagoniste ayant choisi une vie de nomade des temps. Son nom est Chronos. Et vous, mesdames et messieurs, devenez les rêveurs. Notre voyage commencera donc avec le souhait de ces messieurs. Le Far West. La rue est vers l'heure. Et Kobol. Mais ça, ils ne sont pas encore au courant. Durant toutes ces explications, ils ont simplement été ballotés à toute vitesse. Ils ont rebondi sur les révolutions sociales et technologiques, apercevant peut-être par l'instant l'éclair d'une couverture de journal avec une date n'ayant aucun sens. Comment ce journal aurait pu être publié en 1884 et à son aussi bon état en 2024 en plus tôt ? Alors, mesdames et messieurs, ne leur gâchez pas la sortie et laissez leur guide faire son travail. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! Abonnez-vous !