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The investigation revealed that Aboubaka Abzakiti was connected to another specialized network involved in exporting. People with fraudulently acquired passports were able to avoid detection by paying a certain amount of money. Those who refused were sent to the Maca prison. The investigation also uncovered a widespread and organized practice of bribing officials to release prisoners. One of the instigators, Sheik Berthet, made the mistake of targeting a wealthy businessman involved in illegal activities, leading to the involvement of the Minister of Defense. Berthet's home was raided, and although he escaped, the ULGC members were arrested. L'enquête a également permis d'établir qu'Aboubaka Abzakiti était lié à un autre réseau spécialisé cette fois dans l'exportion. Selon des sources concordantes, plusieurs personnes détenteuses de passeports frauduleusement acquis ont pu passer entre les gouttes, moyennant le paiement d'une certaine somme. Ceux qui ont refusé ont terminé à la Maca. L'enquête a également permis d'établir qu'Aboubaka Abzakiti était lié à un autre réseau spécialisé cette fois dans l'exportion. Selon des sources concordantes, plusieurs personnes détenteuses de passeports frauduleusement acquis ont pu passer entre les gouttes, moyennant le paiement d'une certaine somme. Ceux qui ont refusé ont terminé à la Maca. Quelqu'un témoigne « Lorsque j'étais en garde à vue dans les locaux de l'ULGC, un gendarme a tendu un téléphone en me disant que quelqu'un voulait me parler. Un Libanais m'a dit en arabe qu'il pouvait me faire sortir quand 2,5 millions de francs nous confient un homme incarcéré dans le cadre de l'affaire. La pratique se révèle largement répandue et organisée. L'un de ses instigateurs serait un indicte du ministère de la Justice et du Pôle économique et financier qui profitait de sa position pour en sonner les potentiels cibles. L'homme, un certain Sheik Berthet, va néanmoins avoir le malheur de s'attaquer à un trop gros poisson, un homme d'affaires burkinabé impliqué dans l'empaillage à Bouaké auquel il est réclamé entre 400 et 500 millions de francs CFA. La victime connaît du monde et l'affaire atterrit sur le bureau du ministre de la Défense et frère cadet du chef de l'État, Teneh Biraïma Ouattara. Le domicile de Sheik Berthet est perquisitionné, on y retrouve d'importantes sommes d'argent en liquide et des armes, mais l'intéressé lui s'est volatilisé. Les éléments de l'ULGC sont néanmoins arrêtés. Je reprends, faute 12, record 11. L'enquête a également permis d'établir qu'Aboubakar Zakité était lié à un autre réseau spécialisé cette fois dans l'exportion. Selon des sources concordantes, plusieurs personnes détentrices de passeport frauduleusement acquis ont pu passer entre les gouttes, moyennant le paiement d'une certaine somme. Ceux qui ont refusé ont terminé à la maca. Lorsque j'étais en garde à vue dans les locaux de l'ULGC, un gendarme m'a tendu un téléphone en me disant que quelqu'un voulait me parler. Un Libanais m'a dit en arabe qu'il pouvait me faire sortir comme 2,5 millions de fonds TFA nous confient un homme incarcéré dans le cadre de l'affaire. La pratique se révèle largement répandue et organisée. L'un de ses instigateurs serait un indicte du ministère de la Justice et du pôle économique et financier qui profitait de sa position pour en sonner les potentiels cibles. L'homme, un certain Sheik Berthé, va néanmoins avoir le malheur de s'attaquer à un trop gros poisson, un homme d'affaires burkinabé impliqué dans leur paillage à Boaké auquel il est réclamé entre 400 et 500 millions de fonds TFA. La victime connaît du monde et l'affaire atterrit sur le bureau du ministre de la Défense et frais cadets du chef de l'État, Tenebiraï Mawattara. Le domicile de Sheik Berthé est acquisitionné. On y retrouve d'importantes sommes d'argent en liquide et des armes, mais l'intéressé lui se volatilise et les éléments de l'ULGC sont néanmoins arrêtés.