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L'argent dans le couple: les mauvaises décisions à ne pas prendre

L'argent dans le couple: les mauvaises décisions à ne pas prendre

Alexandra JEAN BIYELEAlexandra JEAN BIYELE

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Au début de ma vie d'adulte j'ai pris des décisions irréfléchies sous couvert de l'amour. J'aurais aimé pouvoir prendre d'autres décisions afin de ne pas avoir à dealer avec la mauvaise personne. Aujourd'hui je veux partager avec toi les choses à ne pas faire.

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Transcription

In this podcast, the speaker discusses the topic of money in relationships, specifically focusing on unmarried couples. She shares her personal experience of making a series of bad decisions when it came to money and relationships. She met a guy in Montreal and despite knowing he wasn't her type, she ended up in a relationship with him. She made the mistake of paying for everything while he continued to live his life and take advantage of her generosity. They broke up and got back together multiple times, and he repeated the same pattern with another girl. The speaker emphasizes the importance of not letting someone take advantage of you financially unless the relationship is serious and committed. Hello, hello, bonjour à tous et à toutes. Aujourd'hui dans le podcast, on va parler d'un autre sujet qui est très intéressant pour notre genre. Quand je parle de notre genre, je vais parler des femmes. Et en tant que jeune femme, dans la trentaine, je me dis que ce que je vais aborder aujourd'hui dans le podcast, c'est peut-être des conseils ou des choses que j'aurais voulu que, quand j'étais adolescente ou au début de ma vie d'adulte, que ma mère peut-être prenne plus de temps pour aborder certaines questions avec moi ou que des grandes sœurs qui auraient vécu certaines choses auraient pu les partager avec moi à ce moment-là. Donc, sans plus tarder, on va aller aujourd'hui. Donc voilà, on va parler de l'argent dans le couple. Et vraiment, je ne peux pas parler dans le sens où on parle de l'argent en tant qu'un couple marié, mais je veux vraiment m'appréhender aujourd'hui sur l'argent dans le couple en tant que copain-copine. Je pense à la limite, est-ce que j'ai même envie d'arriver au niveau du fiancé-fiancée ? Je vais rester dans le copain-copine parce que, comme je dis, ce podcast, c'est vraiment pour toucher des problématiques qui sont quand même personnelles à moi. Et donc, je vais beaucoup me baser sur mon expérience, mon vécu pour en parler. Donc, pour que l'on puisse voir un peu où est-ce que je veux arriver, il y a des choses qu'il ne faut pas faire, des décisions qu'il ne faut pas prendre quand on est une jeune femme et qu'on veut arriver loin, pas arriver loin dans le sens de devenir riche, mais arriver, ménager sa monture, il y a des choses, des décisions qu'il ne faut pas prendre. Donc moi, je vais parler aujourd'hui, je vais partager mon expérience. Vous savez tous que ça fait une dizaine d'années que je suis au Canada. Je pense à l'enfer. Cette année-là, c'est ma deuxième année que j'entame au Canada. Et quand je suis arrivée, j'arrive, j'ai 23 ans. Donc, à l'aube de mes 24 ans, comme deux mois avant mon 24e anniversaire, je fais la rencontre d'un gars sur Montréal. C'est un gars avec qui j'ai été au collège, mais à l'époque du collège, on ne s'est jamais, jamais, jamais dit bonjour, bonsoir. On savait qu'on était dans le même collège parce qu'on avait déjà eu l'habitude de se croiser, mais on ne s'est jamais donné le temps. Donc, je tombe sur cette gamme-là à Montréal. Je vais bientôt avoir 24 ans et il faut savoir que je suis arrivée quelques mois avant à Montréal. Donc, je traverse des phases où je ressens beaucoup la solitude. Ma famille n'est pas là. Je n'ai pas tant d'amis que ça. Donc, je vis dans une colocation où ça ne se passe pas très bien. Donc, vraiment, tous les éléments sont réunis pour être dans une histoire qui va faire que j'ai pris une série de mauvaises décisions les unes après les autres. Donc, le jour où je rencontre ce gars-là, je suis dans le métro et je sors de chez le dentiste. Donc, j'étais allée me faire arracher une dent ou deux, je pense, parce que j'avais une rage de dents. Excusez-moi les détails, mais tous les détails sont importants. Donc, je débarque à la station de métro de Béry-le-Cam. Tous ceux qui sont à Montréal, ils voient très bien la station de métro dont je parle. Je débarque à Béry-le-Cam parce qu'à cette époque-là, j'avais un petit travail étudiant qui faisait que je travaillais pour l'orchestre symphonique de Montréal. C'est tout ce qui est musique classique, les concerts, fil harmonique et tout. Et donc, je travaillais pour la diétrie, pour les abonnements, ceux qui avaient des abonnements à l'année. Donc, il s'agissait de rappeler les gens qui voulaient renouveler les abonnements et tout et tout. Donc, j'étais en train de me dépêcher pour aller au travail. Donc, je débarque du métro. Et pendant que je suis sur une quai, je remarque un couple qui s'approche. Et le garçon, dans le coup, son visage me salit. En fait, je l'avais déjà reconnu. Je savais que j'étais au collège avec lui. Mais j'ai fait celle qui... Tu sais, quand tu sais pas si quelqu'un va te saluer, tu fais aussi comme si tu ne connais pas la personne. Donc, quand le gars arrive dans mon dos, il s'arrête et puis il fait mine de... « Allô, bonjour. Ton visage semble me dire quelque chose. » C'est comme si on était ensemble au collège. Et puis, effectivement, on était au collège de la retraite ensemble. Il est avec une fille. C'est très important. La première chose qui aurait dû... Comme je dis, j'étais dans une optique de... J'ai pris une série de mauvaises décisions les unes après les autres. Donc, il est avec une fille et il commence à avaler la conversation avec moi. Il ne présente pas la fille. Il ne présente pas la fille et il ne me présente pas moi à la fille. Donc, du coup, il y a deux filles. Il y a un gars au milieu. Aucune ne sait vraiment c'est qui l'autre. Et puis, il commence à parler avec moi comme ça. Genre, à la nuit, c'est imposé. OK? Il faut se dire les termes. Donc, il commence à me parler. Et puis, donc, moi, berri et calme, je devais descendre à Place Bézard qui est deux stations de métro après. Donc, on entre tous dans le métro. C'est quand j'arrive dans la station qui est Place Bézard. Je décide donc de descendre de la station de métro. Et je descends, je décide de descendre de la station de métro et le gars, il débarque avec moi. Il laisse la fille avec qui il était et il débarque avec moi du métro. Je ne sais pas si vous réalisez un peu la dégrée. Donc, on voit là, donc, tous les deux, on débarque et la rame du métro se ferme. La fille qui était avec lui reste privilégiée et elle ne comprend pas comment est-ce que le gars peut l'abandonner dans le métro comme ça et il y a une autre fille qui l'a croisée sur le quai. Et moi aussi, je regarde, j'ai l'air estomaquée quand je vois la rame du métro se fermer et il ne semble pas plus gêné que ça de poursuivre la fille. Puis là, il me dit, non, non, non, ce n'est pas très sérieux, il sortait du restaurant, il n'est pas en couple avec elle. C'est une fille qui, elle, elle est intéressée par lui, mais lui, il n'est pas intéressé. Deuxième erreur, je ne sais pas si vous avez déjà fait le décompte des erreurs, mais c'était une erreur. Donc, je me suis, il me dit, il faut absolument qu'on échange le numéro de téléphone. Ça me fait plaisir de tomber sur quelqu'un qui ne pensait pas trop au Canada et de tout. Je ne sais pas pourquoi, troisième mauvaise décision, je lui donne mon numéro de téléphone. Donc, sans suivre, vous connaissez, message, texte et tout. Il décrit, blablabla, il vient me voir en bas de où est-ce que je reste par colocation. Puis là, ce jour où il vient me voir, il me dit que, oui, il a des sentiments, il veut être en couple avec moi. La quatrième erreur que je fais, c'est que je savais déjà que ce n'était pas mon type de gars. Non, pas qu'il est moche, mais ce n'était pas mon type de gars. Parce que, moi, j'ai toujours été, je l'avoue, une femme qui aime les hommes light skin, si on reste dans les couleurs noires. Ou alors, on parle de tout ce qui est très, très, très clair. Donc, vous pouvez voir la couleur de mon mari aujourd'hui. Et que c'est tout ça mon style. Donc, je lui dis que non, je ne suis pas intéressée. Et moi, je n'ai jamais sorti avec lui, parce qu'il n'est vraiment pas dans mon genre de gars. Puis, le gars, il ne s'est pas découragé, il m'a travaillé au corps, il m'a travaillé longtemps, longtemps. Puis, finalement, comme je dis, la solitude, le fait que je n'avais pas d'amis, que j'étais loin de ma famille, et que ce gars-là avait commencé à beaucoup, beaucoup m'écrire. Une chose renseigne l'autre, je me suis retrouvée en couple avec lui. Comme ça. Et la quatrième ou cinquième mauvaise décision de cette histoire, c'est que quelques mois après, quand je décide de déménager de ma colocation pour chercher un appartement pour vivre toute seule, le gars a proposé que je cherche pour qu'on s'installe tous les deux. Ça, c'était la cinquième erreur à ne pas faire dans cette histoire. Donc, d'autres choses renseignent l'autre. Vous saviez, c'était un étudiant international. Donc, j'étais quelqu'un qui était ici pour étudier. Et puis, moi, à côté, j'avais la nationalité. Donc, je pouvais travailler, j'allais à l'école. Les coûts n'étaient pas les mêmes que les siens. Donc, du coup, je me suis dit, pour faciliter la tâche à ce gars, et pour faciliter la tâche à sa mère, on vient d'envoyer ma sixième erreur, c'est que je dis, OK, moi, comme je travaille à côté, je vais payer le loyer. On va vivre tous les deux ensemble. Nos deux mains seront sur le bail, mais je vais payer. Toi, tu as juste à te soucier d'aller à l'école, et ta mère paie ton école, pour s'occuper de la nourriture à la maison, et du toit au-dessus de ta tête, je gère. C'est comme ça, donc, que pendant des mois, je paie le loyer, je fais l'épicerie, il mange, il habite tranquille, et à côté, il continue de mener sa petite vie. De temps en temps, il va régler les fringues ici, de temps en temps, il va chasser, il va compter avec des potes, bref! On arrive donc à une première rupture dans notre histoire, vers la fin, la mi-2014, pour mon 25e anniversaire. Donc, vous comprenez déjà qu'on a déjà fait presque la moitié d'une année ensemble. Et donc, après, on se sépare, on se sépare, on est assez séparés de la fin de la mi-2014, de la fin de 2014, toute l'année 2015, et on se remet ensemble, quelque part, au courant de la mi-2016. En ce temps, le gars a répété le schéma avec une autre fille, avec qui il s'est installé, qui payait ses choses, qui lui donnait de l'argent, et c'est quelqu'un qui s'est toujours débrouillé, que chaque fois que tu es avec lui, il réussit tellement à te faire avoir pitié, il te raconte ses problèmes, tu es toujours en train de sortir de l'argent, toujours en train de sortir de l'argent, qui est une erreur phénoménale. Quand tu n'es pas dans une histoire où quelqu'un est sérieux avec toi, dans le sens que c'est déjà ton fiancé, c'est déjà officiel au niveau de vos familles, que vous êtes en train de vous engager dans un chemin où on est déjà en train de dire que vous êtes pratiquement mariés, ne donnez pas d'argent à un homme. En tant que grande soeur aujourd'hui, ou en tant que la jeune fille que j'étais avant, je n'ai jamais vu qu'une grande soeur s'asseille et m'explique avec des exemples concrets, comme je suis en train de vous expliquer aujourd'hui. Donc, on se renaît donc ensemble en 2016, là maintenant chacun est dans son appartement, je suis dans mon appartement, il est dans son appartement, mais à chaque fois que ça a des petits problèmes, j'ai des logements, je n'ai pas toute la flamme pour compléter mon loyer, il faut que je dépense l'argent pour refaire ma résidence, ma mère a tel problème au Cameroun, ma soeur a tel problème, j'étais toujours en train d'aider sincèrement ces gars, parce que je me disais que c'est l'homme de ma vie. Bref, au milieu de la 2016, on se sépare encore, on se remonte ensemble, 2017, on fait le même schéma, c'est toujours ça, il y a des mini-séparations, des mini-remises ensemble, des mini-séparations, donc on se sépare en 2017, même schéma, on part avec une autre fille, avec la fille aussi des potes, bref, c'est un serial, garçon qui se fait entretenir. Garçon qui se fait entretenir. N'ayons pas peur, je vais te dire les termes, c'est un serial gigolo. Et donc, en fin 2017, donc presque l'année 2018, il revient dans ma vie, cette fois-ci, il change un peu le paradigme, il passe par une amie à moi, qui me dit qu'il a vraiment changé, il voit à tout prix que la fille lui donne mon numéro, parce qu'il est bloqué de partout, il veut me parler, il veut me parler, mais quand il me remonte l'information, je décide qu'ok, je vais essayer, qu'est-ce qu'il a à dire, ça c'était la septième erreur à ne pas faire, j'écoute, blague de diable, il sort des violons, j'ai changé, je suis plus le garçon volage que tu connais, entre temps, quand je parle de volage, et ça sera l'objet de notre podcast, c'est que ce gars-là m'a refilé une infection sexuellement transmissible, à savoir la blague de diable. Bref, ça sera comme je dis, le sujet de notre podcast. Donc, bref, il me sort des violons, j'ai changé, j'ai changé, je veux le sérieux, là maintenant, c'est pour aller jusqu'au mariage, je veux qu'on s'installe ensemble, je veux faire les choses bien, je veux venir voir tes parents, donc bref, il m'a dit exactement ce que j'avais besoin et que je voulais. En temps, je me laisse à moi, je donne mon prix à vie à mon pailleur pour lui dire que je ne remouverai pas mon loyer la nuit, et je vais aller m'installer ailleurs, on entreprend les démarches pour trouver un nouvel appartement, et ça arrange à me faire co-signer un prêt automobile pour lui, ça c'était la huitième erreur que j'ai faite, ne prenez jamais sur votre tête si ce n'est pas votre mari épousé devant Dieu et devant les hommes de signer des prêts auto, des prêts maison, de signer un prêt avec un gars, avec une vêtement couple. Donc, je co-signe le prêt auto avec lui, ce qui fait que aux yeux de la loi, je suis autant responsable de la dette que lui, moi je me dis, ok, c'est quelqu'un que j'aime, il a besoin de cet auto-là, pourquoi est-ce que je ne peux pas lui faire cette faveur-là ? Je m'installe un appartement avec lui, on décide que le loyer, on le paye à deux, c'est un loyer de 800 et quelques, donc chacun payait la moitié, et c'est avec le résultat que je comprends qu'il est revenu vers moi comme ça, parce que là, le projet de faire l'initiative au Canada est en train de se concrétiser, il allait avoir besoin d'un appartement plus grand, et il allait falloir engager de plus grands frais, donc quel bon emploi je peux trouver dans les filles avec qui j'ai l'habitude de fricoter, que je peux supporter pour habiter avec moi, et qui peut me supporter d'habiter avec moi et payer les charges dont j'ai monté avec moi ? Votre servante ici présente. Donc, moi je me dis que non, l'homme de ma vie est revenu et tout et tout, alors que l'homme de ma vie est en train de faire les calculs bilets et lumières dans ma poche. Donc, on s'installe, on habite avec sa petite soeur, on paye le loyer à deux, on paye l'épicerie à deux, on paye toutes les factures à deux, et puis sa soeur est là, elle a une belle vie, et puis de temps en temps, quand il a des problèmes, je lui fais encore mettre la main à la patte, oh, maman a telle situation, ma petite soeur, pardon, on a telle situation, on a telle situation, je suis toujours en train de prendre des dix et des cinq et demi, et demi, deux. Arrive donc le point d'aventure de cette relation quand on arrive donc vraiment à vivre ensemble et de jouer notre jeu d'habitude de préparation et de conciliation, on se sépare donc vers la fin de 2018, je dois donc trouver un appartement de genre, en attendant de trouver cet appartement, j'ai habité pendant pratiquement trois semaines chez Ilhanou, le temps de retomber un peu sur les pattes et de trouver un appartement et de voir comment repartir. Donc, on se sépare comme ça, je le laisse, donc, je lui lis tout ce que j'ai comme responsabilité avec lui et je me dis ok, chacun va se séparer, chacun va faire sa route, chacun va tourner la page. Donc, comme moi, je suis dans une optique où je refais ma page, je vous avais, je me lis ce que j'avais vu dans nos relations, moi je ne suis pas du genre ah, redonne-moi mes cadeaux, redonne-moi ce que j'ai dépensé, redonne, redonne, redonne, je me dis j'ai aidé quelqu'un, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé, j'ai aidé,

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