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Today, I am with Martho Basnet, a construction worker, discussing his job related to science. Construction involves math, chemistry, and physics. There are many companies in this field, including competitors. Safety materials for workers include work boots, helmets, goggles, safety harnesses, ropes, and anchor points. The harnesses are not for climbing but to prevent falls. Basnet chose agricultural construction because it was his summer job and he studied at an agricultural technology institute. Women are increasingly entering the construction field, particularly in finishing work and insulation. Basnet's company operates within a one-hour drive from their base in Montérégie. Aujourd'hui, je suis avec Martho Basnet, un ouvrier spécialisé dans la construction, et nous allons parler de son métier qui est relié à la science. Qu'est-ce que votre métier a pour être relié à la science? La construction, on utilise beaucoup de mathématiques, on utilise de la chimie, on utilise de la physique. Est-ce que vous connaissez plusieurs compagnies de votre métier? Oui, on a tous des collègues, on a tous des compétiteurs aussi. Oui, je connais beaucoup de personnes qui sont entrepreneurs en général. Comme compétiteurs, vous êtes un peu concurrence? En fait, non, c'est des compétiteurs, c'est des personnes qui travaillent dans le même domaine que moi, dans le même champ d'activité, donc ça veut dire qu'ils bâtissent des bâtiments agricoles. Le bois est-il le matériau le plus utilisé? Oui. Quel matériau de sécurité pourrait-on trouver chez des travailleurs? Les bottes de travail, les casques, les lunettes, les harnais de sécurité pour anti-chute, les cordes, les points d'ancrage pour anti-chute. Les harnais, est-ce que c'est quand vous descendez du toit, vous avez fini? Non, les harnais, c'est pour mes travailleurs quand ils sont sur le toit. S'il faut une chute, ce n'est pas jusqu'à terre, c'est pour éviter qu'ils chutent jusqu'au sol. Ce n'est pas un équipement d'escalade. C'est un harnais de sécurité, c'est une grosse différence. Pourquoi avez-vous choisi d'être dans la construction agricole? Parce qu'initialement, moi, c'était ma job d'été, en 1996, quand j'avais 16 ans, j'ai commencé par ça. Puis moi, j'ai fait mes études à l'ITA, l'Institut de technologie agroalimentaire de 5 à 5, puis j'ai allé chercher mon cours pour être agriculteur. Puis vu que mon oncle était là-dedans, j'ai continué sa construction agricole. Et l'ITA existe-t-il toujours? Ben oui, juste à côté du cégep, entre la médecine vétérinaire et le cégep. Est-ce que vous pensez que vos enfants vont faire votre métier quand ils seront plus grands? Ben, peut-être. Je ne mets pas aucune pression. Les enfants feront ce qu'ils veulent. Si ça fonctionne, qu'ils veulent reprendre la compagnie, tant mieux. Sinon, ils feront chacun ce qu'ils veulent, puis je vendrai la compagnie. Est-ce que vous savez s'il y a beaucoup de femmes qui font votre métier? Il y en a de plus en plus. De faire le métier de charpentier, menuisier, peut-être pas, mais il y en a de plus en plus qui sont dans le domaine de la construction, que ce soit peintre, plâtrier. Il y en a qui vont être au niveau de la finition intérieure, système intérieur, poser de l'isolant. Oui, le pourcentage de femmes augmente. L'isolant, c'est quoi que vous utilisez comme forme d'isolation? De l'aine minérale, cellulose, de l'aine soufflée, de la rétane. Est-ce que vous travaillez dans d'autres pays ou d'autres régions? Non, on se maintient à une heure de route du point du port d'attache, ça veut dire qu'il y a de l'entrepôt. Une heure, une heure et quart de route, pas plus que ça. On reste à Montérégie. Et c'est ainsi que se termine cette entrevue avec Martin Bazinet, ouvrier spécialisé dans la construction agricole.