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Once upon a time, there was a young chief of the Atikamekw nation. He was brave and skilled at hunting, but struggled with consensus and making decisions. An elder told him that if they hunted weak animals, it would anger a spirit and drive away all the other animals. But if they let them recover, the spirit would be grateful and provide resources. The chief had to convince his people to stop hunting temporarily. He was initially doubted, but eventually, they agreed. The territory thrived with resources, and the chief learned the importance of listening to others. Il était une fois, au nord de la région de la Maudière, un jeune chef de la nation atikamekw. Il avait été désigné chef pour sa bravoure et son courage hors du commun. Ce chef était très brave et bon à la chasse, mais malheureusement, il avait toujours du mal à convaincre par le consensus. Il prenait ses décisions à la rapide, sans se soucier de l'accord des autres, et il fallait souvent lui rappeler qu'il fallait que la majorité des gens soient d'accord. Il n'était pas du tout éloquent. Un jour, un des anciens du village venait voir pour lui faire part de l'évidence qu'il avait pendant la nuit. Dans quelques jours, un esprit se bande d'un troupeau d'animaux, faibles et affamés, pas près sur leur territoire. Si l'un des animaux de ce troupeau se faisait chasser alors qu'il était faible, l'esprit serait très en colère et partirait du territoire en emportant tous les autres animaux avec lui, laissant cette bande sans nourriture. Néanmoins, si le groupe laissait passer cette chance de se nourrir et de faire des provisions pour laisser la chance à ces animaux de reprendre force, l'esprit serait redevable et les jours suivants, le territoire apporterait des ressources. Un jour, un des anciens du village venait voir pour lui faire part de l'évidence qu'il avait eue pendant la nuit. Dans quelques jours, un esprit se bande d'un troupeau d'animaux, faibles et affamés, pas près sur leur territoire. Si l'un des animaux de ce troupeau se faisait chasser alors qu'il était faible, l'esprit serait très en colère et partirait du territoire en emportant tous les autres animaux avec lui, laissant cette bande sans nourriture. Néanmoins, si le groupe laissait passer cette chance de se nourrir et de faire des provisions pour laisser la chance à ces animaux de reprendre force, l'esprit serait redevable et les jours suivants, le territoire apporterait des ressources. Après la rencontre avec le chaman, le chef n'avait pas d'autre choix que de convaincre son peuple d'arrêter de chasser pendant un petit moment et de ne pas s'attaquer aux animaux. Mais comme il n'était pas élégant, il avait de la difficulté à croire qu'il allait réussir sa mission. Après la rencontre avec le chaman, le chef n'avait pas d'autre choix que de convaincre son peuple d'arrêter de chasser pendant un petit moment et de ne pas s'attaquer aux animaux. Après la rencontre avec le chaman, le chef n'avait pas d'autre choix que de convaincre son peuple d'arrêter de chasser pendant un petit moment et de ne pas s'attaquer aux animaux. Mais comme il n'était pas élégant, il avait de la difficulté à croire qu'il allait réussir sa mission. Il rentre au campement déprimé. Lors du consensus, il est le premier à se lever. Il dit, « Vous devez absolument m'écouter. Dans quelques jours, un troupeau passera sur le territoire et il ne faut absolument pas le chasser. Faites ce que je vous dis, je vous en prie. » Personne ne le croyait. Personne n'avait été convaincu. Les gens de la bande le croient tous. Il lui conseille d'aller se reposer. Le chef ne savait pas quoi faire. Il pensait s'occuper du destin de la bande tout seul et s'assurer que les autres n'aient pas tué tous les animaux. Mais il se rend compte très rapidement que ce serait bien trop difficile d'empêcher les chasseurs d'atteindre le troupeau. Bien sûr, les autres membres du clan ne comprenaient pas que s'ils ne respectaient pas les idées du chef, toutes leurs provisions et nourriture pour l'hiver allaient disparaître. Tous allaient mourir de faim d'ici quelques semaines si rien ne se produisait. Complètement désespéré, il s'isola dans la forêt non loin du cauchemar pour réfléchir. Il ne comprenait pas ce qu'il avait fait de mal. La journée avait été longue et l'après-midi tirait à sa fin. Couché au pied d'un arbre, il succomba à la fatigue et tomba dans un sommeil profond. Pendant son sommeil, il rêva de son enfant, la fois où il avait pu assister à un consensus. Il se souvint qu'il se stoppait. Complètement désespéré, il s'isola dans la forêt non loin du cauchemar pour réfléchir. Il ne comprenait pas ce qu'il avait fait de mal. La journée avait été longue et l'après-midi tirait à sa fin. Couché au pied d'un arbre, il succomba à la fatigue et tomba dans un sommeil profond. Pendant son sommeil, il rêva de son enfant, la fois où il avait pu assister à un consensus. Il se souvint de l'antichesse, de la façon dont il parlait de ses idées et comment il réussissait à convaincre par le consensus en seulement une demi-heure. Il se souvint aussi à quel point ça le fascinait de voir l'ancienne chef prêter attention à toutes les idées des autres. Soudain, il se réveilla et sait exactement ce qu'il avait à faire. Il courut jusqu'au campement et, convoquant le consensus, il leur dit, « Cher ami, je sais que j'ai été un mauvais chef. Je ne prenais pas en compte toutes vos idées et parfois j'imposais les miennes et j'en suis désolé. Je vais tout faire pour vous devenir un meilleur chef aujourd'hui. J'ai absolument besoin que vous m'écoutez. » Il leur expliqua la situation, ce que le chamen lui avait dit et ils passèrent une heure entière à en discuter. Finalement, le consensus se mit d'accord sur une décision. Il n'allait pas chasser les animaux. Quelques jours plus tard, le troupeau d'animaux traversa le territoire et, comme prévu, personne ne les chassa. Après cet événement, le territoire abonda comme jamais de ressources et le chef retenait une leçon. L'écoute des autres était très importante pour son rôle.